ALAIN SORAL ET MICHAEL HOFFMAN - QUI CONTRÔLE LE VOCABULAIRE CONTRÔLE VOTRE CERVEAU!
Alain Soral : Judaïsme, talmudisme et sionisme
ISRAEL, ALL IS ABOUT GOLD!
2014 Ancient Hidden Technology of the Annunaki (Fallen Angels)
Le Silence des Mosquées - Le début des Larmes .flv
FRÉMAUX SOORMALLY
QUI CONTRÔLE LE VOCABULAIRE CONTRÔLE VOTRE CERVEAU!
QUAND VOUS VOUS SOUMETTEZ AU MATÉRIEL LINGUISTIQUE DE L'ENNEMI, VOUS AVEZ DÉJÀ PERDU AVANT DE COMMENCER!
C'est remarquable de voir un Français parler avec autant de justesse et de courage. Le Pr Michael Hoffman confirme la justesse des propos d'Alain Soral sur la mauvaise utilisation des vocables de l'ennemi. Le Dr Tariq Ramadan tombe dans ce piège tout le temps, à croire qu'il le fait exprès en permettant à ses détracteurs de toujours en rajouter une couche, et de le ridiculiser systématiquement ainsi que son combat! Par exemple, depuis des décennies, les pressetititués n'ont cessé d'insulter son grand-père Hassan al Banna à chaque rencontre télévisée dans le but de le décrédibiliser avant même de l'interviewer. C'est un peu comme George Marchais qui subissait des attaques similaires en avalanche avant même le début des interviews.
Mais, dès que nous voyons ce stratagème se répéter, il faut se méfier des personnes, d'ailleurs toujours les mêmes, qui sont soi-disant interviewés, surtout lors des opérations sous faux drapeaux ou des campagnes de diabolisation de la religion, de Dieu, du christianisme, de l'Islam, et des Croyants.
BAFS
Ce samedi 14 mars 2015
Alain Soral: Le pédophile Jack Lang à la tête de Institut du Monde Arabe
Docteur Soral
Fausses attaques de Synagogues à Paris: La LDJ et les CRS complices...
https://www.youtube.com/watch?v=gK2KuWzg5D0
LAÏCITÉ ou LAÏCISME = RACISME ET FASCISME JUDÉO-FRANCMAÇONNIQUE DE L'ÉTAT
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Laïcité française: intolérance de l'État laïque
Laïcité française - intolérance de l'État laïque par M. Rafic Soormally
1. Introduction La laïcité est un concept français qui sépare l'Église...
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Laïcité française - intolérance de l'État laïque
par M. Rafic Soormally
1. Introduction
La laïcité est un concept français qui sépare lÉglise catholique de lÉtat, y compris l'enseignement.
Un laïc est un prêtre catholique qui n'appartient pas au clergé. Alors, un laïcat se réfère à un « ensemble des laïques dans lÉglise catholique ». La laïcité [dérivée de laïque ou laïc adj. et n. (latin: laicus; grecque: laikos, qui appartient au peuple)] est un terme qui préconise lindépendance des conceptions religieuses ou partisanes, et désigne un système qui exclut lÉglise catholique de lexercice du pouvoir politique ou administratif, et en particulier de lorganisation de lenseignement public. Le laïcisme est la « doctrine des partisans de la laïcisation des institutions ». Laïcisation est laction de laïciser, qui, à son tour, veut dire « rendre laïque ».
La laïcité est un signe dune sécularisation de la société. Le terme séculariser veut dire rendre (des clercs) à la vie laïque. Séculier ou séculière (du latin: saeculum, siècle) se dit dun prêtre qui nappartient à aucun ordre ou institut religieux (par opp. à régulier); qui vit dans le siècle, et na pas fait de vux monastiques.
Dans la France pré-1789, le Catholicisme était reconnu comme la religion officielle. Le concept de la laïcité fut affirmé pour la première fois en matière politique avec la Révolution française [1789], qui renversa la Monarchie Bourbon et pour objectif de séparer lÉglise Catholique de lÉtat. La laïcité apparaît comme un des fondements du pacte républicain. Laffirmation de la laïcité ne postule pas la disparition du principe spirituel, mais fait de celui-ci une pratique individuelle, relevant exclusivement de la sphère privée. Mais il y a eu beaucoup de dérogations et de controverses durant lère post-Révolution française.
Le système laïque français ne reconnaît, au niveau de lÉtat, ni lexistence dun principe religieux, et ni les spécificités des communautés, laissant ainsi les croyances religieuses uniquement aux niveaux individuels. En France, lhistoire de la laïcité présente une originalité certaine, et les termes « laïque », « laïcité » sont intraduisibles hors des langues latines. Quoique la laïcité dénote la sécularisation de létat, un état séculier nest pas nécessairement laïque.
2. La philosophie des Lumières et la naissance de la laïcité
Les hiérarchies qui dominèrent les sociétés occidentales au Moyen Âge reproduisaient la primauté du spirituel sur le temporel, tel que le concevait par exemple Saint Augustin [354-430] dans la Cité de Dieu. Le roi de France était « le lieutenant de Dieu sur terre ». Sacré à Reims par larchevêque de la ville, il reçoit alors lonction et prête serment de défendre lÉglise catholique et sa foi. La Réforme affirma le principe de lidentité entre le souverain et les sujets, selon ladage « cujus regio, ejus religio » - telle la religion du prince, telle celle du pays. Cette primauté du spirituel sur le temporel se traduisait dans tous les actes de la vie sociale (à la naissance, au mariage et à la mort); elle avait de plus une incidence très directe sur le statut sociale des fidèles qui ne pratiquaient pas la religion principale du pays, le Catholicisme, comme dans le cas des Protestants et des Juifs dans la société française.
La philosophie des Lumières [1745-1785] se veut en France - Descartes lannonçait - essentiellement laïque. Elle refuse dêtre la servante de la théologie. Les circonstances propres à la France - sa centralisation, son catholicisme dÉtat, une Église catholique qui continue ses procès de sorcellerie, une agriculture défaillante, son intolérance de Contre-Réforme - ont fait, dans ce pays, de la philosophie anticléricale. La philosophie des Lumières est celle qui retire la France de l « obscurantisme catholique ». [v. Descartes, Malebranche, Fontenelle, Fénelon, Voltaire, Montesquieu, Diderot, Rousseau, quelle que soit leur diversité].
