NOËL ET 11 SEPTEMBRE, JOURNÉES SANS SIONISME ! VACCINES, AUTISM.

 NOËL ET 11 SEPTEMBRE, JOURNÉES SANS SIONISME !

 PUTTING ASIDE THE SOLOMON AND CHRIST MYTHS, JUDEO MASONIC ZIONIST DICTATORSHIP IS TRUE!

Mt Athos Prophecies on '666'

Brother Nathanael

Uploaded on 21 May 2011

http://www.realjewnews.com/ http://brothernathanaelfoundation.org/ http://brovids.com/

  (Achtung ! Gossièretés !)

Pas de sionisme à Noël !

• Publié le : mardi 23 décembre
• Auteur(s) : Rédaction E&R
• Mots-clés : France; Israël; Politique; Sionisme
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  Le sionisme ne passera pas par nous ! Tiens, bonne idée, instaurons la Journée Sans Sionisme, ou JSS. Par exemple le jour de Noël. Non, il est déjà férié. Alors… le… 11 septembre ? C’est pas la Journée des Femmes Battues, la Journée de l’Orgasme, la Journée de la Gentillesse… Bon ben, apparemment, la journée est libre, et septembre est le seul mois sans fête. Allez hop, vendu. La journée sans sionisme, ça sera le 11 septembre.
  
  
  
  
  Agression de Créteil, le discours vibrant de trémolos de Manuel Valls, qui a fait de la lutte anti-antisémite une cause nationale :
  
  

  « Quand il se passe de tels drames, de telles tragédies, ce n’est pas la famille simplement qui est blessée, agressée, c’est ce que la France porte de plus grand, de meilleur qui se trouve blessé, abîmé ! »

  Le président de la République du CRIF, Roger Cukierman :
  
  

  « Si l’État ne fait pas de cette cause nationale une ardente obligation, les juifs partiront en masse et la France tombera entre les mains soit de la charia, soit du Front national. »

  Wouah, quelle menace. Sachant que les crimes odieux commis contre les juifs chaque année précipitent le départ de 2000 juifs français vers Israël, calculez combien de meurtres seront nécessaires pour vider la communauté juive française dans le pot israélien, selon les vœux du très démocratique et sympathique Bibi Netanyahu.
  
  
  
  
  Merde, le tigre qui a terrorisé la France pendant 24 heures n’était qu’un gros chat. Les enfants ont été cloqués dans leur école, les mamans tremblaient, paniquaient, la chair de ma chair qui sert de lunch à un tigre, les journalistes piaillaient, BFMTV faisait des micro-trottoir de Troisième Guerre mondiale et puis plaf, un pauv’ matou. Ce branle-bas de combat grotesque nous rappelle quelque chose : qui a les moyens de transformer un chat en tigre, pour foutre la chtouille à tout un peuple ? Le lobby sioniste ! Seul capable de changer un fait divers de crétins en attaque supernazie sur la France, avec revival hitlérien et relance du programme T4 à l’Est. La France entière carrément assimilée à quelques crapules, faut le faire ! Nan mais où on va, là ?
  
  
  
  
  Aux chiottes le fion national. Profondément roulés par le système sioniste « droite/gauche même combat continue », on trouve encore des victimes prêtes à défendre un régime qui les fout à la rue ou les transforme scientifiquement en pauvres. C’est ça, la préparation mentale, l’art de l’intoxication, la puissance des médias. Personne ne veut faire croire par là que le FN va bouleverser la donne, transformant les pauvres en riches et les riches en super riches, envoyant les racailles en camp de travail et l’élite sioniste en Aliah groupée ; le temps des régimes sévères est passé, hélas, chez nous. Mais la politique moderne, dite démocratie, c’est ça : faire de ses victimes ses meilleurs avocats. Que voulez-vous, madame, on ne souffre pas assez pour se révolter. Au moins, les victimes de Staline qui se gelaient du côté de la Kolyma, savaient qui était le diable. Aujourd’hui, le diable brouille les cartes, les pistes et les esprits. Pire : ceux qui luttent contre le diable sont devenus le diable. Et le diable est devenu dieu.
  
