CROISADE ET LAÏCITÉ FALSIFIÉE
Croisade raciste et violente de la laïcité – Maurice
n’est pas la Turquie !
L’église catholique remet en
question le système westminstérien de Maurice dont les lois sont formulées en
langue anglaise. Elle fait pression sur le gouvernement afin que des lois ou
concepts antagonistes provenant du système français y soient rajoutées alors
que cette démarche ne saurait que causer des problèmes. Cette démarche est une révolte contre le
système existant à Maurice. Pourquoi pas
y ajouter la Shari’a islamique pendant qu’on y est ? Le mot anglais « secularism », est correctement traduit en français par «
sécularisme » et non par « laïcité », un terme d’église, cheval de combat de la
franc-maçonnerie. Maurice
post-indépendance n’ayant jamais adopté une religion d’État comme le
catholicisme l’était en France, il ne peut donc y avoir de laïcité à Maurice en
dépit de cette Croisade. La laïcité
française est une atteinte à la liberté religieuse.
PM Ramgoolam, Président Purryag et Archevèque Piat
L’Église, c’était l’État
jadis
En France prérévolutionnaire, l’Église était l’État. Le roi de France était
« le lieutenant de Dieu sur terre ». La Réforme affirma le principe de
l’identité entre le souverain et les sujets, selon l’adage « cujus regio, ejus religio » - « telle la religion du prince, telle celle du
pays », et les lois régies selon l’adage « une foi, une loi, un roi ». Le roi de France était « le lieutenant de Dieu sur terre ». Ce
n’est donc qu’un phénomène purement d’Église, voire de « L’AUTORITÉ CATHOLIQUE »,
qui, contrairement aux autres lieux de culte, est une institution hiérarchique,
La révolution française de 1789 fut provoquée par l’emprise de l’Église
catholique sur l’État français avec ses procès de sorcellerie, etc. La
philosophie des années lumières européennes [1745-1785] se veut en France,
Descartes l’annonçait, essentiellement laïque dans le but de retirer la France
de l’ « obscurantisme catholique ».
(v. Descartes, Malebranche, Fontenelle, Fénelon, Voltaire, Montesquieu,
Diderot, Rousseau, quelle que soit leur diversité). Y a-t-il un ‘obscurantisme
hindou’ à Maurice pour que l’église s’abroge le droit de nous proposer un
remède anticlérical en son nom ?
L’église est folle à lier car le paradoxe est trop flagrant !
La laïcité et la Turquie
Les agitateurs de la laïcité semblent imiter les Jeunes ‘Turcs’ ou le
Comité pour l’Union et le Progrès à l’occidental, et les Vladimir Jabotinsky ne
manquent pas à Maurice : l’église catholique, certains médias, etc. La laïcité, chouchou des Loges judéo maçonniques
de France, financées et contrôlées par les Rothschilds, fait des ravages dans
le monde des Croyants (surtout des non-Chrétiens et non-Juifs). C’est une exception française intraduisible
en anglais. Les judéo chrétiens ayant réussi à détruire le Khilafah ottoman en
pleine décadence, y imposèrent la laïcité judéo maçonnique à la française qui
eut pour résultat :
1. L’abolition du Khilaafah
2. L’abolition de l’éducation islamique
3. L’abolition de l’appel à la prière, le Adhaan
4. L’abolition du fez turc
5. L’abolition de la langue arabe et de l’utilisation de son alphabet pour
écrire le Turc qui dorénavant fut écrit avec l’alphabet latin
6. La fermeture des écoles islamiques
7. L’assassinat les érudits musulmans
8. La tentative d’enlever tous les tapis des Masajid (mosquées) et les
remplacer par des sièges afin qu’ils ressemblent à des églises
9. La tentative de remplacer le Saint Qur’ân arabe par des traductions en
Turc et une liturgie en Turc uniquement (l’église de Maurice dit avoir remplacé
la liturgie catholique par le créole et veut la communion en créole !
Jésus est ainsi devenu ZEZI !)
10. L’emprisonnement, l’instauration de la torture, ou l’exécution sur la
place publique de tous ceux qui désobéissaient à la laïcité turque !
11. Le génocide des Arméniens chrétiens, de Grecs, d’Assyriens et
d’Araméens
La liste est très longue.
Après avoir fichu le bordel en Turquie, les occidentaux cherchent à faire
de même à Maurice qu’ils se servent comme « laboratoire de la laïcité » et des
Mauriciens comme cobayes.