Aux États Unis, la Révolution Américaine [1776] fut inspirée de la philosophie des Lumières. Quoique la séparation de lÉglise et de lÉtat est formellement insérée dans le 1er Amendement de la Constitution [1791], démontrant le principe de la sécularisation de lÉtat, le système américain permet, en cxistence sociale, lexistence de la liberté religieuse et lexistence dune religion civile qui perdure encore aujourdhui. La France révolutionnaire et post-révolutionnaire ne pourra pas réaliser cette cxistence et elle inventera une solution différente: la laïcité, terme emprunté à lÉglise catholique.
Des auteurs comme Voltaire se firent les défenseurs de la tolérance tandis que, pour la France, la théorie de Rousseau saverrait très paradoxale, car elle faisait partie des dogmes élémentaires de la religion civile : « hors de lÉglise, point de salut ». Sans nommer le catholicisme, religion civile coïncidait avec religion positive, autrement dit dogmes de base de la morale sociale et système ecclésial particulier. Cela était inacceptable pour les partisans de la liberté religieuse, et, avec la Révolution française, dès 1789, la Déclaration des droits de lHomme affirma dans son article 10 le principe de la liberté de conscience: « nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas lordre public établi par la loi ». Les Juifs et les Protestants étaient alors égaux avec les Catholiques. Ce principe confirmait que la citoyenneté primait lappartenance confessionnelle. Tout en allant dans le sens dune laïcisation, lÉtat assurait désormais les actes de létat civil à la place de lÉglise catholique, et se préoccupait de mettre en place les fondements dun enseignement public.
3. Les controverses
Durant les années sous le Consulat, Napoléon Bonaparte définissait le cadre institutionnel de la laïcité. La signature du Concordat avec Rome [1801] reconnaissait le Catholicisme comme «religion de la majorité des Français», mais nexcluait pas la reconnaissance des autres cultes (protestant et israélite) et leur organisation et structures capables de représenter ces communautés auprès des pouvoirs publiques. La laïcisation de létat civil et le droit au divorce étaient confirmés. Lorganisation du système éducatif échappait ainsi au contrôle de lÉglise, sauf pour lenseignement primaire.
Mais cet ordre restait toujours instable. Le régime de la Restauration [1814], tout en confirmant le principe de la liberté religieuse, rétablit linterdiction du divorce [1815] et promulgua la loi sur le sacrilège [1825]. Dans lenseignement, la neutralité subissait de multiples dérogations, comme la dérogation au monopole étatique pour lenseignement primaire [loi Guizot, 1833] puis secondaire [loi Falloux, 1850]. Ces dérogations marquaient aussi la IIe République [1852-1870].
Les débuts de la IIIè République fut marqués par un affrontement entre légitimistes et républicains opportunistes et radicaux (les deux France). Ces derniers partagèrent une philosophie de rationalisme kantien, avec une appartenance à la franc-maçonnerie, et estimèrent que la laïcité était indissociable des valeurs de la République à construire. Les lois Ferry [1882 et 1886] avaient pour ambition denraciner la République, en faisant de lécole lieu denseignement dune morale laïque, fondée sur les valeurs de la Révolution française [1789], le creuset de la nation. Pour Jules Ferry, la religion nest pas le fondement de la morale mais, au contraire, la morale constitue lélément solide et stable des religions. Une « morale laïque » peut donc devenir la valeur commune assurant le lien social. La laïcité est fondée sur le refus implicite dune religion civile. La séparation de lÉglise catholique et de lÉtat (1905), réalisé par le ministère Combes, marqua lapogée de cette crise entre légitimistes et républicains. Cette loi réaffirmait le principe de la liberté de conscience tout en indiquant ne plus reconnaître aucun culte (religion).
Quoique le principe de la laïcité fut lobjet de nombreuses dérogations sous le gouvernement de Vichy, le régime des lois de 1905 est implicite dans la constitution de 1946, repris en 1958, aux « principes fondamentaux reconnus par les lois de la République ». Les deux textes constitutionnels réaffirmaient par ailleurs le caractère laïque de la République française.
4. La tendance internationale
Lhistoire de la laïcité en France présente une originalité certaine, au point de nêtre, selon certains auteurs, que « lexception française ». Cette exception, réelle, nest pourtant que relative. Le premier piège est ici la langue : « laïque », « laïcité » sont intraduisibles hors des langues latines. En anglais, secular (par opposition à lay) apparaît comme une catégorie générale. Ainsi sexplique que, sur les 170 États internationalement reconnus, seuls 9 États francophones dAfrique et la Turquie (qui a démarqué le mot français) se sont proclamés « laïques ». Beaucoup plus nombreux sont ceux qui se pensent comme « séculiers », y compris les États-Unis. Les colons britanniques ou européens avaient fui leur pays pour trouver en Amérique la liberté religieuse. Cest cette liberté que les constituants voulurent préserver contre tout empiètement du nouvel État, à linverse de la France qui se heurtait à la dominance de lÉglise catholique.
En vertu de la Déclaration universelle des droits de lhomme [1948], tous reconnaissent le droit de chaque homme à la liberté publique (et non seulement privée) de conscience et de religion. Plusieurs pays, de moins en moins nombreux, continuent à reconnaître lautorité supérieure de lÉglise catholique (cétait le cas de lEspagne, de lItalie, de plusieurs pays latino-américains et quelques cantons suisses; cest encore le cas de Monaco et du Liechtenstein, du Guatemala, du Costa Rica et de la Colombie) ou de lÉglise orthodoxe (Grèce). La formulation la plus crue se trouve dans la Constitution de Malte, qui reconnaît à ses évêques « le droit et le devoir de dire le vrai et le faux, le bien et le mal en matière de principes » (art. 2.2). Radicalement différente est la situation des pays nordiques (Suède, Norvège, Danemark, Islande) et de lAngleterre : la situation privilégiée dune Eglise dite établie, nationale ou populaire, peut faire peser ses contraintes sur la population, voire sur la personne du souverain : elle laisse entière la souveraineté de lÉtat qui a autorité sur elle.