  
  
  
  
  Dieu, il en était question à la télé. Invité chez les bobos de gauche (ils n’ont qu’un demi-cerveau, le gauche) pour parler de son film, le moins qu’on puisse dire, c’est que « le rappeur qui a fait hypokhâgne » (pff, il a même pas fait khâgne) provoque des courts-circuits. En vantant le vivre-ensemble et la démocratie et la différence et la paix et l’amour et le respect, Abd al Malik marchait sur du velours. Il pouvait même passer pour le bon Noir soumis qui faisait des phrases sans fautes et sans accent, ce qui rassure les Israéliens blancs (on dit les ashkénazes) en plateau. Oui mais voilà que le voyou se réveille et qu’il balance l’islam comme du TNT sur la table, et là, tu sens que ça dérange les Israéliens. Le sucre devient amer ! Ariel Wizman regarde ailleurs, la jolie présentatrice de la Propagande a un conflit d’extensions (en elle se mélangent le Bien et le Mal et elle comprend pas tout), et on imagine la tête du raciste anticathos Domenach.
  
  Petit message en passant à Malik : quand tu fais la promo à la télé israélienne, tu fous pas les pieds dans le plat de falafels, nom de Dieu !
  
  
  
  
  Nicolas Domenach, le chroniqueur anticatholique (c’est autorisé et même encouragé) de La Nouvelle Édition sur Canal+, l’émission qui chaque midi repasse les plats de la gauche libérale bobo bienpensante porno cool antinationaliste, était très fier ce mercredi 10 décembre 2014. Il revenait d’un voyage de presse officiel, celui de Manuel Valls à Prague. En plateau, Nicolas ne pouvait s’empêcher de sourire d’aise, gonflé de vanité, passant d’une fesse à l’autre, sans avoir conscience de faire honte au Journalisme, utilisé qu’il était par les services du Premier ministre. Cette veulerie déguisée en cool, du jazz du même nom, faisait peine à voir. Hélas, n’importe quel journaliste officiel est prêt à tuer père et mère pour faire partie de La Liste : ceux qui partent loin, là où sont les caméras, avec le président ou le Premier ministre. On y mange bien, on s’y branle l’ego entre amis, et on ramène de l’info de merde dont personne n’a rien à foutre. À force de tout montrer, la télé a fini par montrer son derrière sale : la collusion. Et c’est une bonne chose, pour l’information et les crédules qui croient à la séparation des pouvoirs.
  Des propagandistes qui creusent leur tombe – eh ho, c’est une image – tout sourire, en sifflant, c’est quand même un spectacle insolite. Hé, les gars, vous avez une idée de ce que vous êtes en train de faire ?
  
  
  
  
  Sacrés dessinateurs de gauche : z’ont beau se dire « anars », quand il s’agit de passer à la caisse, ils filent tout doux, les loups féroces qui ne respectent rien redeviennent de gentils moutons sionistes. Des moutons-garous. Ah, bien sûr, ils tapent dur sur Hollande et sur Sarkozy, c’est-à-dire l’UMPS, mais ça, ça mange pas de brioche. Et puis ces crocos ont le cuir épais… de tous les coups qu’ils ont pris. Sont immunisés contre vos vannes de merde. C’est devenu le sport national à la portée de n’importe quel caniche de la presse la plus naze, de se foutre de la gueule du roi et de sa cour de branques. Tout simplement parce que c’est un faux roi (mais avec de vrais lèche-cul), ducons !
  
  Allez vous foutre de la gueule de BHL ou de Jaku comme on le fait, et vous allez voir la différence, libertaires de fête foraine ! Babouse, Charb et tous ces valets tremblants, flinguent les inoffensifs mais loupent comme par magie les dangereux, au même titre que les éditorialistes qui servent l’infâme brouet de propagande du jour sur toutes les radios, télés et publications papier. Le vrai dessin couillu aurait été de montrer le mec qui tient la menorah en train de piétiner Marianne, avec le flic qui regarde ailleurs en sifflant La Marseillaise en hébreu, un flic à tête de Valls. Ah les poltrons, tout juste bons à balancer des cailloux sur les flics qui n’ont pas le droit de riposter, et vous le savez bien ! La démocratie, pour eux, c’est s’essuyer les pieds sur les cibles faciles, désignées par la dominance. Essayez de balancer des pavés sur les flics israéliens, on va rire. Triste bande de sans-couilles.
  
