Friday, 20 February 2015

WHAT WOMEN WANT? QUE VEULENT 'LES FEMMES'? WOMAN, WOMANHOOD, MOTHER, MOTHERHOOD, MEASLES, MMR DEADLY VACCINE.

Ce que veulent vraiment les femmes

WHO ARE THOSE WHO RESPECT THEIR MOTHERS THE MOST???

La Déclaration des Femmes est une initiative présentée par Profesionales por la Etica en Espagne, Istituto di Studi Superiori della Donna en Italie, Woman Attitude en Belgique et Femina Europa en France.

Notre but est de faire savoir aux institutions internationales et aux politiques ce que veulent vraiment les femmes.

La Déclaration comporte 10 affirmations et 5 demandes concernant l’identité féminine, le gender et la maternité. Traduite en sept langues, elle est déjà soutenue par une centaine d’ONG* à travers le monde. Vous pouvez la trouver et la signer ici.

Nous avons l’intention de la présenter le 8 mars, journée internationale de la femme, à Bruxelles.
Pour casser la mise en œuvre de l’idéologie du gender et les politiques qui se retournent contre la femme, nous avons besoin d’un soutien massif, nous avons besoin de votre signature. Et si vous êtes un homme, trouvez une femme qui signera ! Car le vrai féminisme c’est aussi bon pour l’identité masculine !

Faites entendre au monde la voix des femmes, SIGNEZ et faites passer ! Merci !

Déclaration

Nous, femmes de tous les pays du monde, affirmons solennellement que :

I. La femme et l’homme, pour leur propre bonheur, le bien de la société tout entière et la survie de l’humanité, sont faits pour une relation réciproque fondée sur la reconnaissance, le respect, et la valorisation de leurs différences.
II. L’identité féminine déploie son potentiel en complémentarité et en réciprocité avec celle de l’homme.
III. La femme contribue d’une manière unique à la stabilité de la famille, de l’entreprise, de la société et au bien commun.
IV. Le rôle de la femme dans la société doit être encouragé sans discrimination, violence ou exploitation et reconnu comme un enjeu pour notre temps.
V. La maternité possède une valeur et une dignité intrinsèques.
VI. En Occident les femmes sont discriminées du fait de leur dimension maternelle.
VII. La maternité est un atout pour la femme dans le monde du travail et un investissement pour la société tout entière.
VIII. La maternité et la consécration de la femme à sa famille, loin d’entraver son développement personnel, renforcent et développent son identité féminine.
IX. Le travail invisible et non marchand consacré à la famille possède une valeur sociale et économique.
X. Pour être véritable, l’émancipation de la femme est tout simplement la liberté d’être une femme, en tant que telle.

En conséquence, nous demandons :
1 - La reconnaissance universelle et le respect de l’identité féminine, de sa dignité, et de la véritable égalité entre l’homme et la femme dans la complémentarité et la réciprocité.
2 – La conciliation entre la vie familiale et la vie professionnelle par des mesures internationales assurant la liberté de choix des femmes.
3- La reconnaissance universelle par la législation internationale de la valeur du travail invisible et non marchand effectué par les femmes au sein de leur famille. Ces femmes doivent être désignées par le secteur économique comme le groupe des « gestionnaires de famille ».
4- Un ensemble de mesures politiques dédié à la protection des femmes salariées qui veulent avoir des enfants, ainsi que de celles qui se consacrent exclusivement ou en partie au soin de leur famille et à la prévention des discriminations à leur encontre.
5- L’interdiction universelle de la Gestation Pour Autrui. La GPA est une violation de la dignité de la mère et de l’enfant. C’est une nouvelle forme d’exploitation des femmes et de traite des êtres humains qui fait de l’enfant un objet de contrat.

* Achtung!!!  
ONG??

Réponse de Yahia Gouasmi à la folie voilée de Sarkozy

Parti Anti Sioniste


Voir aussi, sur E&R :
antigones.fr | Juillet 2014 |14

Loi sur "l’égalité femmes-hommes" : l’analyse des Antigones

Le projet de loi-cadre « Égalité hommes-femmes » est actuellement en deuxième lecture au Sénat [article publié il y a 4 mois, NDLR], avec une opposition minime. L’opinion publique en connaît les points (...)



















Critique de la proposition de loi-cadre Egalité Femmes-Hommes


Le projet de loi-cadre « Égalité Hommes-Femmes » est actuellement en deuxième lecture au Sénat, avec une opposition minime. L’opinion publique en connaît les points les plus médiatisés : réforme du congé parental et droit à l’avortement perçu comme conquête ultime du le combat des femmes pour la libre disposition de leur corps. Il a pourtant une envergure et une ambition bien plus vaste, et touchera à divers titres l’ensemble de nos codes juridiques.
Pour télécharger le document en version PDF : LesAntigones_ProjetdeloicadreEgalitéFemmesHommes
Un texte d’une telle portée requiert une réflexion globale sur la société et la place des femmes en son sein, en vue du bien de l’ensemble du corps social. Or, ce projet de loi ne répond pas à cette exigence. Hors les quelques mesures concrètes positives et isolées qui y sont formulées, l’on n’y trouve qu’une combinaison d’idéologies et de bricolages visant à réduire la charge de l’État au détriment des familles en difficulté et des femmes en situation de détresse.
Par l’importance de son objet et l’étendue des mesures envisagées, un tel projet de loi réclame un véritable débat public. Or ce débat public, rendu malaisé par l’absence de transparence de ce texte indécryptable par la population, n’existe pas. Il vous appartient de le créer.
Nous vous proposons par conséquent une critique d’ensemble de ce projet de loi, au cours de laquelle nous nous attacherons à mettre en lumière les prémisses idéologiques mixtes – modernes et postmodernes – qui président à la conception de la loi-cadre Égalité hommes-femmes ; nous aborderons les problèmes, concrets et réels, identifiés par les pouvoirs publics, auxquels ce texte répond fort mal, malgré quelques mesures dignes d’intérêt, mais peu signifiantes ; nous montrerons enfin comment il manifeste la politique et l’idéologie du gouvernement actuel, et l’indigence d’un mode de gouvernement de premier secrétaire du Parti socialiste.
L’exposé se fera en quatre temps : nous rappellerons dans une première partie la nature et les enjeux de cette loi-cadre, et en étudierons plus précisément l’objet et les sous-entendus; nous soulignerons ensuite les mesures intéressantes qui y figurent, avant d’en signaler les lacunes et de dénoncer pour finir les dispositions les plus graves et contraires au bien social qu’il propose.
Présentation de la loi-cadre et de son objet
On peut s’étonner de la quasi-absence de débat qui entoure ce texte, alors qu’il s’agit d’un projet de loi-cadre, soit une sorte de fourre-tout législatif appelé à modifier des dispositions dans toutes les directions, et dans tous les codes juridiques. Ce type de loi demande une lecture particulièrement attentive, comme nous allons le montrer.
     

Qu’est-ce qu’une loi-cadre ?
Une loi-cadre est une loi qui définit une orientation politique, laissant au pouvoir règlementaire l’application des dispositions. Il s’agit ici d’un projet de loi-cadre : un projet de loi émane du gouvernement, par opposition à la proposition de loi émanant des députés. Un projet de loi-cadre est donc un projet émanant de l’exécutif, destiné à octroyer un pouvoir à l’exécutif, validé par un pouvoir législatif de même couleur que l’exécutif.
Voilà qui remet en cause la séparation des pouvoirs inspirée de Montesquieu, proclamée dans notre Constitution comme étant la condition sine qua non de l’État de droit constitutionnel : la séparation institutionnelle existe, mais dans les faits les contre-pouvoirs à l’exécutif ont disparu. Cette situation, récente, est due à la mise en place du quinquennat ; aucune réforme constitutionnelle n’a remédié à cette anomalie. Cela aboutit à une forme de despotisme de l’exécutif qui signe la fin de l’État de droit.
Ce projet de loi est d’une importance particulière parce que son objet concerne la société entière : il entraînera des modifications dans le Code civil, le Code de la santé publique, le Code des étrangers, le Code pénal, la législation de la Sécurité sociale et des collectivités territoriales – tout cela à l’initiative du Ministère des droits des femmes.