Une question reste ouverte : comment qualifier ces États qui font référence non à une Église particulière, mais à lautorité souveraine de Dieu? Ce fut le cas de la France déclarant les droits de lhomme « en présence et sous les auspices de lÊtre suprême » (ainsi que la rappelé la Constitution de 1958). Cest toujours celui des Etats-Unis, placés « under God », sous la souveraineté de Dieu, et dont la monnaie rappelle que « in God we trust », cest-à-dire, nous ne faisons confiance quen Dieu; comme de la Suisse : « Au nom de Dieu tout-Puissant » de sa Constitution fondatrice (1291).
À lopposé se trouvent - ou se trouvaient - les États communistes professant le marxisme athée. LÉtat restait celui de tous les citoyens, même sil privilégiait le Parti officiellement athée.
Hors du domaine chrétien, la situation est analogue : la Chine et le Vietnam restent dans la tradition marxiste; le Népal est un État hindou; le Bhoutan est un État Bouddhique; les Philippines suivent le modèle américain; la Corée du Sud interdit toute religion dÉtat, ainsi que le Japon depuis 1946. Le monde musulman présente à peu près tous les cas de figure, et lÉtat islamique nest quune des situations possibles.
Un tour du monde montre ainsi que bien des États contemporains sont encore loin dune conception laïque et se montrent inégalement avancés sur cette voie. Par ailleurs, bien des États dont le caractère séculier est incontestable ne sont pas disposés à se dire « laïques ». Dans les enceintes internationales, cest la sécularisation qui donne le ton.
5. Le cas de l'île Maurice
Pour éliminer linstitution du Gouverneur Général, qui était un symbole colonial, la République mauricienne sest inspirée du système indien sans consensus du peuple mauricien. Le symbolisme est la seule valeur qui caractérise la République mauricienne. Les termes républicain, citoyen et laïque, tels quils sont connus en France (dont le sens est loin de faire lunanimité des Français eux-mêmes), les copier à Maurice serait grotesque. LÉtat mauricien reconnaît toutes les religions, toutes les communautés et toutes les langues, que ce soit européennes, africaines ou orientales, de tous ses citoyens, qui devrait former la nation mauricienne. Le système mauricien effectivement rejette la laïcité malgré la désinformation qui se trouve dans les journaux pro-politique française.
LÉtat Civil que Maurice a hérité de ladministration française nimpose aucune religion civile, et lenseignement public nimpose aucune religion principale. Mais linstitution catholique, une vestige coloniale et esclavagiste, reste toujours une institution privilégiée car la rétrocession de ses biens coloniaux n'a jamais été faite en dépit de lindépendance de lîle Maurice [1968]. Et limposition du catholicisme est toujours pratiquée, dans une certaine mesure, dans des écoles à caractère confessionnelle catholique, malgré que ces écoles soient subventionnées par lÉtat. Le prêtre Maurice Piat du diocèse de Port Louis parle même de « lautorité catholique » en adressant ses demandes avec force à lÉtat mauricien [week-end, 09 avril 2000].
6. L'intolérance d'un État laïque ou une laïcité à la carte
La laïcité est considérée comme « une exception française » :
(1) sopposant non seulement aux modèles politiques à religion dÉtat, même sils sont élus par voie de la démocratie (par exemple, lAlgérie), mais
(2) sopposant également à une tradition anglo-saxonne qui reconnaît, sans adopter, dans le cadre de lÉtat, lexistence dun principe religieux, tout en laissant chaque citoyen adopter la croyance quil souhaite, et
(3) sopposant aussi à la solution américaine qui reconnaît les spécificités de toutes les communautés, tout en séparant la religion de lÉtat Civil.
En Turquie la laïcité est carrément imposée par une constante violation des droits de l'homme.
Le système laïque français ne reconnaît, au niveau de lÉtat, ni lexistence dun principe religieux, système basée sur lathéisme : «Après 1945 : anticléricalisme composite irréligieux, laïc (opposition aux écoles catholiques) ou matérialiste athée»], et ni les spécificités des races et des communautés (principe intégratrice), laissant les croyances religieuses et leurs enseignements à la sphère privée. Même les langues et lhabillement deviennent par force sujets à la laïcisation. Lenseignement des langues non européennes en France ne prend pas en considération les dimensions culturelles et religieuses de ces langues, comme les langues hébraïques, arabe, indiennes.
Par contre, la laïcité autorise et impose lenseignement de la théorie de lévolution biologique de l'espèce humaine, basée sur lathéisme, mais elle interdit catégoriquement lenseignement de la théorie de la création biblique ou autre. [v. les ouvrages du Dr Kent Hovind [USA] sur le créationnisme v/s lévolutionnisme]. Lathéisme préconise, entre autre, que cest la nature temporaire de la vie qui pousse les humains vers une croyance divine incertaine, et que la divinité, si elle existe vraiment, nest que dordre spirituel et non temporel, entravant ainsi le progrès et le développement.
Malgré son apparente intolérance étatique, les dérogations à la laïcité continuent principalement en faveur des Églises catholiques, protestantes et juives, qui semblent accepter tous les compromis, mais contre dautres religions, en particulier lIslam, malgré que la France compte entre 5 et 6 millions de Musulmans. Aujourd'hui la laïcité en France est devenue une arme anti-sémite arabe et anti-islamique dans une pratique d'intolérance sélective. Lîle sur, la Réunion, département français, sexprime parfois politiquement à contre-courant de la métropole, par exemple, en reconnaissant la spécificité des différentes ethnies et religions. Dans le but d'empêcher les Créoles de ses D.O.M.-T.O.M. , Départements et Territoires Outremers français, de faire des recherches plus approfondies sur leurs véritables identités ancestrales basées sur leurs langues (comme le Swahili, le Zulu) et religions (comme l'Islam), la France inventa aussi l'idéologie créoliste pour ses communautés dits créoles, la « créolité » étant une dérogation à la laïcité. La laïcité française est alors une laïcité à la carte !