  À propos, on en vend. Et pas (trop) cher. Demandez nos couilles !
  
  
  
  
  Des qui rigolent pas avec le sionisme, c’est les brigades al-Qassam. Y a du look, de la discipline, des logos bien pétants. La branche armée du Hamas a même du matériel de vision nocturne, qui fait flipper les soldats de l’armée israélienne. C’est vrai que d’affronter au sol des groupes armés organisés, ça diffère un peu de bombarder à distance des immeubles de civils. Le versant de l’affaire, c’est que les leaders militaires de cette branche sont éliminés les uns après les autres. Certes, c’est pas des poètes, mais ça heurte un peu les lois internationales. La durée de vie moyenne d’un haut responsable militaire al-Qassam n’excède pas quelques années. Ils ont les honneurs de missiles tirés par hélico. Des éliminations à 140 000 dollars (58 000 mais avec une précision réduite), coût d’un missile air/sol Hellfire tiré d’un hélico Apache israélien. Des Hellfire que les Etats-Unis, pendant la dernière guerre de Gaza, ont refusé de livrer aux Israéliens.
  Les hommes de troupe al-Qassam s’entraînent en Iran, pays qui livre aussi armes et argent. C’est vraiment pour faire chier Israël, cette démocratie pas raciste du tout du Moyen-Orient. De toute façon, au Moyen-Orient, tout le monde fait chier tout le monde : les Syriens ont toujours fait chier Israël (moins aujourd’hui grâce aux petits amis de l’État islamique israélien du Levant), qui a toujours fait chier ses voisins, l’Égypte a arrêté officiellement de faire chier Israël contre des dollars américains et un pouvoir militaire discrètement pro-israélien, alors que c’était pas la même saucisse avec les Frères musulmans, la Jordanie s’est retirée du jeu, l’Irak a été démembrée pour avoir trop fait chier ses grands (Israël) mais surtout ses petits (Koweït) voisins, bref, c’est le foutoir absolu, qui permet à l’axe américano-israélien (Israël est tout simplement une base militaire américaine au milieu des pays arabes) de pseudo-contrôler le tout. Le bordel, le grand souk, tout plutôt que l’unité et les nationalismes arabes. Le front du pétrole contre l’Amérique, cauchemar de ses dirigeants !
  
  
  
  
  Lemmy et Motorhead sont toujours vivants. À côté des minettes de One Direction (direction les chiottes, oui) ou du filsde Julian Casablancas, le drogué puffy qui se la pète avec les Voidz, cette copie foireuse de Motorhead, ils font figure de dinosaures. Musicalement et politiquement, Motorhead, c’est pas bien, mais ça plait aux kids : Lemmy est ouvertement, euh, pas trop social-démocrate, dirons-nous poliment. Ce qui ne l’a pas empêché d’apparaître dans un doc d’Arte, qui n’a rien compris au film. Ou plutôt si : 12 minutes ont été trappées de « Lemmy », diffusé le 20 avril 2013. On y voyait le chanteur faire l’andouille habillé en douanier SS conducteur de char dans la campagne américaine, et chez lui au milieu de sa collec d’armes de la dernière guerre. L’horreur judaïque.
  
  
  
  Des murs entiers tapissés de poignards hitlériens, qu’on imagine enfoncés dans des ventres innocents. Des portraits du Führer, des croix gammées partout. Quand on a vu le doc non-expurgé par la censure artésienne, on a failli s’étrangler : salaud, Schweinehund, Lemmy !
  