Le projet de loi-cadre « Égalité Hommes-Femmes » et son objet

Ce projet a pour objet « l’égalité dans toutes les dimensions professionnelles, une lutte contre la précarité spécifique aux femmes, une lutte contre les violences faites aux femmes et une parité dans les postes à responsabilité [sociale] (…). »

L’Égalité et les femmes
L’application du principe juridique d’Égalité au cas des femmes a connu une évolution très nette dans l’histoire du droit français.
La première vague d’application du principe d’égalité a consisté à mettre en œuvre le principe brut, ce qui a entraîné la suppression de droits protecteurs envers les femmes : à titre d’exemple, l’arrêt de la Cour de justice européenne dit Greismar de 2001, a nettement joué en leur défaveur quant à la politique fiscale, qui leur était auparavant favorable ; la loi a également abrogé les facilités d’accès aux postes de la fonction publique pour les mères de famille. Exemplaire de cette première vague d’application brute du principe d’Égalité, la décision Quotas par sexe, adoptée par le Conseil constitutionnel le 18 novembre 1982, concluait à la non-conformité à la Constitution de la politique paritaire actuellement pratiquée.
Un revirement a ensuite eu lieu, dont l’instrument fut la distinction nouvelle opérée entre égalité de fait et égalité devant la loi : il s’agissait désormais de marcher vers l’égalité de fait, en utilisant au besoin des discriminations dites « positives ». Ce qui correspond à un glissement vers l’État-Providence.
Le projet de loi de Najat Vallaud-Belkacem marque une troisième étape, nouvelle version de l’égalité, inconnue jusqu’alors : l’égalité dite « intégrée », qui combine l’égalité devant la loi (la fin) et l’égalité de fait (les moyens), l’idéologie permettant seule de trancher et de donner la primauté à l’une ou à l’autre. Dans ce projet crypto-totalitaire, le principe d’égalité devient ainsi le masque d’une idéologie qui pourra s’appliquer dans la coercition et le mensonge, grâce à la confusion principes-moyens-fins.
C’est ainsi que la contradiction entre égalité de droit et égalité de fait est supposée  résolue dans l’« égalité intégrée » de Madame Vallaud-Belkacem.

Rappel sur la notion juridique d’Égalité
La notion juridique d’Egalité, particularisme français par excellence, trouve son fondement dans l’article 6 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen : « la loi […] doit être la même pour tous, soit qu’elle protège, soit qu’elle punisse. Tous les citoyens étant égaux à ses yeux sont également admissibles à toutes dignités, places et emplois publics, selon leur capacité, et sans autre distinction que celle de leur vertus et de leurs talents. » La décision du 9 mai 1991, Statut de la Corse, ajoute « que le peuple français [est] composé de tous les citoyens français sans distinction d’origine, de race, de sexe ou de religion. » Nous avons donc là un principe complet.
Une limite et une exception s’y ajoutent : depuis une décision du 9 avril 1996, le Conseil constitutionnel juge que « le principe d’égalité ne s’oppose ni à ce que le législateur règle de façon différente des situations objectivement différentes, ni à ce qu’il déroge à l’égalité pour des raisons d’intérêt général, pourvu que, dans l’un et l’autre cas, la différence de traitement qui en résulte soit en rapport direct avec l’objet de la loi qui l’établit. » La limite énoncée ne doit pas contrevenir au principe énoncé dans la loi, et n’a vocation qu’à le compléter : elle permet de faire l’objet d’un traitement différent, si et seulement si l’on se trouve dans une situation objectivement différente. On ne peut conclure à une « situation objectivement différente » sur la base d’une distinction de race, de sexe ou d’opinion. Mais les règles énoncées dans le principe de la loi et sa limite peuvent faire l’objet d’une exception, lorsque l’ « intérêt général » le réclame – exception qui prend valeur de règle. Ce qui, dans la pratique, signifie que la discrimination entre un national et un étranger, ou la différence de traitement entre personnes de sexe masculin ou féminin, est légalement possible en vertu de l’intérêt général.
Le texte énonçant le principe d’Egalité devant la loi, sa limite et son exception, autorise donc des discriminations légales, via la notion d’intérêt général.
      
        

Des dispositions de lois très attendues que nous saluons

Cette première partie est indifférente à l’idéologie qui sous-tend le projet de loi étudié – nous nous intéressons uniquement aux mesures concrètes et positives qui y figurent. Elles sont intéressantes parce que protectrices, et reconnaissent l’existence de spécificités féminines sans tomber dans l’écueil de la « discrimination positive ». Elles favorisent les femmes sans jouer au détriment des hommes.
  1. Cette loi propose dans son titre II, portant sur la précarité des femmes, la possibilité d’un autre système de paiement pour les assistantes maternelles, permettant aux familles de ne pas attendre les impôts avant de bénéficier de l’abattement : « Afin d’aider les familles modestes à recourir à l’offre d’accueil par les assistants maternels, le versement en tiers payant, directement à l’assistant maternel agréé, du complément de libre choix du mode de garde normalement versé au parent employeur est expérimenté. »
  1. La loi crée une autorisation d’absence pour permettre aux conjoints de se rendre aux rendez-vous médicaux concernant la grossesse : « Le conjoint salarié de la femme enceinte  ou la personne salariée liée à elle par un pacte civil de solidarité ou vivant maritalement avec elle bénéficie également d’une autorisation d’absence pour se rendre à trois de ces examens médicaux obligatoires au maximum. »
  1. Elle met en place une protection de la femme enceinte dans le cadre des professions libérales : « La collaboratrice libérale en état de grossesse médicalement constaté a le droit de suspendre sa collaboration pendant au moins seize semaines à l’occasion de l’accouchement. À compter de la déclaration de grossesse et jusqu’à l’expiration d’un délai de huit semaines à l’issue de la période de suspension du contrat, le contrat de collaboration libérale ne peut être rompu unilatéralement, sauf en cas de manquement grave aux règles déontologiques ou propres à l’exercice professionnel de l’intéressée, non lié à l’état de grossesse. »
    « Le collaborateur libéral a le droit de suspendre sa collaboration pendant onze jours consécutifs suivant la naissance de l’enfant, durée portée à dix-huit jours consécutifs en cas de naissances multiples. À compter de l’annonce par le collaborateur libéral de son intention de suspendre son contrat de collaboration après la naissance de l’enfant et jusqu’à l’expiration d’un délai de huit semaines à l’issue de la période de suspension du contrat, le contrat de collaboration libérale ne peut être rompu unilatéralement, sauf en cas de manquement grave aux règles déontologiques ou propres à l’exercice professionnel de l’intéressé, non lié à la paternité. »
  1. La loi prend en compte les différences de sexe dans l’évaluation des risques professionnels. Le projet de loi-cadre modifie ainsi l’article L. 4 121-3 du code du travail : « Cette évaluation des risques tient compte de l’impact différencié de l’exposition au risque en fonction du sexe. »
  1. La procédure pour les victimes de violence est également modifiée : actuellement une « médiation » est obligatoire en cas de plainte pour violences conjugales, soit une entrevue entre les deux conjoints en conflit, en présence d’une tierce personne – en pratique, il s’agit davantage d’une confrontation que d’une médiation. Avec cette loi, la séance de médiation n’aura lieu que si la victime le demande.
  1. Un article prévoit que le personnel judicaire et policier reçoive une formation concernant les violences faites aux femmes. Il est temps que cesse le mauvais accueil réservé aux femmes victimes de viol dans certains services.
  1. Nous approuvons également la tentative d’accélération des procédures, ainsi que le renforcement du système préventif, pour les victimes de violence.
  2. Nous saluons enfin, et en particulier, la disposition suivante visant à encadrer strictement les concours de « Mini Miss » – en nous interrogeant toutefois sur la raison pour laquelle cette disposition, qui augmente les possibilités de contrôle de l’État, figure sous le titre concernant l’autorité parentale : « Toute personne qui organise un concours d’enfants de moins de seize ans fondé sur l’apparence doit obtenir l’autorisation préalable du représentant de l’État dans le département. Seuls les concours dont les modalités d’organisation assurent la protection de l’intérêt supérieur de l’enfant et de sa dignité peuvent être autorisés. »