7. Conclusion
La sécularisation et le déclin de la croyance et pratique religieuse étaient considérés par certains comme le cachet de la modernisation et de la démocratie libérale de louest. Mais récemment, depuis la Révolution iranienne [1979], la prise de conscience des 'valeurs' fondamentales de lIslam, la résurrection de la Nouvelle Droite et les valeurs fondamentales dans la politique des États Unis dans les années 1980, et le démantèlement des régimes communistes les plus séculiers (ultra laïques) vers la fin de cette décennie, la religion est largement reconnue « as a powerful element in both individual and public life », cest-à-dire, un puissant facteur tant dans la vie individuelle que dans la vie publique . Quoiquil en soit, malgré que, daprès Jules Ferry, cest la morale qui constitue lélément solide et stable des religions, et non vice versa, il est de plus en plus reconnu quun ordre moral ne peut pas être laïque car la moralité et les religions du monde sont inexorablement liées.
Auteur : M. RAFIC SOORMALLY
Maidstone, Kent, Angleterre
Ce samedi 29 juin 2002 (LVO)
Ce dimanche 14 septembre 2003 (LNMF)
Ce vendredi 19 novembre 2004 (BLADI.NET)
Ghyslaine ROC
La laïcité à la française toujours dactualité à lîle Maurice, ancienne colonie franco-britannique, actuellement néo-colonie britannique. Des mensonges débités sans cesse par la presse francophone.
SAJ : Sir Aneerood Jugnauth, Président auto-proclamé de la République (bananière) de Maurice. Lactuel Premier Ministre, un Blanc (Franco-mauricien), Paul Raymond Bérenger ne fut pas élu aux dernières élections, mais avait fait un « deal » avec le Premier Ministre Sir Aneerood Jugnauth de partager entre eux le pouvoir politique, SAJ Premier Ministre pendant 3 ans, et ensuite Bérenger pendant 2 ans. Le mandat est de 5 ans. Mais, à la condition que SAJ remplace (sans élection) le Président en exercice, Karl Hoffmann, avec des pouvoirs « accrus », cest à dire quasi dictatoriaux.
« SÉCULIER VS LAÏQUE - Le Ramayana, SAJ et la laïcité, article publié le mardi 30 novembre 2004 dans le quotidien lExpress.
Maurice est un État séculier et non laïque. Exception française, la laïcité ne reconnaît au niveau du gouvernement aucune religion, race ou communauté. Le système séculier, lui, les reconnaît toutes.
Dans son article SAJ parlera le 30 décembre, paru dans lexpress du 10 novembre 2004, Monsieur Raj Meetarbhan nous dit que La décision de Sir Anerood Jugnauth procède dune volonté de respecter le principe de laïcité, auquel souscrivent les républicains.
Par de tels propos, M. Meetarbhan nous laisse-t-il entendre quil a déjà lu le texte que le président mauricien, Sir Anerood Jugnauth (SAJ), a lintention de lire le 30 décembre prochain, et que la laïcité sera mentionnée comme la raison de son choix de la date de son discours ? Comment M. Meetarbhan peut-t-il savoir que la décision de SAJ est motivée par la laïcité, le concept français quil explique très mal dailleurs ? Il prétend que les républicains souscrivent à la laïcité, mais quels républicains ? Les républicains français ont fait de la laïcité le fondement de leur république post-Révolution française. Mais les républicains iraniens ont fait de lislam le fondement de leur république post-révolution iranienne. Je me demande si M. Meetarbhan peut nous dire où se trouve la laïcité dans la république du Congo, les républiques de la Baltique, les Républiques autonomes de la Russie (Altaï, Bachkortostan, Daghestan, Tchétchénie, Carélie, Tatarstan, Komis, etc.), la République américaine, la République de lInde, et la République de Maurice.
Par linoubliable Méthode Coué, M. Meetarbhan veut à tout prix faire croire aux Mauriciens que Maurice est un état laïque (à la française) sans expliquer comment Mais les ( ) journalistes sont as clear as mud dans leur politique propagandiste de la laïcité.
Maurice est un état séculier (secular en anglais), et non laïque. La laïcité est une exception française, et le mot est intraduisible en anglais propre. La laïcité est un signe dune sécularisation de lEtat, mais un Etat séculier nest pas nécessairement laïque, tels lAngleterre, lInde, Maurice. Un laïc est un prêtre catholique qui nappartient pas au clergé. La laïcité est un terme emprunté à léglise catholique par les philosophes français comme Descartes, Voltaire, Montesquieu, pour combattre lemprise de léglise catholique sur lÉtat français, y compris lenseignement. Les circonstances propres à la France - sa centralisation, son catholicisme dÉtat, une église catholique qui continue ses procès de sorcellerie, une agriculture défaillante, son intolérance de Contre-Réforme - ont fait, dans ce pays, de la philosophie anticléricale. À ses origines, la politique de la laïcité ne concernait que le catholicisme. Ce nest que subséquemment que le colonialisme et lesclavagisme français essayèrent dimposer cette politique sur dautres pays souverains et dautres religions. Il nest alors pas surprenant que les journalistes des organes pro-français et francophiles veulent à tout prix imposer cette politique aux Mauriciens, surtout dans le contexte propagandiste de la créolité ou de la créolisation, termes issus de lesclavage. Labbé Philippe Fanchette avait tout à fait raison de dire : Il ne se laisse ni angoisser ni constiper par une théorie de la nation républicaine et laïque importée exclusivement de France et imposée aux seuls créoles (le Mauricien, 28 juillet 2001 - Pardonnez-nous, labbé )
Séculier vs laïque
La laïcité nadopte non-seulement pas de religion dEtat, comme le catholicisme durant la pré-Révolution française, mais elle ne reconnaît nonplus, au niveau de lEtat, aucune religion, aucun race, et aucune communauté. La laïcité est un principe intégrateur basé sur lathéisme et présuppose un peuple homogène dit citoyen, dont la citoyenneté, qui est un des fondements de la République post-révolution française, et sans aucune pertinence pour Maurice.
De lautre côté, séculier est aussi un principe politique qui nadopte pas de religion dEtat. Mais un système séculier reconnaît, au niveau de lEtat, toutes les religions, races et communautés, cultures.
Comme les Etats-Unis, lAngleterre et lInde, Maurice a un système politique séculier mais non laïque comme le prétendent certains journalistes fanatiques et extrémistes ( ) de Maurice.