  Et quand le journaliste lui fait remarquer que cette déco pas très Marie-Claire Maison risquait de le faire passer pour un « nazi », cet inconscient de Lemmy a simplement répondu : « We’re in a free country, supposedly [1]. » Le genre de phrase qui n’existe plus chez nous. Plouf, disparue. En France, on n’a pas le droit de se foutre de la gueule de Leonarda, sinon on devient tout de suite des tueurs de Gitans, on n’a pas le droit de se foutre de la gueule de Hanouna, sinon… Si, lui on a le droit, mais c’est trop facile. Le mec est une caricature de judéo-non-bolchevique sur pattes ! Et puis, il nous divertit. Grâce à lui, on oublie un peu Prasquier, Cukierman et Jakubowicz…
  
  
  
  
  Ah ben ça c’est la meilleure ! Dieudonné sélectionné en équipe de France de rugby ! Son talent est enfin reconnu par les autorités ! Dieudonné, la France a besoin de toi. Heureusement que ce sportif n’a pas fait la quenelle, imitant en cela Anelka. Il pouvait dire adieu à la Selektion, pardon, la sélection, les contrats publicitaires et le calendrier des mecs à poil, que les homos et les femmes seules (c’est pareil) s’arrachent en fin d’année. C’est toujours mieux que les photos du calendrier de cette pauvre Clara Morgane, qui doit approcher les 75 ans et les 75 de QI. Parce que le X, ça use, et pas que les souliers. Ça use les téléspectateurs ! Entre le porno mémoriel et le porno sexuel, on sait plus où donner de la tête, en télé !
  
  
  
  
  Auf Wiedersehn Elsass. À y est, a pus Alsace. Les Alsaciens, probablement les plus typiques de nos régionalistes, sont fondus contre leur gré dans une grande entité de l’Est, avec leur sister Lorraine. Cela leur apprendra à voter à droite et à loucher vers l’Allemagne. On aimerait bien que l’Alsace regarde à nouveau vers la France mais voilà, pour qu’un pays aille mieux, il faut qu’il ait une fierté, qu’il soit fier de lui et qu’on soit fier de lui. Or cette fierté étant interdite (elle peut déboucher sur du chauvinisme, qui peut déboucher sur du patriotisme, qui peut déboucher sur du nationalisme, qui peut déboucher sur du vichysme, qui peut déboucher sur de l’antisionisme), il est maintenu dans un état de léthargie pathologique, d’où il ne sort que fouettages et mea culpa. L’Allemagne, même sous Hitler, craignait et admirait la France. C’était la patrie de Napoléon, qui faillit renverser l’Empire britannique et la banque juive, et refiler la liberté, comme la coulante, à toute l’Europe. La patrie de la culture et de l’intelligence, mère des Arts et des libertés. Aujourd’hui, on a Cyril Hanouna et Arthur, Canal+ et Arte, la punition de ceux qui ne s’aiment pas.

Notes

[1] « Nous sommes censés être dans un pays libre. »

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• The Importance Of The December 1914 Christmas Truce

  

  Educate! Peace, Wars and Militarism
  By Brian Willson, www.brianwillson.com
  December 24th, 2014

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  Above: From The Illustrated London News of January 9, 1915: “British and German Soldiers Arm-in-Arm Exchanging Headgear: A Christmas Truce between Opposing Trenches.”
  
  
  
  

  Many of the soldiers chose to exchange presents, such as cigarettes and plum puddings

  
  