Des attentes laissées en suspens, des titres vides

Dans une loi dont l’emballage semble aussi prometteur, nous constatons avec consternation que certains titres sont pratiquement vides… Et que le traitement de nombreux problèmes reste très décevant.
  1. Le Titre III bis, « Dispositions visant à préserver l’autorité partagée et à privilégier la résidence alternée pour l’enfant » est… entièrement vide.   Le titre était pourtant prometteur : à l’heure où le divorce concerne un couple sur cinq, reconsidérer la question de l’autorité partagée semble répondre à une demande sociale très saine, voire à une véritable urgence. Mais ce titre reste vide. N’y figure que la disposition concernant le contrôle strict par l’État des concours de beauté pour les enfants de moins de 16 ans. L’autorité partagée aujourd’hui, c’est donc l’autorité du père, de la mère et de l’État. Voilà qui rend perplexe.
  1. Les questions de justice salariale sont traitées par la création de nouveaux conseils et commissions – nouveau camouflage bureaucratique. Le phénomène, lourdement réel et concret, des inégalités salariales, n’est pas un problème exclusivement féminin – voire féministe : c’est le fonctionnement économique global de la France qui est en jeu.  Il est faux de penser que ces inégalités salariales trouvent leur explication sociale dans une misogynie organisée par le « Patriarcat ». Elles sont le fruit d’une réalité : la vie d’une femme en entreprise est souvent conditionnée et limitée par ses congés maternité, avec pour conséquence la tentation pour les entreprises d’éponger le préjudice des grossesses en limitant ou n’augmentant pas le salaire des femmes.Lors de la négociation de salaire, l’entreprise négociera en réalité le temps d’absence de la salariée en congé et ses impacts sur l’entreprise. Lors du départ en congé maternité d’une salariée, l’entreprise continue de payer l’URSSAF, et la salariée absente est toujours comptée au nombre des salariés de l’entreprise, ce qui peut poser de réels problèmes de seuil pour la société. En outre, les difficultés et la précarité de l’embauche sur ce poste vacant – pour une durée qui peut aller jusqu’à 5 ans en cas de congés à répétition – sont un poids réel pour l’employeur. Aucune solution véritable – donc globale – n’est envisagée à l’heure actuelle.« A situation égale, traitement égal » – or une femme n’est pas dans la même « situation » qu’un homme. La négociation des salaires prend en compte les inégalités réelles de situation avec beaucoup moins de scrupules que la loi, qui ignore les réalités temporelles de la vie d’une femme.         Or la maternité ne doit pas être vécue comme un handicap dont le poids serait supporté uniquement par les femmes. Des solutions financières concrètes sont à envisager afin de permettre aux entreprises d’employer des femmes en âge d’enfanter, sans que les employeurs ne subissent un préjudice en cas de congé maternité.
  1. La question des violences faites aux femmes est symptomatique d’un système judicaire qui va mal. Peut-être serait-il temps prendre le problème à bras le corps et de ne pas laisser madame Taubira défaire d’un côté ce que madame Vallaud-Belkacem prétend faire de l’autre. Si les femmes sont les premières victimes de violences, elles sont loin d’être les seules – une réforme pénitentiaire et judiciaire est impérative.
       

Des dispositions idéologiques et liberticides

Si nous saluons certaines des prises de positions gouvernementales, sous réserve de leur application, il n’en va pas de même du reste des dispositions – en particulier de celles mentionnées ci-dessous. Deux dimensions sont à considérer : d’une part, le caractère très idéologique, voire mensonger, de ces dispositions et, d’autre part, leur impact économique réel – elles aboutissent souvent à réduire les charges de l’État au détriment des familles les plus modestes, sans que la situation des femmes ne soit jamais prise en compte.
   
Réforme du congé parental
La réforme du congé parental, telle que ce projet de loi la prévoit, a des objectifs très clairs – « remettre mesdames au travail » – qui, sous couvert d’égalité, représentent pour les intéressées une évidente perte de droits.
Dans un couple dont la situation financière est modeste, le second conjoint ne peut pas se permettre de prendre six mois de congé parental : dans la plupart des cas, la mère reprendra plus vite le travail, l’enfant ira à la crèche, et l’État économisera ces six mois de congé parental sur le dos des familles – la réforme aurait-elle pour seul objectif de réduire la dette de l’État ?
Le projet de loi souligne, par ailleurs, une réalité à laquelle il ne remédie guère : les congés maternité à répétition posent un véritable problème aux petites et moyennes entreprises, raison principale de la discrimination à l’embauche des femmes en âge d’être mères. Plutôt que de chercher une véritable solution économique permettant de faciliter leur recrutement, madame Vallaud-Belkacem supprime six mois de congé parental, ce qui frappera les familles en précarité, et jusqu’aux classes moyennes. S’agit-il d’une mesure favorisant l’égalité, ou d’une façon détournée de faire des économies ?
Par ailleurs, si les pères de familles prennent à l’avenir de façon systématique les six mois de congé auxquels la loi leur donnerait droit, ce sont tous les jeunes couples de la tranche d’âge 25 -30 ans qui se trouveront discriminés à l’embauche, et non plus seulement les femmes. Faire en sorte qu’un problème devienne général et non plus spécifique, ce n’est pas résoudre ce problème…
Suppression de la notion de détresse dans la règlementation de l’IVG

Supprimer la notion de détresse de la législation sur l’IVG revient à nier la souffrance de la femme qui avorte. Les promoteurs de cette disposition invoquent le nombre limité des avortements qui remplissent effectivement cette condition de « situation de détresse ».

Mais l’abolir revient à accréditer dans les esprits l’idée qu’il existerait des « avortements de confort » anodins et indolores, et à faire de l’avortement l’équivalent d’une « séance de rattrapage » contraceptive. Ce faisant, l’État se dédouane de ses responsabilités : si l’avortement est un « droit » positif dont l’exercice n’évoque plus la moindre notion de souffrance, l’aide post-traumatique aux avortements que prévoyait la loi Veil devient inutile et l’on peut s’attendre à ce qu’elle soit supprimée – or il est reconnu que les femmes ayant subi un avortement ont, pour la plupart, besoin de soutien psychologique.
Par ailleurs, l’avortement étant la seule solution proposée dans chaque cas de grossesse non désirée, il est entendu que celles qui auraient besoin de structures d’accueil et de protection parce qu’elles ont décidé de garder l’enfant, ne sont plus en mesure de demander légitimement aucune aide.
Les dispositions du gouvernement secondent la tyrannie technique, et l’État se démet à nouveau de ses responsabilités sociales, puisque l’avortement est promu comme réponse unique à la question des grossesses non désirées. Pour ne pas avoir à régler un problème de société, il semble plus simple d’en nier l’existence – la suprême habileté consistant à le transformer, ainsi que la souffrance qui l’accompagne, en droit positif et libérateur.