M. Meetarbhan doit absolument sexpliquer plus en détails sur cette prétendue volonté du président SAJ de respecter le principe de laïcité auquel souscrivent les dits républicains, surtout, étant donné que le président de la République mauricienne nest que symbolique, nétant pas élu au suffrage universel. La présidence mauricienne actuelle nest quun jeu politique dans le partage non-démocratique du pouvoir. Si SAJ est président depuis septembre 2003, cest bien par arrangement (magouille, diraient les mauvaises langues) politique avec M. Paul Bérenger dans lalliance MSM-MMM pour que M. Bérenger puisse devenir Premier ministre, forçant ainsi la démission du willing ex-Président Offman après seulement une année de présidence, en dépit du fait quil ait prêté serment pour cinq ans. Sacrilège, diraient dautres ! Dans le contexte mauricien, où sont-elles ces valeurs républicaines que nous ressassent sans cesse nos journalistes politiciens ?
Où peut-on nous renseigner sur cette fameuse pensée républicaine de M. Meetarbhan? Est-ce vraiment une affaire dEtat si SAJ sadresse à la population le jour de Noël, la veille ou le lendemain, le jour du réveillon ou 24 heures avant (soit le 30 décembre) le nouvel an chrétien de lère chrétienne ? Dans la logique de M. Meetarbhan, le président SAJ ne devrait-il pas sadresser à la population de même, par exemple, 24 heures avant le nouvel an de lère islamique pour démontrer sa volonté de respecter le principe de laïcité ? Il est évident que M. Meetarbhan est très mal informé sur le concept de la laïcité et quil devrait se renseigner davantage avant décrire sur un sujet aussi complexe. Bien que la France se prétende laïque, il y a tellement de dérogations à cette laïcité française quon ne peut objectivement dire que la France est un pays laïque.
Le Ramayana, SAJ et la laïcité
Il est fort instructif de constater lindélicatesse de certains journalistes politiciens qui ne reculent devant rien, et déforment en toute impunité la vérité dans le but de manipuler lesprit et lignorance des Mauriciens et leur faire croire nimporte quelles divagations journalistiques. La déclaration de SAJ selon laquelle il aurait toujours gouverné Maurice selon les principes et valeurs du Ramayana est de notoriété publique. Selon lhebdomadaire Mauritius Times du 23 août 2002, SAJ and values of Ramayana: From then to now and beyond , Dilip Laxman écrit que SAJ understood and appreciated the full meaning of what he had said en déclarant que in running the affairs of the state he had always been guided by and followed the values enshrined in the Ramayana, considering them as the ideal: Rajneeti me Ramayana mera sabse bara adarsh rahi hai.
De la gestion économique de SAJ selon les principes de bhakti and shakti, à ses sacrifices tyaag ka raasta, en passant par le samaj ko jagaya, social awakening de Maurice et de son rajneeti, based on the precepts of Bhagwan Ram: maine hamesha apna vachan nibhaya aur janta ke soukh aur sammridhi ke liye kam kiya, tout respire le communalisme (communautarisme) et en aucun cas un quelconque esprit de laïcité comme le prétend Raj Meetarbhan !
Finalement, pour conclure, lÉtat français, de son côté, se sert dangereusement dune mauvaise définition de ce concept de laïcité afin de justifier ses propres préjugés et sa politique fascisante envers certaines langues, races, cultures et une religion en particulier, lislam. Le faux débat sur le port du hijaab (foulard porté par certaines musulmanes) et son interdiction est en violation flagrante des droits de lhomme (de la femme musulmane).
Article 9 - Liberté de pensée, de conscience et de religion (1)
1. Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion ; ce droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction, ainsi que la liberté de manifester sa religion ou sa conviction individuellement ou collectivement, en public ou en privé, par le culte, lenseignement, les pratiques et laccomplissement des rites.
2. La liberté de manifester sa religion ou ses convictions ne peut faire lobjet dautres restrictions que celles qui, prévues par la loi, constituent des mesures nécessaires, dans une société démocratique, à la sécurité publique, à la protection de lordre, de la santé ou de la morale publiques, ou à la protection des droits et libertés dautrui.
COUNCIL OF EUROPE - The European Convention on Human Rights - ROME 4 November 1950
LEtat mauricien est séculier, Dieu merci, et non laïque.
Rafic SOORMALLY
Le 11 novembre 2004
Notes.
M. Raj Meetarban est lassistant rédacteur (Deputy Editor) du quotidien lExpress. Jean Claude de lEstrac en est léditeur.
Le Monde.fr
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Par Camille Bordenet
Sur la façade ensoleillée de la petite église catholique gallicane Sainte-Rita – un peu défraîchie depuis sa construction en 1900 – dans le 15e arrondissement parisien, la bannière fièrement tendue « Non à la démolition de la paroisse Sainte-Rita » semble défier la pancarte de permis de démolition qui jonche le parvis. Pourtant, ni Sainte-Rita, patronne des causes désespérées, ni la mobilisation active des fidèles n'auront pu empêcher la décision du tribunal administratif de Paris qui a rejeté, mardi 11 mars, le recours déposé par l'association de défense de Sainte-Rita contre la démolition et, par conséquent, l'expulsion des paroissiens. En lieu et place de l'église seront construits une vingtaine de logements sociaux et des parkings. Les occupants ont six mois, à compter de la notification du jugement, pour quitter les lieux.
Un drame pour les nombreux fidèles qui parcourent des centaines de kilomètres, chaque dimanche, accompagnés de leur chiens, chats, oiseaux, lapins ou furets pour se rendre à Sainte-Rita : la paroisse est l'une des rares, en France, à permettre la présence des animaux de compagnie durant l'office.Mais elle est encore plus célèbre pour sa bénédiction de tous les animaux, chaque premier dimanche de novembre lors de la messe de Saint-François d'Assise, patron des bêtes, qui attire presque un millier de fidèles. Lamas, dromadaires, zèbres, perroquets, singes et même tigres y ont été bénis par Mgr Dominique Philippe, archevêque catholique gallican de Paris qui officie depuis vingt-neuf ans à Sainte-Rita, hors de l'autorité du Vatican. Le religieux a repris l'édifice en 1988, alors que celui-ci était fermé depuis douze ans.