Vérité et mensonge
Bien que ce soit le gouvernement à majorité hindouiste qui est visé, ce
sont les communautés musulmanes qui seront les victimes sûres de cette
croisade, comme en France et d’autres pays de l’Europe ! Dans son homélie à l’occasion de la messe célébrée
à l’occasion de la fête de la St-Louis, samedi 25 août 2012, en présence des
invités politiques le PM le Dr Navin Ramgoolam, le leader de l’Opposition Paul
Bérenger et le Président ‘apolitique’ Kailash Purryag, le Prêtre Jean-Claude
Véder ne dit pas la vérité quand il dit que «
La République mauricienne repose sur des valeurs de laïcité » (Matinal 27
août 2012). Dire que « Notre société est
une société laïque » n’est qu’un autre mensonge qu’on matraque les
Mauriciens avec. Les Mauriciens instruits doivent savoir que Maurice a un
système westminstérien et ses lois sont formulées en langue anglaise. Des lois
antagonistes provenant du système français ne sauraient y être ajoutées sans
causer des problèmes en ce qui concerne leurs applications. La démarche de l’église est une révolte
contre le système existant à Maurice ce que le Premier Ministre est sensé de
savoir. La république mauricienne se
repose non sur la laïcité, mais sur un arrangement politique pour le partage du
pouvoir entre l’ancien Premier Ministre Anerood Jugnauth du MSM et le leader de
l’Opposition Paul Bérenger du MMM où le PM serait du MSM (SAJ) et le Président
du MMM (Cassam Uteem). Alors que la laïcité française devait extraire la France
de « l’obscurantisme catholique », l’Église catholique de Maurice,
cherche-t-elle à retirer Maurice du prétendu « obscurantisme hindou »
parce que les groupes socio-culturels hindous sont proches du pouvoir ? Mais les groupes socio-culturels catholiques
et juifs, ne sont-ils pas proches du pouvoir en France et aux USA?
Dans la pratique, en France, la laïcité est devenue une arme principalement
contre les minorités musulmanes dans plusieurs aspects de leur vie quotidienne.
C’est une politique d’intégration et d’assimilation forcées dans la ou les cultures
de souche. Dans quel esprit l’Église
catholique se fait-elle le porte-parole d’une telle politique agressive et
fasciste à Maurice, dont elle fut elle-même victime jadis, alors que la
majorité des Mauriciens est non-catholique, c-a-d, Hindou et Musulmane?
Les Mauriciens témoignent déjà, durant les dernières décennies, les fracas
de la politique de la créolité d’importation étrangère (avec laquelle l’église
s’identifie) où le Patois Mauricien est épuré de ses apports linguistiques
indiennes (hindi, urdu, etc.) pour devenir plus créole catholique à la
haïtienne et à la DOM-TOM.
Conclusion
Si l’Église catholique de Maurice veut réellement séparer l’Église de
l’État mauricien, elle doit donner l’exemple en cessant sa politique européenne
de la créolité mise en œuvre que pour servir les intérêts de l’Europe et non de
l’Afrique (ou de l’Inde) en ce qui concerne les langues et cultures ancestrales
des Mauriciens d’origine africaine et malgache. Est-il alors surprenant que de
nombreux Afro-Mauriciens disent toujours qu’ils souffrent d’une crise
identitaire et d’un « malaise créole » ? Elle doit également mettre un terme
à sa croisade politique en faveur de la laïcité, également d’importation
européenne. L’Église fait clairement de la politique tout en prétendant vouloir
séparer la religion de la politique.
Inviter le Premier Ministre et le Président à l’occasion de la messe de la
Saint Louis pour leur donner des leçons politiques sur la laïcité, pratiquée
avec discrimination et racisme en France, et avec violence en Turquie, est-ce
le rôle de l’église catholique ? Mais, Maurice n’est pas la Turquie. « L’ÉTAT
C’EST NOUS », et nous sommes là pour établir la vérité comme nous commandent les
Saintes Écritures. Ce serait déjà fait si certains médias n’avaient pas fait
obstacle, tout comme ils font obstacle concernant la politique de la créolité,
en nous refusant la libre expression afin d’informer la nation.