Punition pénale pour les sites concurrents à l’IVG
Informer sur les risques liés à l’avortement et les solutions alternatives devient aujourd’hui un délit d’entrave. L’article L. 2223 -2 du code de la santé publique est en effet ainsi modifié :
« 1° Au premier alinéa, après la seconde occurrence du mot : « empêcher », sont insérés les mots : « de pratiquer ou de s’informer sur » ;
2° Au dernier alinéa, après les mots : « y subir », sont insérés les mots : « ou s’informer sur ». Remise en situation, cette disposition prévoit donc que soit « puni de deux ans d’emprisonnement et de 30 000 € d’amende le fait d’empêcher ou de tenter d’empêcher de pratiquer ou de s’informer sur une interruption de grossesse ou les actes préalables prévus par les articles L.2212-3 à L.2212-8 : – soit en perturbant de quelque manière que ce soit l’accès aux établissements mentionnés à l’article L. 2212-2, la libre circulation des personnes à l’intérieur de ces établissements ou les conditions de travail des personnels médicaux et non médicaux ; – soit en exerçant des pressions morales et psychologiques, des menaces ou tout acte d’intimidation à l’encontre des personnels médicaux et non médicaux travaillant dans ces établissements, des femmes venues y subir ou s’informer sur une interruption volontaire de grossesse ou de l’entourage de ces dernières ».
Ces modifications visent à condamner les sites dits « pro-life » en les accusant de faire obstacle à l’information. Il s’agit d’une atteinte sans pareille à la liberté d’expression, qui contrevient à une liberté de choix effective. Pour qu’un choix soit éclairé, il ne suffit pas d’avoir accès aux renseignements techniques de l’un des termes de l’alternative, il faut encore pouvoir confronter le pour et le contre. Donner pour seule « information » à la femme confrontée à une grossesse non délibérée un manuel technique de l’avortement, comme celui que propose www.ivg.gouv.fr, ce n’est pas éclairer le choix, mais supprimer l’alternative.
        
Lutte contre les stérotypes dans les émissions de radio et les télécommunications audio-visuelles.
L’article 16 « assure le respect des droits des femmes dans le domaine de la communication audiovisuelle. À cette fin, il veille, d’une part, à une juste représentation des femmes et des hommes dans les programmes des services de communication audiovisuelle et, d’autre part, à l’image des femmes qui apparaît dans ces programmes, notamment en luttant contre les stéréotypes, les préjugés sexistes, les images dégradantes, les violences faites aux femmes et les violences commises au sein des couples. Dans ce but, il porte une attention particulière aux programmes des services de communication audiovisuelle destinés à l’enfance et à la jeunesse. »
Cette mesure omet de préciser qui s’arrogera le droit de censurer les « stéréotypes », et comment cette autorité déterminera si un « stéréotype » est bon ou mauvais. Tout « stéréotype » est-il mauvais en soi ? Ou bien doit-on considérer comme mauvais tout ce qui est inégal ? Mais qu’est-ce qui est inégal ? Les questions sans réponses auxquelles aboutit cette disposition en manifestent l’absurdité – une loi provoquant un tel enchevêtrement de questions, sur la base d’une vulgarisation idéologique et politique des gender studies universitaires, n’a pas lieu d’être. Cette disposition est manifestement contraire à la nature et à la finalité de la loi, qui doit donner un cadre clair à la vie publique.
      
Exit « bonus paterfamilias »
L’expression « en bon père de famille » disparaît de la jurisprudence, remplacée par « raisonnablement ». « À l’article 601, au 1° de l’article 1728, à l’article 1729 et au premier alinéa de l’article 1766, les mots : « en bon père de famille » sont remplacés par le mot : “raisonnablement” ».
Évidemment, les deux termes n’étant pas synonymes, et une métaphore étant remplacée par une platitude, il s’agit d’une perte de richesse sémantique pour la jurisprudence. Cette modification est complètement inutile, concernant une notion juridique dont la valeur dépasse la question des représentations sexuées.
La notion de « bon père de famille » provient directement de l’expression bonus pater familias. Il désigne l’attitude d’un individu normalement prudent et diligent, attentif, soucieux des biens et/ou des intérêts qui lui sont confiés comme s’il s’agissait des siens propres.
Ce changement sémantique superflu montre que le gouvernement veut couper notre droit de son histoire pour satisfaire quelques susceptibilités féministes.
Le nom d’épouse disparaît : étape vers la disparition du foyer fiscal    
Il convient, avant d’évoquer cette disposition, de rappeler que la femme en France n’a jamais juridiquement changé de nom pour prendre celui de son époux ; le nom de l’époux est seulement un nom d’usage toléré et valable dans les documents administratifs. Ce nom d’usage rattachait en principe la femme et les enfants (dont la filiation est certaine) au père, instaurant une primauté de la filiation juridique sur la filiation biologique.
Avec la nouvelle loi, l’usage du nom de l’époux disparaît totalement des pratiques administratives. Cette perte peut sembler aussi anodine que la disparition du terme « Mademoiselle » dans la législation et l’administration. Or, qu’il s’agisse de la civilité « Mademoiselle » ou du nom d’épouse, l’objectif poursuivi est de supprimer dans la pratique administrative la différence entre une mère de famille mariée et une femme célibataire. Le rattachement au père est estimé inutile à la construction de la cellule familiale, comme l’est celui de Madame à Monsieur. Les retombées d’ordre symbolique de cette disposition sont considérables.
Ces changements par petites touches signent dans le droit et dans sa traduction administrative la disparition de la famille. Si celle-ci n’a plus de réalité juridique, elle perdra sa réalité sociale. Cela n’a rien d’une spéculation, puisque les réformes fiscales prévoient la disparition du « foyer fiscal », qui permet notamment des abattements d’impôt pour les familles et fait exister la cellule familiale dans l’univers fiscal.
La raison sous-jacente de cette disposition hypocrite, à dimension symbolique et idéologique très forte, doit-elle être cherchée dans la volonté de préparer les futures économies que permettra la dissolution administrative de la cellule familiale ?
Parité à outrance 
L’article 18 bis de la loi prévoit :
« 1° À la seconde phrase du premier alinéa de l’article L. 2122-7-2, après le mot : “listes,”, sont insérés les mots : “le premier candidat est de sexe différent de celui du maire”. » Par ailleurs, « Le titre IV (articles 18 à 23) a pour objet la mise en œuvre de l’objectif constitutionnel de parité. Les mesures proposées ont notamment pour objet :
  • de renforcer la réduction du montant (première fraction) attribué aux partis politiques ne respectant pas les objectifs de parité dès la prochaine législature, soit en 2017 (article 18) ;
  • de modifier le code du sport pour introduire « une évolution vers la parité dans les modalités de désignation des représentants pour les instances de gouvernance des fédérations sportives agréées » (article 19) ;
  • de permettre une représentation équilibrée dans les chambres de commerce et d’industrie (article 21) ;
  • ou de mettre en place des listes paritaires pour les élections aux chambres d’agriculture (article 22). »
Le dernier chapitre de cette loi concerne la parité homme-femme. Dans l’esprit de madame Vallaud-Belkacem, la parité désigne la représentation égalitaire des hommes et femmes dans l’ensemble de la société, par l’imposition de quotas.
Soucieuses de la complémentarité hommes-femmes et de la véritable prise en compte des compétences féminines, nous nous inquiétons de telles dispositions. La parité à grands renforts de quotas et d’obligations recrée une misogyne ordinaire : elle renforce le présupposé selon lequel une femme n’occupe pas sa position sociale parce qu’elle est compétente, mais parce qu’elle contribue à remplir un quota légal. Ce type de dispositions paritaires propulse à tous les échelons de la société des prête-noms qui véhiculent, malgré elles, une image d’incapacité, puisqu’elles ne souhaitent pas réaliser pleinement la mission qui leur est confiée – le fait est particulièrement évident dans le domaine politique, où le fait de préférer telle ou telle personne en fonction de son sexe plutôt que de ses compétences réelles est inquiétant pour le bon fonctionnement de la société.
Nous préférons réaffirmer la compétence réelle des femmes à exercer des postes clés, privilégiant la qualité à la quantité. Nous demandons le respect des compétences féminines, et la suppression des dispositions légales favorisant la misogynie ordinaire.
Afin de favoriser l’égal accès des femmes aux postes clés, pourquoi ne pas préférer de véritables changements concrets, permettant aux femmes qui le souhaitent de s’engager – comme, tout simplement, l’aménagement des horaires de réunions, la mise en place de crèches d’entreprise, ou encore l’accès aux formations de cadre pour les mères de famille ?
       