« C'ÉTAIT LE BON TEMPS »
Dans sa longue robe écrue, l'homme sourit en se remémorant le passage de François Hollande et de Ségolène Royal, il y a de ça « presque dix ans, lorsqu'ils étaient encore ensemble », pour une messe des chats. « Ils disaient adorer les chats et venaient voir s'ils pouvaient en adopter », s'amuse Mgr Philippe. « C'était le bon temps ».
Car les ennuis ont commencé il y a deux ans lorsque le propriétaire de l'époque, l'association cultuelle des Chapelles catholiques et apostoliques, a entamé une procédure d'expulsion des occupants – demandant à la justice de résilier le bail accordé à la communauté qui occupe l'église –, avant de vendre le lieu à un promoteur immobilier nantais, Loceane. Le bâtiment, non classé, est jugé sans intérêt patrimonial ou architectural par la commission du Vieux Paris, qui rend des avis sur le patrimoine et l'urbanisme de la capitale. Le permis de démolir est alors délivré.
« Nous nous interrogeons sur la recevabilité de la demande [d'expulsion] de l'association », a réagi lors de l'audience Me Jean-Marc Fedida, avocat de Sainte-Rita. « Nous demandons à ce que toute la clarté soit faite sur les conditions dans lesquelles elle continue à se prétendre propriétaire d'un bien immobilier pour lequel un promoteur a déposé et obtenu un permis de construire », a-t-il ajouté.
ENJEU DES MUNICIPALES
Le maire du 15e arrondissement, Philippe Goujon (UMP), candidat à sa propre succession aux municipales de mars, s'est toujours positionné contre la démolition, au nom de la protection du patrimoine culturel du quartier. « Cette église néogothique est un marqueur de l'identité du quartier, je ne comprends pas qu'on puisse vouloir y construire des logements sociaux à la place », déclare au Monde celui qui tâcle la politique « bétonneuse » de Mme Hidalgo dans le 15e. L'édile dit n'avoir reçu aucune réponse du maire de Paris, qu'il avait saisi sur le cas de Sainte-Rita. Il s'est ensuite adressé à la direction régionale des affaires culturelles (DRAC) pour qu'elle attribue au bâtiment le label: « Patrimoine culturel du XXe siècle ».
A l'occasion des municipales de mars, les autres candidats dans le 15e arrondissement se sont aussi prononcés sur la question. Le numéro deux sur la liste d'Anne Hidalgo, Claude Dargent, s'est déclaré, selon Paris Tribune, « favorable au principe d'une opération de logements sur cette parcelle là (…) Sainte Rita est une église qui relève d'un culte qui n'est pas l'église catholique (…) qui n'entre [donc] pas dans la loi de 1905 ».
APPEL À BILL GATES OU AU QATAR
L'enjeu électoral semble dépasser Mgr Dominique Philippe. Le religieux a toujours été conscient qu'il n'avait pas les moyens de réunir les 3,3 millions d'euros nécessaires au rachat des lieux. Résigné plutôt qu'irascible, il préfère préparer la suite et espère trouver les fonds pour acheter un local abordable sur Paris. « Rien d'accessible pour l'instant », déplore-t-il. De quoi commencer à sérieusement s'inquiéter pour le devenir des trente mariages prévus d'ici l'été. « Des américains, des japonais, des chinois veulent se marier chez nous. Que va-t-on faire ? », s'interroge-t-il. Sans compter la célèbre messe des motards, chaque été.
Mais la décision du tribunal n'arrêtera sûrement pas François Lusinchi, président de l'Association Paroisse Sainte-Rita qui, quelques heures avant son rendu, croyait encore en la possibilité de racheter la paroisse grâce à un large appel au don sur Internet. « Quelques personnes anonymes ont déjà envoyé des chèques de 500€ après avoir entendu parler de notre situation », s'étonne presque Mgr Dominique Philippe.
Si les dons ne suffisent pas, François Lusinchi assure qu'il fera appel à d'autres généreux donateurs : « Je me suis renseigné pour faire appel à la fondation de Bill Gates ou pour demander de l'aide au Qatar : ils ont racheté le PSG, ils peuvent bien racheter une église à 3 millions ». Pour ce paroissien qui parcourt 15 kilomètres chaque dimanche avec Venus, son caniche, pour assister à l'office, démolir Sainte-Rita et y établir un immeuble à la place reviendrait à « tuer toute l'âme du village qu'est la rue François-Bonvin », qui perdrait ainsi « son cachet ».
« Nous n'allons pas nous laisser faire et allons faire appel de la décision qui porte atteinte à notre liberté religieuse », a-t-il ensuite déclaré. Une manifestation de soutien qui rassemblera fidèles et animaux est prévue le 15 mars sur le parvis de l'Hôtel de ville.
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/societe/article/2014/03/12/sainte-rita-l-eglise-des-animaux-sera-demolie_4381245_3224.html#FHojq5CiyI121IDF.99
UK PRIEST'S LETTER TO AN ANTI-ISLAM, ANTI-ARAB, ANT-ARABIC AND ANTI-MUSLIM RACIST - A MISISLAMIST!
From Muhammad Al-Massari
PRIEST'S LETTER TO AN ISLAMOPHOBE
Letter from a Catholic Priest in UK about Islam-o-phobia in Europe .
FATHER FRANK GELLI.
29 October 2009
Open Letter to Islam-o-phobe Dutch MP Geert Wilders
Dear Mr Wilders,
They say you can only take a horse to the water, you can't make it drink. But human beings are not horses. Unlike animals, they can be reasoned with. I offer these few remarks in the faint hope you are amenable to reason. It is about your recent speech to the Alliance of Patriots in New York .In which you paint an apocalyptic picture of `the Islamization of Europe '. You describe some European cities with Muslim neighbourhoods in lurid terms. It is a world `where women walk around in figureless tents...Their husbands, or slave holders, if you prefer, walk three steps ahead'. Mr Wilders, I live bang near one of those areas in West London .