M Rafic Soormally
Londres
28 août 2012
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Sent: Wednesday, 29 August 2012, 13:22
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Sent: Wednesday, 29 August 2012, 13:22
http://muhammad-ali-ben-marcus.blogspot.co.uk/2012/08/croisade-raciste-et-violente-de-la.html?showComment=1346242614251#c689009634036626772
La Laïcité falsifiée
01.04.2012
La laïcité falsifiée, c'est quand
la droite plus ou moins dure utilise les principes de laïcité pour
stigmatiser des pratiques, des religions (en général, pas catholiques
...). Ce faisant, elle bafoue les principes dont elle se réclame.
Vous vous demandez si la laïcité est toujours une valeur de gauche ?
Vous vous demandez comment Marine Le pen a-t-elle pu réaliser le hold up du siècle en s’emparant de la laïcité ?
Quand JF Copé s’affirme républicain et laïque vous vous dites, pourquoi pas, mais au fond de vous, il y a qqchose qui vous gène sans bien savoir quoi ?
A force de retourner la question du foulard dans tous les sens, vous ne savez plus si vous êtes pour ou contre le port du foulard dans les lieu publics, dans les administrations, les écoles, dans la rue, dans les avenues, sur les boulevards, à la piscine, dans les boulangeries … et surtout vous ne savez plus si vous êtes pour ou contre une loi d’interdiction …
Bref, vous vous étonnez qu’on se réfère à la loi de 1905 pour justifier tout et son contraire …
Et bien écoutez Jean Baubérot ! Il était, Mercredi 28 Mars 2012, l'invité de Voix Contre Oreille.
Jean Baubérot est Professeur émérite de la chaire histoire et sociologie de la laicité à l’école pratique des hautes études, Membre de la commission Stasi en 2004. Auteur de nombreux ouvrages sur le sujet dont :
La laïcité expliquée à M Sarkozy, 2008 chez Albin Michel.
La Laïcité falsifiée, La Découverte, 2012.
Après avoir lu ce livre on a envie de lui dire MERCI ! Merci d''éclairer notre lanterne, merci de remettre à l'endroit un débat qui marche sur la tête ...
The Decline of the Secular State: Merging Faith and Politics in Britain
Paper ID: | 72 | Last updated: 18/05/2011 14:07:56 | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Criteria: | Impact: | Likelihood: | Controversy: | Where: Domestic/National | When: 11-20yrs | How Fast: Years | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
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people thought this paper expanded their thinking
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Keywords: | religion, values, society, domestic, church, secular, community, education, creationism, state | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Summary |
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While political leaders are often privately religious, it is controversial in the United Kingdom to invoke religion for political gain. However, a widespread rise in religious sentiment could shift the balance and make explicitly spiritual politics popular at the ballot box. A blurring of faith and politics could have far-reaching implications for policy, notably, in the areas of social care and welfare, social cohesion and education. | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Discussion |
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Religion
has played a significant influence on politics throughout history;
internationallly, throughout the 21st century, this influence seems to
have continued to a noticeable degree. [1] A variety of political conflicts in the 21st century have been shaped by both religion and politics, [2] for instance, as seen in the political developments in Nigeria, Sri Lanka and Afghanistan, among others. In the UK, religion has not disappeared from political discourse. Former Scottish Labour Secretary Jim Murphy stated that faith values were at the heart of the Labour party, [2] contrasting with former Labour party communications chief Alastair Campbell who stated, ‘We don’t do God’. [3] [4] David Cameron has discussed his personal Christian faith publicly, [3] [4] and Liberal-democratic leader Nick Clegg stated he did not believe in God, but retained respect for those with faith. [3] Faith groups also gained political attention in climate change discussions. Prior to Copenhagen, Prince Philip formally approved religious groups’ plans to cut emissions and promote a green agenda. [5] The above instances reveal that there is space for religion to be discussed in British politics. If there were a widespread renewal in feelings of religiosity and piety in wider society, faith could come to influence the politics of society as a whole. [6] Religious leaders could become more politically focused and entrench a meaningful influence over policy by setting the political agenda. [7] In the UK, the British Social Attitudes 26th Report finds that people in the UK who are religious also tend to have more conservative social attitudes than the non-religious, such as towards homosexual sex or women’s and men’s roles in the household. [8] Depending on the nature of the religion embraced, their input could lead to the government adopting more socially conservative policies. [9] Depending on the balance and nature of religious affiliations of those in political power, the blurring of religion and politics could affect social cohesion. On one hand, social cohesion could be consolidated around shared values [10] of tolerance or ‘brotherly love’, as found in religious texts. In this case, religion in politics could be a uniting factor, as differences such as in culture or socioeconomic status could become less divisive. However, on the other hand, religious groups could instead pursue policies that increase differences. Competition between religious communities could increase as they seek more followers, influence and money could result in segregation and division. [11] Voting patterns could change as people increasingly vote based on religious affiliations and recommendations. Rather than be dominated by secular values, religious value systems could gain a foothold in policy disputes. | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Implications |