      

Conclusion

Malgré les quelques mesures concrètes positives soulignées au début de cette étude, l’ampleur des aberrations dénoncées nous conduit à rejeter sans appel l’ensemble de ce pack législatif. Symptomatique de notre temps, cette loi touche aux conséquences et non aux causes, oscille entre le concret et l’idéologie.

La tentative de synthèse entre égalitarisme moderne et différencialisme postmoderne semble vouée à l’échec – c’est l’alliance de la carpe et du lapin, ou l’art de tenir ensemble des contradictions dans une même proposition sans apporter la moindre solution réaliste aux problèmes de société.

Epilogue

Cette analyse de la loi dite de l’égalité homme-femme, et de l’ « égalité intégrée » qu’elle propose, montre les impasses et l’hypocrisie des dispositions idéologiques/ économiques que le gouvernement s’apprête à prendre, en l’absence d’un débat public véritablement transparent et constructif. Le principe d’Égalité demande à être fondé sur un principe de Justice, en vue du bien social. A l’hypocrisie et aux contradictions des politiques égalitaires, nous préférons la notion réaliste et concrète d’inégalités protectrices.

Mettre en place une politique sociale d’inégalités protectrices, c’est employer une méthode réaliste et concrète permettant d’appliquer à des situations différentes des traitements différents. Cette notion doit être formulée non plus comme une limite, mais comme une exception – c’est à dire une règle de même valeur que celle qu’énonce le principe. En effet, ces inégalités protectrices doivent trouver leur limite dans l’objectivité des différences de situation, et n’être qu’une exception à l’égalité devant la loi, exception exclusivement motivée par l’intérêt général. La différence sexuelle peut, dans des situations concrètes et objectives, comme la maternité, ou encore devant le constat réaliste de la fragilité physique de la femme en cas de violences, fonder des mesures protectrices inégalitaires. L’égalité devant la loi est inefficiente et vaine lorsqu’il s’agit de protéger les femmes des violences dont elles sont l’objet, ou encore de proposer des solutions concrètes aux femmes que leur condition sexuée place en situation précaire – en raison notamment de la maternité.

Traiter de la question féminine ne revient pas à se préoccuper du cas d’une minorité particulière qui bénéficierait de privilèges de groupe. Les mesures qui concernent les femmes intéressent l’ensemble de la société. La question féminine ne doit pas être l’apanage d’un ministère prétendant représenter les femmes comme un groupe à part, et dont les compétences se superposent à celle des autres organes gouvernementaux – elle doit être envisagée dans chaque ministère, chaque fois que la matière traitée le réclame, afin d’intégrer la politique concernant les femmes dans une vision d’ensemble cohérente et efficace. Émanant d’un ministère des Droits des femmes aux compétences floues et non spécialisées (puisque ce sujet concerne toute la société), les dispositions de cette loi traitent les questions réelles de façon partielle, fragmentaire, idéologique. Ce constat d’incompétence est particulièrement flagrant lorsqu’il s’agit de traiter la situation économique des femmes en âge d’enfanter ; il est le symptôme d’un gouvernement qui ignore les véritables problèmes de la société française.

















 

Measles/MMR Vaccine Can Cause Diabetes, Arthritis, Death 88

vaccine_dees
David Dees, deesillustration.com
Is the “Cure” Worse Than the Disease?
By James F. Tracy
As the “debate” ensues throughout the US concerning the recent measles outbreak among vaccinated children, some journalists and commentators are even suggesting that children be vaccinated against their parents’ will, or that parents reluctant to vaccinate their children be imprisoned.

A careful look at the research pharmaceutical companies are legally compelled to provide with vaccines may give parents pause. According to the insert accompanying the 2014 version of Merck Inc.’s Measles Mumps Rubella (MMR II) vaccine, the live viruses are “propagated in chick embryo cell culture” and “WI-38 human diploid lung fibroblasts.” (See full listing of vaccine inserts.)
Seldom do medical practitioners explain in sufficient detail the potential side effects of vaccines to parents, thus violating the simple and straightforward policy of informed consent. Nor do they remind parents that vaccine manufacturers have immunity from civil action in the event their infant or child is injured or killed from the vaccine.
Merck’s own research states that its MMR vaccine can cause the following: diabetes, vasculitis, pancreatitis, thrombocytopenia (inability for blood to clot), angioneurotic edema (non-inflammatory swelling of the skin), pneumonia, bronchial spasm, arthritis, optic neuritis (inflammation of the optic nerve), Guillain-Barré Syndrome, and death.
Merck’s MMR vaccine may also cancer and impact the child’s fertility in later years. “M-M-R II has not been evaluated for carcinogenic or mutagenic potential, or potential to impair fertility,” the vaccine’s insert reads. Limited research exists for most vaccines because longitudinal studies of vaccine recipients are difficult and costly to carry out.
Like most Americans conditioned for several decades now to distrust their own reasoning, those who become parents are similarly inclined to defer to scientific and institutional authority to make the decision to vaccinate their children. However, if mom and dad were thoroughly apprised of the potential for such side effects most would likely be far more tentative toward the administration of such foreign substances.
In fact, as is the case with many pharmaceutical products, in the broader scheme of things the symptoms of the illness may be preferable to the alleged “cure.”
According to the Centers for Disease Control, measles begins with high fever, cough, runny nose (coryza), and red, watery eyes (conjunctivitis). “Two or three days after symptoms begin,” the CDC notes, “tiny white spots (Koplik spots) may appear inside the mouth.” A few days after symptoms are observed
a rash breaks out. It usually begins as flat red spots that appear on the face at the hairline and spread downward to the neck, trunk, arms, legs, and feet. Small raised bumps may also appear on top of the flat red spots. The spots may become joined together as they spread from the head to the rest of the body. When the rash appears, a person’s fever may spike to more than 104° Fahrenheit.
After a few days, the fever subsides and the rash fades.
Following this ordeal the individual’s fully operational immune system will have had the opportunity to produce a formidable lifelong measles defense.
For comparative purposes below is a full description of the Merck’s MMR II vaccine’s potential side effects and consequences as described on its insert.
ADVERSE REACTIONS TO MMR II VACCINE