  In December 1914, an amazing outbreak of peace, though brief, occurred when as many as 100,000 of the million troops, or ten percent, stationed along the 500 mile Western Front in World War I, mutually, and spontaneously, stopped fighting for at least 24-36 hours, December 24-26. Isolated instances of local truces occurred at least as early as December 11, and continued sporadically until New Year’s Day and into early January 1915. At least 115 fighting units were involved among British, German, French and Belgian soldiers. Despite general’s orders strictly forbidding any kind of fraternization with the enemy, many points along the front witnessed trees with lit candles, soldiers coming out of their trenches only 30 to 40 yards apart to shake hands, share smokes, food and wine, and sing with one another. Troops from all sides took advantage to bury their respective dead lying all over the battlefields, and there were even reports of joint burial services. In some cases officers joined the widespread fraternization. There is even mention here and there of a soccer game played between the Germans and British. (See SOURCES).
  As impressive display of the human spirit as this was, it was not, however, a unique occurrence in the history of war. In fact, it was a resurgence of a long established tradition. Informal truces and small localized armistices and incidents of friendship shared between enemies have taken place during other prolonged periods of military fighting over several centuries, perhaps longer.[1] This includes the Viet Nam war as well.[2]
  Retired Army Lt. Col. Dave Grossman, a professor of military science, has argued that humans have a deep, innate resistance to killing that requires special training to overcome.[3] I was unable to thrust my bayonet into a dummy during my USAF ranger training in early 1969. If I had been an army grunt instead of an Air Force officer, and a few years younger, I wonder, would it have been easier to kill on command? My commander was obviously very unhappy when I refused to use my bayonet, because the military is well aware that men can only be made to kill by coercion. The tyranny needed to make an army work is fierce. It knows it cannot allow dialogue about its mission and must quickly patch any cracks in the blind obedience system. I was immediately placed on the “Officer Control Roster” and faced royal scoldings behind closed doors in which I was threatened with court-martial offenses, shamed over and over, and accused of being a coward and traitor. My unpremeditated refusal to participate in the bayonet drill, I was told, created morale problems that threatened to interfere with our mission.
  
  

  
  

  It was documented on both sides that the soldiers partook in a game of good-natured football during the ceasefire

  
  

  Yale University social psychologist Stanley Milgram in 1961, only three months after the beginning of the trial of Adolph Eichmann in Jerusalem for his role in coordinating the Holocaust, began a series of experiments to better understand the nature of obedience to authority. The results were shocking. Milgram carefully screened his subjects to be representative of typical US Americans. Briefed on the importance of following orders, participants were instructed to press a lever inflicting what they believed were a series of shocks, gradually escalating at fifteen-volt increments, every time the nearby Learner (actor) made a mistake in a word-matching task. When the Learners began screaming in pain, the Experimenter (authority figure) calmly insisted that the experiment must continue. A startling 65 percent of Milgram’s Participants administered the highest possible level of electricity—a lethal jolt that might have killed someone actually receiving the shocks. Additional experiments conducted over the years at other universities in the United States, and in at least nine other countries in Europe, Africa, and Asia, all revealed similar high rates of compliance to authority. A 2008 study designed to replicate the Milgram obedience experiments while avoiding several of its most controversial aspects, found similar results.[4]
  Milgram announced the study’s most fundamental lesson:
  Ordinary people, simply doing their jobs, and without any particular hostility on their part, can become agents in a terrible destructive process . . . The most common adjustment of thought in the obedient subject is for him (her) to see himself  (herself) as not responsible for his (her) own actions.  . . He (she) sees himself (herself) not as a person acting in a morally accountable way but as the agent of external authority, “doing one’s duty” that was heard time and again in the defense statements of those accused at Nuremberg. . . . In complex society it is psychologically easy to ignore responsibility when one is only an intermediate link in a chain of evil action but is far from the final consequences. . . . Thus there is a fragmentation of the total human act; no one man(woman) decides to carry out the evil act and is confronted with its consequences.[5]
  
  

  
  

  Soldiers used the unofficial ceasefire to retrieve the bodies of their fallen friends who’d lost their lives on no man’s land.