I often visit Whitechapel and Edgware Road – parts of our colourful Londonistan - I have never seen a Muslim woman walking behind her husband. Rather, the mothers stroll about in a proud, dignified manner,alongside the men. Nothing in their behaviour suggests a subordinate role, let alone slavery. And there are tons of lively, even feisty Muslim girls wearing all sorts of gear.True, they may not, as a rule, behave like permissive, liberated females, baring the flesh, hugging and kissing partners in public, no. I would even guess most of them don't sleep with boys before marriage. But since when are chastity, modesty and self-restraint so bad? The traditional, Christian mores of the Western civilisation which you claim to uphold used to prize such things, no?
'25 per cent of the population of Europe will be Muslim just 12 years from now'.Lies, damned lies and statistics, someone said.. But if you want native Europeans to stay numerically supreme, how about encouraging them to have more children? To urge them not to use contraceptives, the pills? To give up abortion? To bolster family values?
Stop bashing Islam. Embrace the Christian religion in its conservative, sound traditions and all will be kosher.`Thousands of mosques across Europe . With larger congregations than churches', you notice. Well, whose fault is that? Do perhaps Muslims stand at church doors, stopping the eager faithful from worshipping the Lord?
Me thinks you should rather address yourself to Christians. `Look at Muslims' you should say. `Look at how many regularly pray. How keen they are on the observances of their religion. You should do the same.' Exactly.The flourishing of mosques across Europe should serve as a stimulus to Christians. A window of opportunity. As an urgent reminder to get back to their vital, life-giving roots – the worship of the One True God. Why blame pious Muslims for the faults of lukewarm or nominal Christians, eh?
In Amsterdam `gays are beaten up almost exclusively by Muslims'. Awful, if true. Funnily enough, I recall the words of Pym Fortuyn, the gay right-wing politician murdered by a fanatic. `I have nothing against Moroccans – I have slept with so many of them.'
The history of the Holocaust can no longer be taught because of Muslim sensitivity.' How bizarre. First, a godson of mine has been to Auschwitz , on a school trip. Part of a programme to learn about wartime horrors. School curricula in Britain do in fact include projects about WWII and persecutions of Jews and other people. London's Imperial War Museum has a holocaust section, which I viewed just the other day. What's more, TV channels force-feed viewers with a daily, obsessive dose of films and programmes about the war and Germany 's crimes.If anybody should complain about this state of affairs, it should be Germans. It fuels Germanophobia, the lurking, masochistic
English
vice. Do today's Germans deserve such constant pilloring? After all,
isn't Germany amongst the strongest supporters of your beloved state of
Israel ?
The Prophet Muhammad. Had he been `a man of peace...like Gandhi and Mother Teresa wrapped in one, there would be no problem. But Mohammed was...' I won't quote the rest, as it would be distasteful.
Muhammad certainly did not found a religion like the Quakers, no. And he is definitely different from figures like Buddha and Jesus. However, why you did not compare him to a prophet and lawgiver like Moses? Muhammad had the Jewish tribes of Banu Qurayza slaughtered, you write. Well, Exodus 32:25 has Moses ordering the Levites to slay those who had worshipped the Golden Calf, about 3000 men.`Today you have ordained yourselves for the service of the Lord' Moses told the slayers. Hardly like Gandhi, would you agree. You are silent about Moses, I suspect, because in your speech you wrapped yourself in the mantle of defender of Israel . Mr Wilders, this Anglican priest is opposed to the destruction of the state of Israel . Because I am a Christian, Jews are rather important to me. I support both a Jewish state and a Palestinian state. A modest-sized Jewish Vatican in the Holy Land is the realistic solution.
Bernard Wasserstein's thoughtful book, `Israel & Palestine' points the way. Wasserstein shows how your fantasy of Israel as a heroic outpost of the West against the incoming Jihad is nonsense. Indeed, Israeli society today needs immigrants as much as Europe does. And they won't be Jewish immigrants.
Despite your astonishing garbage about rising anti-Semitism in France (headed by a Jewish President!), Jews worldwide are happy where they are- they not migrating to Israel – or should I say Isra-hell', as my Israeli friend Ronen once wrote?
Ok, you don't like Muslims. Yet they are not going to go away. Your case is analogous to that of the man whose garden was infested by ladybirds. They were everywhere. He didn't like them. He tried several methods to get rid of them. Sprays, insecticides, this and that. Nothing worked. The ladybirds kept being around. Indeed, they multiplied. The guy was getting obsessed with them, growing paranoid, bitter, haunted. Eventually, he sent an e-mail to a wise old friend, an experienced gardener: `What should I do about the damned ladybirds?' The reply came: `I suggest you learn to love them'.
Revd Frank Julian Gelli
I want to tell the world a story
The Prophet Muhammad. Had he been `a man of peace...like Gandhi and Mother Teresa wrapped in one, there would be no problem. But Mohammed was...' I won't quote the rest, as it would be distasteful.
Muhammad certainly did not found a religion like the Quakers, no. And he is definitely different from figures like Buddha and Jesus. However, why you did not compare him to a prophet and lawgiver like Moses? Muhammad had the Jewish tribes of Banu Qurayza slaughtered, you write. Well, Exodus 32:25 has Moses ordering the Levites to slay those who had worshipped the Golden Calf, about 3000 men.`Today you have ordained yourselves for the service of the Lord' Moses told the slayers. Hardly like Gandhi, would you agree. You are silent about Moses, I suspect, because in your speech you wrapped yourself in the mantle of defender of Israel . Mr Wilders, this Anglican priest is opposed to the destruction of the state of Israel . Because I am a Christian, Jews are rather important to me. I support both a Jewish state and a Palestinian state. A modest-sized Jewish Vatican in the Holy Land is the realistic solution.
Bernard Wasserstein's thoughtful book, `Israel & Palestine' points the way. Wasserstein shows how your fantasy of Israel as a heroic outpost of the West against the incoming Jihad is nonsense. Indeed, Israeli society today needs immigrants as much as Europe does. And they won't be Jewish immigrants.
Despite your astonishing garbage about rising anti-Semitism in France (headed by a Jewish President!), Jews worldwide are happy where they are- they not migrating to Israel – or should I say Isra-hell', as my Israeli friend Ronen once wrote?