The following adverse reactions are listed in decreasing order of severity, without regard to causality, within each body system category and have been reported during clinical trials, with use of the marketed vaccine, or with use of monovalent or bivalent vaccine containing measles, mumps, or rubella:
Body as a Whole
Panniculitis; atypical measles; fever; syncope; headache; dizziness; malaise; irritability.
Cardiovascular System
Vasculitis.
Digestive System
Pancreatitis; diarrhea; vomiting; parotitis; nausea.
Endocrine System
Diabetes mellitus.
Hemic and Lymphatic System
Thrombocytopenia (see WARNINGS, Thrombocytopenia); purpura; regional lymphadenopathy; leukocytosis.
Immune System
Anaphylaxis and anaphylactoid reactions have been reported as well as related phenomena such as angioneurotic edema (including peripheral or facial edema) and bronchial spasm in individuals with or without an allergic history.
Musculoskeletal System
Arthritis; arthralgia; myalgia. Arthralgia and/or arthritis (usually transient and rarely chronic), and polyneuritis are features of infection with wild-type rubella and vary in frequency and severity with age and sex, being greatest in adult females and least in prepubertal children. This type of involvement as well as myalgia and paresthesia, have also been reported following administration of MERUVAX II.
Chronic arthritis has been associated with wild-type rubella infection and has been related to persistent virus and/or viral antigen isolated from body tissues. Only rarely have vaccine recipients developed chronic joint symptoms.
Following vaccination in children, reactions in join ts are uncommon and generally of brief duration. In women, incidence rates for arthritis and arthralgia are generally higher than those seen in children (children: 0-3%; women: 12-26%), {17,56,57} and the reactions tend to be more marked and of longer duration. Symptoms may persist for a matter of months or on rare occasions for years. In adolescent girls, the reactions appear to be intermediate in
incidence between those seen in children and in adult women. Even in women older than 35 years, these reactions are generally well tolerated and rarelyinterfere with normal activities.
Nervous System
Encephalitis; encephalopathy; measles inclusion body encephalitis (MIBE) (see CONTRAINDICATIONS); subacutesclerosing panencephalitis (SSPE); Guillain-Barré Syndrome (GBS); acute disseminated encephalomyelitis (ADEM); transverse myelitis; febrile convulsions; afebrile convulsions or seizures; ataxia; polyneuritis; polyneuropathy; ocular palsies; paresthesia. Experience from more than 80 million doses of all live measles vaccines given in the U.S. through 1975 indicates that significant central nervous system reactions such as encephalitis and encephalopathy, occurring within 30 days after vaccination, have been temporally associated with measles vaccine very rarely.{58} In no case has it been shown that reactions were actually caused by vaccine. The Centers for Disease Control and Prevention has pointed out that “a certain number of cases of encephalitis may be expected to occur in a large childhood population in a defined period of time even when no vaccines are administered”. However, the data suggest the possibility that some of these cases may have been caused by measles vaccines. The risk of such serious neurological disorders following live measles virus vaccine administration remains far less than that for encephalitis and encephalopathy with wild-type measles (one per two thousand reported cases).
Post-marketing surveillance of the more than 200 million doses of M-M-R and M-M-R II that have been distributed worldwide over 25 years (1971 to 1996) indicates that serious adverse events such as encephalitis and encephalopathy continue to be rarely reported.{17} There have been reports of subacute sclerosing panenc ephalitis (SSPE) in children who did not have a history of infection with wild-type measles but did receive measles vaccine. Some of these cases may have resulted from unrecognized measles in the first year of life or possibly from the measles vaccination.
Based on estimated nationwide measles vaccine distribution, the association of SSPE cases to measles vaccination is about one case per million vaccine doses distributed. This is far less than the association with infection with wild-type measles, 6-22 cases of SSPE per million cases of measles. The results of a retrospective case-controlled study conducted by the Centers for Disease Control and Prevention suggest that the overall effect of measles vaccine has been to protect against SSPE by preventing measles with its inherent higher risk of SSPE.{59}
Cases of aseptic meningitis have been reported to VAERS following measles, mumps, and rubella vaccination. Although a causal relationship between the Urabe strain of mumps vaccine and aseptic meningitis has been shown, there is no evidence to link Jeryl Lynn™ mumps vaccine to aseptic meningitis.
Respiratory System
Pneumonia; pneumonitis (see CONTRAINDICATIONS); sore throat; cough; rhinitis.
Skin
Stevens-Johnson syndrome; erythema multiforme; urticaria; rash; measles-like rash; pruritis. Local reactions including burning/stinging at injection site; wheal and flare; redness (erythema); swelling; induration; tenderness;
vesiculation at injection site.
Special Senses — Ear Nerve
deafness; otitis media.
Special Senses — Eye
Retinitis; optic neuritis; papillitis; retrobulbar neuritis; conjunctivitis.
Urogenital System
Epididymitis; orchitis.
Other
Death from various, and in some cases unknown, causes has been reported rarely following vaccination with measles, mumps, and rubella vaccines; however, a causal relationship has not been established in healthy individuals (see CONTRAINDICATIONS).
 
 

Inside the Roma bride market: Teenage girls matched up with their future husbands at open-air exchange in Bulgaria

  • Teenage girls are matched up with future husbands at the 'bride market'
  • The open-air market is held in Stara Zagora, Bulgaria, four times a year
  • Poor Roma families use it to arrange financially beneficial marriages
  • The event's reputation as a 'bride market' dates back generations
 
Scores of young Roma women have been paraded before potential suitors at a Bulgarian 'bride market' where poor families are given the chance to arrange financially beneficial marriages for their children.
Here the potential brides are provocatively dressed, donning gobs of mascara and wearing flashy jewellery, towering heels and mini-skirts.
And surrounding them in the car boot-like sale event are young men whose family hope to find them a wife at a good cost.
Scroll down for video 
Roma boys and girls chat during the open-air 'bride market' in Stara Zagora, Bulgaria
Roma boys and girls chat during the open-air 'bride market' in Stara Zagora, Bulgaria
A girl checks her makeup using a broken mirror at the market, where girls are displayed before prospective suitors
A girl checks her makeup using a broken mirror at the market, where girls are displayed before prospective suitors
The market, which is held four times a year, is an opportunity for parents to catch up on gossip as well as play matchmaker for their sons and daughters
The market, which is held four times a year, is an opportunity for parents to catch up on gossip as well as play matchmaker for their sons and daughters
The families gathered in Stara Zagora are part of a community of about 18,000 Roma known as Kalaidzhi, who traditionally make a living as coppersmiths.
They are among the most poverty-stricken people in a deeply impoverished region and seek to forge mutually beneficial unions that will help them weather Bulgaria's economic downturn.
The 'bride market' - held four times a year on various religious holidays during the spring and summer - is a chance for the Roma's nomadic tinkers to meet and not only catch up on gossip, but also play matchmaker for their adolescent sons and daughters.
Boys and girls dance side-by-side on the cars in a rare opportunity that flouts the community's conservative values, in which youths are rarely allowed to mingle with the opposite sex.
Kalaidzhi, who are almost all devout Orthodox Christians, are known to remove girls from school at 15 or even earlier to keep them safe from temptation.
A young girl with two gold teeth grins as she interacts with other teenagers at the open-air market
A young girl with two gold teeth grins as she interacts with other teenagers at the open-air market
A Roma woman hugs her daughter as she speaks with a boy. The event is held four times a year and is extremely popular with teenagers among the Orthodox Christian commmunity
A Roma woman hugs her daughter as she speaks with a boy. The event is held four times a year and is extremely popular with teenagers among the Orthodox Christian commmunity
A young Roma girl wearing a dress smiles as she wanders through the market with her friends
A young Roma girl wearing a dress smiles as she wanders through the market with her friends
It starts, like a high school dance, with groups of boys and girls in separate clumps, occasionally shaking hands and checking each other out - while mothers and fathers stay discreetly in the background.
Apart from these twice-a-year bridal fairs, boys and girls only have contact in Internet chats.
The event's reputation as a 'bridal market' goes back generations. It used to take place in a muddy open field next to a horse-trading market in a small village, where brides-to-be stood on stage with suitors competing for their hand.
But police last year moved it into a city to avoid tension with the horse traders. Still, the flirtations which occur can lead to negotiations and a possible union a few months down the road.