  
  Milgram reminded us that a critical examination of our own history reveals a “democracy” of installed authority no less tyrannical, thriving on an obedient population of insatiable consumers dependent upon the terrorization of others, citing destruction of the original Indigenous inhabitants, dependence upon slavery of millions, internment of Japanese Americans, and the use of napalm against Vietnamese civilians.[6]
  As Milgram reported, “the defection of a single individual, as long as it can be contained, is of little consequence. He will be replaced by the next man in line. The only danger to military functioning resides in the possibility that a lone defector will stimulate others.”[7]
  In 1961 moral philosopher and political theorist Hannah Arendt, a Jew, witnessed the trial of Adolf Eichmann. She was surprised to discover that he was “neither perverted nor sadistic.” Instead, Eichmann and many others just like him “were, and still are, terrifyingly normal.”[8]  Arendt described the capacity of ordinary people to commit extraordinary evil as a result of social pressure or within a certain social setting, as “the banality of evil.” From Milgram’s experiments, we know that the “banality of evil” is not unique to the Nazis.
  Eco-psychologists and cultural historians have argued that human archetypes rooted in mutual respect, empathy, and cooperation have been important for our species to get this far on our branch of evolution. However, 5,500 years ago, around 3,500 BCE, relatively small Neolithic villages began mutating into larger urban “civilizations.” With “civilization,” a new organizational idea emerged—what cultural historian Lewis Mumford calls a “megamachine,” comprised totally of human “parts” forced to work together to perform tasks on a colossal scale never before imagined. Civilization saw the creation of bureaucracies directed by a power complex of an authority figure (a king) with scribes and messengers, which organized labor machines (masses of workers) to construct pyramids, irrigation systems, and huge grain storage systems among other structures, all enforced by a military. Its features were centralization of power, separation of people into classes, lifetime division of forced labor and slavery, arbitrary inequality of wealth and privilege, and military power and war.[9] Over time, civilization, which we have been taught to think of as so beneficial for the human condition, has proven severely traumatic for our species, not to mention for other species and the earth’s ecosystem. As modern members of our species (excluding the fortunate Indigenous societies who somehow escaped assimilation) we have been stuck for three hundred generations in a model requiring massive obedience to large vertical power complexes.
  
  

  
  

  German soldiers were the first to emerge from their trenches and approach Allied lines, calling out “Merry Christmas” in English.

  
  

  Mumford makes clear his bias that autonomy in small horizontal groups is a human archetype that has now become repressed in deference to obedience to technology and bureaucracy. The creation of human urban civilization has brought about patterns of systematic violence and warfare previously unknown,[10] what Andrew Schmookler calls the “original sin” of civilization,[11] and Mumford, “collective paranoia and tribal delusions of grandeur.”[12]
  “Civilization” has required massive civil obedience to enable vertical authority structures to prevail. And it hasn’t mattered how that hierarchical vertical power is achieved, whether through monarchial succession, dictators, or democratic selections, it invariably functions through various forms of tyranny. Autonomous freedoms that people once enjoyed in pre-civilization tribal groups now defer to belief in authority structures and their controlling ideologies, which have been described as oppressive “domination hierarchies” where private property and male subjugation of women prevail, by force if necessary.[13]
  The emergence of vertical authority structures, the rule of kings and nobles, ripped people from historical patterns of living in small tribal groups. Along with forced stratification, the separation of people from their intimate connections with the earth produced deep insecurity, fear, and trauma to the psyche. Ecopyschologists suggest that such fragmentation led to an ecological unconscious.[14]
  Thus, humans desperately need to re-discover and nourish examples of disobedience to political authority systems which have created 14,600 wars since the advent of civilization some 5,500 years ago. Over the past 3,500 years there have been nearly 8,500 treaties signed in efforts to end warfare, to no avail because the vertical structures of power have remained intact which demand obedience in their efforts to expand territory, power or resource base. The future of the species, and lives of most other species, are at stake, as we wait for humans to come to our right mind, both individually and collectively.
  
  

  
  

  The first documented unofficial truce was recorded in the War Diary of the 2nd Essex Regiment on 11th December – 2 weeks before the more famous Christmas Truce.

  
  It wasn’t just soldiers who wanted a Christmas Truce in the lead up to the festive holiday in 1914, Pope Benedict XV begged for an official truce between Germany and Britain, and asked “that the guns may fall silent at least upon the night the angels sang”. However, the pope’s attempt was rebuffed.
  The Open Christmas Letter was also a public messange that was addressed “To the Women of Germany and Austria”, and was signed by 101 British suffragettes at the end of 1914 for a peace initiative.

  The 1914 Christmas Truce of one hundred years ago was an extraordinary example of how wars can only continue if soldiers agree to fight. It needs to be honored and celebrated, even if it was only a flash of a moment in time. It represents the potential of human disobedience to insane policies. As German poet and playwright Bertolt Brecht proclaimed, General, your tank is a powerful vehicle. It smashes down forests, and crushes a Hundred men. But it has one defect: it needs a driver.[15] If commoners refused en masse to drive the tank of war, the leaders would be left to fight their own battles. They would be brief.
  