Ok, you don't like Muslims. Yet they are not going to go away. Your case is analogous to that of the man whose garden was infested by ladybirds. They were everywhere. He didn't like them. He tried several methods to get rid of them. Sprays, insecticides, this and that. Nothing worked. The ladybirds kept being around. Indeed, they multiplied. The guy was getting obsessed with them, growing paranoid, bitter, haunted. Eventually, he sent an e-mail to a wise old friend, an experienced gardener: `What should I do about the damned ladybirds?' The reply came: `I suggest you learn to love them'.
Revd Frank Julian Gelli
I want to tell the world a story
Uploaded on 1 Mar 2009
You
can do itLight a candle One little candle Watch the darkness fade
awayJust try it outOne ray of lightWipes away the gloomiestJet-black
nightsAs the dawn breaksJust observeCan you see thatAll the might of
darknessIn the worldCannot extinguishThe faintest flickerOf a beam of
lightLight a candleOne little candleWatch the darkness fade awayYou can
do itHey.. WORLD Did you hear me?
But, who really gives a damn?
Not even Jews, Christians and Muslims!
BAFS
Haut-Rhin: pris d'un "coup de sang" un élu socialiste décroche un crucifix du Conseil général
Edité par Philippe GOMONT avec AFP
le 14 mars 2015 à 20h35 , mis à jour le 14 mars 2015 à 20h40.
le 14 mars 2015 à 20h35 , mis à jour le 14 mars 2015 à 20h40.
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Pris
d'un "coup de sang", le conseiller général socialiste du Haut-Rhin
Pierre Freyburger a décroché vendredi le crucifix accroché dans
l'hémicycle du Conseil général, suscitant un tollé au sein de la
majorité de droite, et l'assemblée départementale a porté plainte pour
vol.
L'élu a reconnu avoir subtilisé le crucifix
à l'issue de la dernière séance de travail de la commission permanente
du CG68, avant les élections départementales. "Je l'ai décroché d'une
main, je l'ai mis dans un sac et je suis reparti. Je ne me suis pas
caché", a expliqué M. Freyburger, qui a ajouté avoir été pris "d'un coup
de sang".
Ce crucifix en bois polychrome d'une
quarantaine de centimètres de hauteur représente le Christ sans le bois
de sa crucifixion. Le Christ orne les murs de l'hémicycle depuis 2005,
affirme l'élu. Par son geste M. Freyburger se défend d'avoir simplement
voulu rouvrir le débat sur la laïcité au sein des instances républicaines et le Concordat de 1801 qui régit en Alsace-Moselle les rapports des cultes et de l'Etat.
Geste "aussi odieux qu'antidémocratique"
Il dit avoir été pris vendredi d'un "coup de
sang" après s'être remémoré un débat houleux avec les élus de la
majorité autour de la présence du crucifix depuis le déménagement de la
collectivité dans ses nouveaux locaux en 2005. "On avait alors fait
observer qu'on était dans une enceinte républicaine et que ce crucifix
n'avait pas lieu d'être. Est-ce que les élus de droite accepteraient
qu'on accroche un crucifix par exemple à l'Assemblée nationale ?",
s'est-il interrogé. "Je l'ai simplement décroché pour qu'on le remette à
qui de droit c'est-à-dire à l'Eglise, et pour permettre au Conseil
général de rentrer à nouveau dans la légalité", a-t-il ajouté.
Les élus de la
majorité alsacienne du CG68 ont évoqué un geste "aussi odieux
qu'antidémocratique". Ils ont affirmé que l'élu PS a "subtilisé (...)
une oeuvre polychrome du XVIIe siècle représentant la figure du Christ,
qui orne depuis plus de 30 ans l'hémicycle du Conseil Général". M.
Freyburger, ancien candidat malheureux à la mairie de Mulhouse aux
dernières municipales, a encore déclaré avoir mandaté une personne
chargée de remettre le crucifix à un prêtre du Haut-Rhin.
Nicolas Bedos : la justice ne voit aucun problème à traiter Marine Le Pen de « salope fascisante »
Le 18 mars, la justice a débouté Marine Le Pen dans son procès en appel face à Nicolas Bedos.
Dans une chronique initialement consacrée à Claude Guéant et publiée dans l’hebdomadaire Marianne du 14 janvier 2012, le fiston Bedos avait qualifié la présidente du Front National de « salope fascisante ». Un terme que la justice française n’a pas du tout estimé comme étant injurieux.Extrait de la chronique :
La droite entend ainsi lutter contre la montée de l’extrême droite. « Ne laissons pas le terrain à Marine, la VRAIE méchante » […] Sauf que personne n’empêchera quelques idéalistes rigides de penser qu’à force de singer la salope fascisante, celle-ci est déjà au pouvoir : […] on l’appelle Claude Guéant.La 17e chambre correctionnelle est claire et nette :
Il est parfaitement clair pour tout lecteur que la chronique en cause se situe dans un registre aux accents délibérément provocateurs et outranciers, revendiqué comme tel.Il est évident que Nicolas Bedos, à l’inverse de Dieudonné, est doté d’une capacité de distanciation totale et bien maitrisée. C’est le petit détail qui a permis de faire la différence.
Découvrez ci-dessous quelques citations de Dieudonné qui lui ont valu de récentes condamnations et pour lesquelles, selon la justice, la distanciation n’était malheureusement pas au rendez-vous.
Affaire Patrick Cohen :
Tu vois, lui, si le vent tourne, je ne suis pas sûr qu’il ait le temps de faire sa valise. Quand je l’entends parler, Patrick Cohen, je me dis : « Tu vois, les chambres à gaz… Dommage ! ».Verdict : amende de 22 500 euros et condamnation à payer 16 000 euros de dommages et intérêts à des associations communautaires.
« Je me sens Charlie Coulibaly » :
Après cette marche historique, que dis-je… légendaire ! Instant magique égal au Big Bang qui créa l’Univers !… ou dans une moindre mesure (plus locale) comparable au couronnement de Vercingétorix, je rentre enfin chez moi. Sachez que ce soir, en ce qui me concerne, je me sens Charlie Coulibaly.Verdict : 2 mois de prison avec sursis.
Tout est dans la distanciation !
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