A group of Roma girls chat as parents (pictured far left and right) watch on
A group of Roma girls chat as parents (pictured far left and right) watch on
Milka Minkova, 13, poses with her husband Ivan Ankov, 17, at the event which is commonly known as the 'bride market'
Milka Minkova, 13, poses with her husband Ivan Ankov, 17, at the event which is commonly known as the 'bride market'
If the youths warm to each other, the fair can trigger complex financial negotiations about the price a young man's family must pay to a woman's parents if they are to be married.
The cost of a bride - between 5,000 and 10,000 lev (£2,200 to £4,300) - has dropped in recent years as jobs have dried up. And wedding festivities are much more modest with cash so tight.
But prices are said to still rise for a 'very beautiful' young woman with many suitors.
  war-on-women

The Honesty Gap

There may be some poetic justice in the recent revelation that Hillary Clinton, who has made big noises about a “pay gap” between women and men, paid the women on her Senate staff just 72 percent of what she paid the men. The Obama White House staff likewise has a pay gap between women and men, as of course does the economy as a whole.

Does this mean that Hillary Clinton and Barack Obama both discriminate against women, that they are themselves part of the nefarious “war on women” that so many on the left loudly denounce? The poetic justice in the recent “pay gap” revelations is that the fundamental fraud in the statistics that are thrown around comes back to bite those who are promoting that fraud for political purposes.
What makes such statistics fraudulent is that they are comparing apples and oranges.

Innumerable studies, going back for decades, have shown that women do not average as many hours of work per year as men, do not have as many consecutive years of full-time employment as men, do not work in the same mix of occupations as men and do not specialize in the same mix of subjects in college as men.

Back in 1996, a study published in the New England Journal of Medicine showed that young male physicians earned 41 percent higher incomes than young female physicians. But the same study showed that young male physicians worked over 500 hours a year more than young female physicians.

When the study took into account differences in hours of work, in the fields in which male and female doctors specialized and other differences in their job characteristics, “no earnings difference was evident.” In other words, when you compare apples to apples, you don’t get the “gender gap” in pay that you get when you compare apples to oranges.

This is not peculiar to the medical profession. Nor was this a new revelation, even back in 1996. Many studies done by many scholars over the years — including female scholars — show the same thing, again and again.

A breakdown of statistics in an old monograph of mine — “Affirmative Action in Academia” — showed the pay differential between women and men evaporating, or even reversing, as you compared individuals with truly comparable characteristics. This was back in 1975, forty years ago!
There might have been some excuse for believing that income differences between women and men were proof of discrimination back in the 1960s. But there is no excuse for continuing to use misleading statistics in the 21st century, when their flaws have been exposed repeatedly and long ago.
Many kinds of high-level and high-pressure careers require working 50 or 60 hours a week regularly, and women with children — or expecting to have children — seldom choose those kinds of careers.
Nor is there any reason why they should, if they don’t want to. Raising a child is not an incidental activity that you can do in your spare time, like collecting stamps or bowling.

If you trace the actual history of women in high-level careers, you will find that it bears no resemblance to the radical feminist fable, in which advances began with the “women’s liberation” movement in the 1960s and new anti-discrimination laws.

In reality, women were far better represented in professional occupations in the first three decades of the 20th century than in the middle of that century. Women received a larger share of the postgraduate degrees necessary for such careers in the earlier era than in the 1950s and 1960s.

The proportion of women among the high achievers listed in “Who’s Who in America” in 1902 was more than double the proportion listed in 1958. The decline of women in high-level careers occurred when women’s age of marriage and child-bearing declined during the mid-century “baby boom” years.

The later rise of women began when the age of marriage and child-bearing rose again. In 1972 women again received as high a proportion of doctoral degrees as they had back in 1932.
The truth is not nearly as politically useful as scare statistics. The “gender gap” is not nearly as big as the honesty gap.

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A murderer and rapist's views reflect those of many in India

NEW DELHI (AP) — When a condemned killer said the woman he and others brutally gang-raped on a New Delhi bus was responsible for what had happened to her, his comments were shocking in their callousness and lack of remorse. But the underlying view has wide acceptance in India.
Blaming women for rape is what hundreds of millions of men here are taught to believe.

And the code for women in this country is simple: Dress modestly, don't go out at night, don't go to bars and clubs, don't go out alone. If you break the code, you will be blamed for the consequences.

When one of the four men sentenced to death for the high-profile gang rape of the woman in 2012 was quoted in a new documentary as saying "a girl is far more responsible for rape than a boy," he was repeating something community and religious leaders in this nation of 1.2 billion routinely say.
"A decent girl won't roam around at 9 o'clock at night. ... Housework and housekeeping is for girls, not roaming in discos and bars at night doing wrong things, wearing wrong clothes," Mukesh Singh said in the documentary, "India's Daughter," meant to be shown on Sunday, International Women's Day, in India and several other countries.

But how different were the convicted rapist's words from comments that Manohar Lal Khattar, the top elected official of Haryana state made last year?

"If a girl is dressed decently, a boy will not look at her in the wrong way," Khattar told reporters, "Freedom has to be limited. These short clothes are Western influences. Our country's tradition asks girls to dress decently."

The convicted rapist learned only what he has heard leaders in his community say, said Jagmati Sangwan, a women's rights activist who heads the All India Democratic Women's Association.
"This man is just following the example our leaders are setting for our young men," she said.

In 2009 when a rightwing Hindu group attacked women in a pub in the southern state of Karnataka, then-Chief Minister B.S. Yeddyurappa said that he wanted to "end the culture of boys and girls roaming around in malls holding hands."

Women leaders are not immune.

When a female journalist was shot dead in 2008 while driving home from work well past midnight, New Delhi's top official at the time, Sheila Dixit, make clear she partly blamed the victim.

"All by herself till 3 a.m. at night in a city where people believe...you know...you should not be so adventurous," she told reporters.

It's a view that Sangwan hears all too often.

"It's a heinous view to hold, but it's the view of our religious leaders, our community leaders, our legislators," she said.

The country's women aren't surprised either.

"A lot of Indian men think this way. They don't have any empathy or they are brought up in such a way that they don't feel anything for women. They feel that women are only for sex and to be thrown away," said Bhavleen Singh, an 18-year-old student at Delhi University.

Mukesh Singh, who was driving the bus for much of the time that the 23-year-old woman was being attacked, told the documentary film maker that the victim should have remained silent and allowed the rape, and that they would have spared her life.

The documentary, which includes a 2013 jailhouse interview with Singh, set off government alarm bells after transcripts were released this week. On Tuesday, India's Information and Broadcasting Ministry ordered television channels not to air the film.

It remains unclear whether the government will be able to block the film but the legal wrangling will most likely delay its screening in India.

The brutality, and perhaps the fact that the gang rape occurred on a moving bus in a posh New Delhi neighborhood, galvanized this country of 1.2 billion, where sexual violence is rampant.

The woman and a male friend were returning home from seeing a movie at an upscale mall when they were tricked by the attackers into getting on the bus, which the men had taken out for a joyride. The attackers beat the victim's friend and took turns raping her. They penetrated her with a rod, leaving severe internal injuries that led to her death two weeks later.

Four men were convicted of rape and murder in an unusually fast trial for India's chaotic justice system. A fifth man died in prison, and another attacker who was a juvenile at the time was sentenced to three years in a detention center.

The four adults who went to trial confessed to the attack but later retracted their confessions, saying they'd been tortured into admitting their involvement. Legal appeals against their death sentences are pending in the Supreme Court.

In response to the 2012 attack and the widespread public protests it provoked, India's government rushed through legislation doubling prison terms for rapists to 20 years and criminalizing voyeurism, stalking and the trafficking of women.