  ENDNOTES
  [1] http://news.bbc.co.uk/2/hi/special_report/1998/10/98/world_war_i/197627.stm, information taken from Malcolm Brown and Shirley Seaton, Christmas Truce: The Western Front, 1914 (New York: Hippocrene Books, 1984.

  [2] Richard Boyle, Flower of the Dragon: The Breakdown of the US Army in Vietnam (San Francisco: Ramparts Press, 1973), 235-236; Richard Moser, The New Winter Soldiers, New Brunswick, NJ: Rutgers University Press, 1996), 132; Tom Wells, The War Within (New York: Henry Holt and Co., 1994), 525-26.

  [3] Dave Grossman, On Killing: The Psychological Cost of Learning to Kill in War and Society (Boston: Little, Brown, 1995).

  [4] Lisa M. Krieger, “Shocking Revelation: Santa Clara University Professor Mirrors Famous Torture Study,” San Jose Mercury News, December 20, 2008.
  [5] Stanley Milgram, “The Perils of Obedience,” Harper’s, December 1973, 62–66, 75–77; Stanley Milgram, Obedience to Authority: An Experimental View (1974; New York: Perennial Classics, 2004), 6–8, 11.

   [6] Milgram, 179.

  [7] Milgram, 182.

  [8] [Hannah Arendt, Eichmann in Jerusalem: A Report on the Banality of Evil(1963; New York: Penguin Books, 1994), 276].

  [9] Lewis Mumford, Myth of the Machine: Technics and Human Development (New York: Harcourt, Brace & World, Inc., 1967), 186.

  [10] Ashley Montagu, The Nature of Human Aggression (Oxford: Oxford University Press, 1976), 43–53, 59–60; Ashley Montagu, ed., Learning Non-Aggression: The Experience of Non-Literate Societies (Oxford: Oxford University Press, 1978); Jean Guilaine and Jean Zammit, The Origin of War: Violence in Prehistory, trans. Melanie Hersey (2001; Malden, MA: Blackwell Publishing, 2005).

  [11] Andrew B. Schmookler, Out of Weakness: Healing the Wounds That Drive Us to War (New York: Bantam Books, 1988), 303.

  [12] Mumford, 204.
  [13] Etienne de la Boetie, The Politics of Obedience: The Discourse of Voluntary Servitude, trans. Harry Kurz (ca. 1553; Montreal: Black Rose Books, 1997), 46, 58–60; Riane Eisler, The Chalice and the Blade (New York: Harper & Row, 1987), 45–58, 104–6.

   [14] Theodore Roszak, Mary E. Gomes, and Allen D. Kanner, eds., Ecopsychology: Restoring the Earth Healing the Mind (San Francisco: Sierra Club Books, 1995). Ecopsychology concludes that there can be no personal healing without healing the earth, and that rediscovering our sacred relationship with it, i.e., our intimate earthiness, is indispensable for personal and global healing and mutual respect.

  [15] “General, Your Tank Is a Powerful Vehicle”, published in From a German War Primer, part of the Svendborg Poems (1939); as translated by Lee Baxandall inPoems, 1913-1956, 289.

  SOURCES 1914 Christmas Truce
  http://news.bbc.co.uk/2/hi/special_report/1998/10/98/world_war_i/197627.stm.
  Brown, David. “Remembering A Victory For Human Kindness – WWI’s Puzzling, Poignant Christmas Truce,” The Washington Post, December 25, 2004.
  Brown, Malcolm and Shirley Seaton. Christmas Truce: The Western Front, 1914.New York: Hippocrene, 1984.
  Cleaver, Alan and Lesley Park. “Christmas Truce: A General Overview,” christmastruce.co.uk/article.html, accessed November 30, 2014.
  Gilbert, Martin. The First World War: A Complete History. New York: Henry Holt and Co., 1994, 117-19.
  Hochschild, Adam. To End All Wars: A Story of Loyalty and rebellion, 1914-1918.New York: Mariners Books, 2012, 130-32.
  Vinciguerra, Thomas. “The Truce of Christmas, 1914”, The New York Times, December 25, 2005.
  Weintraub, Stanley. Silent Night: The Story of the World War I Christmas Truce.New York: The Free Press, 2001.
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  S. Brian Willson, brianwillson.com, December 2, 2014, member Veterans For Peace Chapter 72, Portland, Oregon
   

• Achtung!!!