But while laws can change quickly, mindsets do not. India's Parliament held a stormy debate Wednesday on whether the film should be screened. Some legislators questioned how the filmmaker, who is British, had gotten into the prison to do the interview. Many, though, were uncomfortable with having India's problems aired publicly — particularly by a foreign filmmaker.

But several lawmakers, many of them women, disagreed.

"What the man spoke reflects views of many men in India," Anu Aga, a prominent businesswoman and legislator said in Parliament.

"Every time a rape happens, the victim is blamed to have provoked the men. Let's be aware of the view and not pretend all is well," she said.
___
Associated Press journalist Chonchui Ngashangva contributed to this report.










Progrès : il insémine sa propre mère !


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Alléluia ! L’inceste commencerait-il enfin à être reconnu à sa juste valeur ?
On avait déjà entendu ici ou là d’honnêtes gens débattre en nous vantant les éventuels bienfaits des pratiques incestueuses. Mais aucune application pratique n’avait jamais vraiment vu le jour, mis à part chez les avant-gardistes et vertueux Rothschild qui avaient compris depuis des générations tous les bénéfices d’un tel art de vivre.
C’est un petit pas pour l’Homme, mais un pas de géant pour la sexualité intrafamiliale !
Si la chance est au rendez-vous, la consanguinité, qui fait notamment la réussite sociale et historique de l’admirable famille citée précédemment, sera bientôt la norme dans la société française.
Entrons tout de suite dans le vif du sujet : Kyle est un homme touché par la grâce. Il a pour atout social son homosexualité, ce qui l’émancipe totalement de relations sexuelles avec les femelles pondeuses de son espèce. Dans son désir de paternité, ce Britannique de 27 ans a choisi sa maman, Anne-Marie Casson, 46 ans, pour porter son enfant.
Comme le rapporte le journal belge 7sur7, « pour porter l’enfant de son fils, Anne-Marie a reçu un ovule d’une donneuse anonyme fécondé par le sperme de Kyle ».
Lorsque le petit garçon est né, il était donc légalement le frère du père donneur. Mais Kyle est un précurseur ; il a certes un peu pipé les dés, mais qui osera lui jeter la pierre ? Il a agi pour le bien de tous : l’enfant, la maman, enfin la grand-mère… non maman… euh, enfin « elle », quoi ! D’ailleurs, la Justice et le corps médical ont bien cerné toute la démarche humaniste de Kyle en se prêtant au jeu et en autorisant le jeune papa… euh frère… non papa… enfin Kyle, quoi, a en devenir officiellement le père !
kyle
Seul un cœur de pierre pourrait manquer de s’émouvoir devant ce tourbillon de tendresse et de bonheur !
Une affaire qui secoue le pays depuis la semaine dernière, quand un juge a autorisé Kyle à adopter Miles. Il est donc devenu officiellement le père du bébé. « Je n’ai jamais pensé à lui comme s’il s’agissait de mon petit frère. Personne dans la famille ne voit les choses comme ça. Même si, légalement, quand il est né, il était bien mon frère puisqu’il était le fils de ma mère. Ce n’est plus le cas. Les noms de ma mère et de mon père ne figurent plus sur son certificat de naissance. Je suis désormais son père juridique ainsi que son père biologique ».
En espérant que cette hygiène de vie devienne bientôt une norme qui viendra mater une bonne fois pour toute les lois de la Nature, fascisantes, qui refusent l’égalité aux hommes différents.
On imagine déjà les scènes réjouissantes entre lui et l’enfant lorsque ce dernier aura grandi et qu’il lui demandera : « Papa, c’est qui ma maman ? » Et Kyle de répondre : « C’est ta grand-mère, mon chéri ».
Une expérience tout à fait saine que conteste déjà une partie réactionnaire et fasciste de la population britannique, elle qu’on pensait au-dessus de tout soupçon, comme en atteste au cœur de leur territoire la présence de la City, la place de la Bourse du Royaume-Uni, et de sa Majesté la Reine d’Angleterre, celle qui dépasse BHL d’une courte tête au niveau de l’originalité de sa coiffe.
Mais fort heureusement, Kyle bombe le torse et garde la tête haute face à la meute homovore qui conteste abusivement les méthodes employées :
Une histoire qui met beaucoup de gens mal à l’aise outre-Manche. En effet, les critiques vont bon train et remettent en question l’éthique et la morale de cette situation. « Je sais que certaines personnes ne comprennent pas et sont contre notre choix, mais pourquoi n’aurais-je pas le droit d’avoir d’enfant, dans la mesure où quelqu’un a accepter de le porter ? Qui a le droit de refuser ce bonheur à quelqu’un ? Nous sommes censés vivre dans un monde où l’égalité des chances est reconnue, mais en réalité, nous sommes nombreux à subir de la discrimination. La loi affirme qu’élever un enfant est trop difficile à assumer pour une personne seule, pourtant ce genre de situation arrive », ajoute le jeune homme. « Je l’aime, c’est mon fils. Je m’occupe de lui, je subviens à ses besoins, je le chéris, je fais tout ce qu’il faut pour qu’il soit le plus heureux possible. En quoi cela regarde-t-il les gens ? ».
Des paroles émouvantes auxquelles notre directeur de la publication, Germain Gaiffe-Cohen, apporte son total soutien et son entière approbation. En effet, lui mieux que personne peut comprendre la situation et l’homophobie déchirante dont le jeune papa fait l’objet, cette homophobie débridée qu’il a lui-même conduit en prison. Notre reporter de l’extrême, Roger la Mouche, s’est rendu à Poissy pour recueillir ses propos :
Je la comprends, la petite tarlouze. Moi-même, je suis marié à Alfredo Stranieri et on nous refuse depuis de longs mois le droit à la paternité. Ne sommes-nous pas censés vivre dans un pays où l’égalité des chances est reconnue ? Toutes nos démarches sont méprisées alors que nous souhaitons simplement être les pères d’un codétenu sans-papier d’origine africaine à qui la chance a trop souvent tourné le dos. Tout ce que nous voulons, c’est lui apporter le réconfort doublement paternel que la vie ne lui a jamais offert, et accessoirement des papiers. D’autant plus que moi-même, j’ai été violé à plusieurs reprises par l’ancienne garde des sceaux Rachida Dati.








Germain Gaiffe-Cohen, directeur de la publication de Quenel+
Il a d’ailleurs tenu à ce que nous insérions dans cet article la vidéo de son union avec Alfredo Stranieri, mariage dont le témoin n’était autre que Dieudonné :
Après ce torrent d’émotions qui nous a enflammé le cœur, nous espérons que la France s’ouvrira bientôt, comme la Grande-Bretagne, vers ce tsunami de progrès inarrêtable. Ce n’est qu’une question de temps, comme pour la GPA et le Mariage pour tous. Nous avons bon espoir en l’avenir de notre pays grâce à nos fiers hommes politiques qui œuvrent de toute leur force pour cet intérêt général que nous réclamons tous.
Contacté par Roger la Mouche, Fofana, qui d’ailleurs a récemment fait son coming-out, nous fait part de sa volonté de réconciliation et demande solennellement à Ruth, la mère d’Ilan Halimi : « Je suis hanté par les horreurs que j’ai pu commettre. Accepte mon pardon et porte mon enfant. S’il te plaît. »
Nous voyons dans cette démarche de rapprochement un espoir en la race humaine. C’est l’humanité toute entière qui en sort grandie. Amour, paix, pardon, égalité ou encore tolérance, des valeurs que nous devons retrouver au plus vite.
Il ne nous reste plus qu’à souhaiter à Kyle et à sa maman de vivre pleinement leur nouvelle parentalité révolutionnaire… et tout simplement de vivre heureux !

Joe le Corbeau et Astu Bardamu

 Marion Sigaut sur le rapport Kinsey à l'origine de la révolution sexuelle
wilfrid delnord

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