  STATE IMPOSED VACCINES CAUSE AUTISM!

  Homeowner's Abusive Letter From Neighbour Calling Him 'Pikey' For Leaving Christmas Lights Up Until March

  Kevin Franklin put the lights up in November, but has kept them up ever since - and has no plans to take them down

  Yahoo News UK – 19 hours ago
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  Kevin Franklin's Christmas lights, left, and the letter he received. (SWNS)
  
  A father who has kept his Christmas lights up since December received an abusive letter from a neighbour who called him a ‘pikey’ and a 'disgrace' over the three-month-old decorations.
  
  Kevin Franklin, 53, from Dunstable, Bedfordshire, had a friend switch the lights on for him when he suffered a stroke in November.
  
  He hasn't turned them on since January, but has kept them up as he says they help calm his autistic son Bradley, 15.
  
  Mr Franklin says he plans to keep the switch the lights back on again for Autism Awareness Month in April.
  Kevin Franklin with his Christmas lights in Dunstable. (SWNS)
  The letter sent to Kevin Franklin about his Christmas lights which were been described as 'pikey' by …
  His neighbours, however, have taken a dim view of the decorations, branding them 'grotesque', 'tacky' and 'an eyesore'.
  
  One neighbour even sent an anonymous letter addressed to ‘the pikeys that live at number 80’.
  
  Kevin Franklin with his Christmas lights lit up at night (SWNS)It read: ‘I am fed up of seeing your grotesque, tacky, council house Christmas lights.
  
  ‘It is March for goodness sake. Your house leaves this lovely community looking a disgrace. It looks like a state. It sticks out like a sore thumb.
  
  ‘I don't want to keep driving past this eyesore, every time I do my kids scream.
  
  ‘I know you live in a council house but there's no need to make it look like one.
  
  ‘Yours sincerely, A very disgruntled citizen.’
  
  Mr Franklin, who is unemployed and has ten children, lives with wife Michele, 46, who cares for Bradley full-time.
  
  He said the letter had upset him but said he planned to put up more lights, rather than take them down.
  
  
  [Young girl's heartbreaking 'Dear Daddy' letter to late father sparks Facebook campaign][Cyclist who shamed fellow bikers returns with sequel video - exposing bad driving]
  
  He said: ‘I was shocked and quite upset when I got the letter. But they're not coming down. They're not doing anybody any harm.
  
  ‘I don't switch them on until it comes nearer Christmas.
  
  
  Kevin stopped turning them on in January but said they helped calm his autistic son Bradley, 15 (SWNS)
  
  ‘Apart from that they're going on in April which is Autism Awareness Month, because I have a 15-year-old autistic son.
  
  ‘I’ve had neighbours who have said they will join in and also donate to autism charities.’
  
  He added: 'I think the person who sent the letter comes from the posh side of the street.'
  
  Mr Franklin used to run a pub but is now unemployed. He said he has a garage full of more lights which he is now planning to put up next week.

  Vincent Reynouard was tagged in this.

  

  Patience Endurance added 3 new photos — with Vincent Reynouard and 10 others.

  1 hr ·24.12.2017
  Mes amis, frères et sœurs en humanité, à l'approche de la fête de Noël, je vous souhaite mes meilleurs vœux.
  Que cette belle fête chrétienne* soit un moment de partage familial. Même si pour certains aujourd'hui, Noël n’est devenue qu’une fête commerciale, pour beaucoup de croyants chrétiens cette fête marque avant tout, la naissance de Jésus Christ.
  Que vos belles prières de NOËL soient entendues et exaucées.
  

  Je vous souhaite un Joyeux Noël plein de tendresse et de bonheur partagé.
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   *Non, aucunement chrétienne, mais « PAÏENNE », babylonienne, et, adoptée par les Chrétiens!