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A
greater influence of religion in UK politics could have several
implications for domestic and international political relations, social
welfare provision and education policy, among other areas. Those with
religious identifications could seek political representation that
explicitly endorses their religious values, [12]
resulting in a shift among politicians to more obviously supporting
religious viewpoints on policy issues. The nature of the resulting
political platforms could then depend on the relative influence of
different religious viewpoints. For instance, religious viewpoints could
motivate politicians to promote tolerance of differences, such as
through multi-faith groups, or they could feel threatened by difference
and seek to maintain strict control over social, political and/or
religious behaviour. In foreign policy, an increasingly religious state in the UK could affect decisions about involvement in foreign conflicts, and could affect the nature of relations with both religious and secular states. States linked to other religious groups could change their attitudes towards Britain, either seeing faith as a common ground or becoming hostile on the basis of religious differences. Religion in politics also could strengthen or threaten social cohesion. Christian and Muslim faith communities are becoming increasingly diverse in the UK, particularly in urban centres, with growing numbers of ethnically diverse congregations. [13] As people find common ground in religion, ethnic differences may become less important, changing how people relate to each other and understand difference. However, religion could also become a source of political and social contention. There could be an increase in disillusionment and tensions as atheists or minority religious groups feel disempowered against the religious bodies with more direct influence over policy. The UK National Office for Statistics has found that levels of unemployment and perceptions of ill-health follow some religious demarcation lines. For instance, in 2004 unemployment was three times higher among Muslim men than Christian men. If these differences become more pronounced and correspond with perceived political inequalities, they could lead to conflict. [14] As well, as religious leaders gain greater influence in politics, they could increasingly seek to maintain control over society, becoming less concerned with social well-being and more concerned with maintaining influence, as can be seen to have occurred historically in Britain following the civil war. Social welfare policy could be affected if the state relies more completely on religious networks to provide social care and welfare services. If budgetary pressures increase or there is continued economic recession, religious groups could take over state responsibility for social welfare provisions from the public sector. This could ensure continued provisions amidst budgetary and economic pressures, while also posing a risk that social care could become more concentrated within religious groups or within the communities surrounding religious institutions. Religious groups providing social welfare could result in new inequalities in the distribution of social care, in line with religious affiliations. Finally, religion has already entered into debates about education policy and faith schools in the UK. [15] In February 2010, the House of Commons passed a bill allowing faith schools to teach personal, social, health and economic lessons in ways reflecting religious beliefs and values. [16] In 2009, faith schools were estimated to constitute one-third of schools in the UK. [8] If religion and politics become increasingly intertwined, practicing faith schools could obtain increased financial and political support to the disadvantage of other schools, thus playing a more direct role in shaping the curriculum and teaching. |
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Early indicators |
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Increased religious observance, particularly among different ethnic groups. A more vocal and prominent role of strongly associated religious lobby groups and political parties. Growing strength of faith-based initiatives in the United States (US) and increasing international outreach activities . Increase in number of/support for faith schools. Increased British involvement in international conflicts with religious dimensions. Increased frequency of references to personal religious values and beliefs among UK political party leaders. |
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Drivers & Inhibitors |
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Drivers: Growing economic instability and frustration of opportunity. Search for community and social belonging. Individual and religious institutional resistance to secularism. The use of religion to make sense of environmental and economic uncertainties. Increased societal awareness of the role of religion in politics internationally. Increased support for religious groups through immigration and transnational faith networks. Inhibitors: Entrenched secularism stemming from the enlightenment. Declining church attendance in the UK. Multiculturalism and beliefs in the value of a pluralist society. Popular trust in science and rational reasoning. Growing separation of religion and politics in other western countries. Rising perceptions in the UK of religion as a cause of political conflict. |
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Parallels & Precedents |
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Large established evangelical movements and centres, such as in the US. [17] [18] The long standing association of religion with political parties in other countries, such as in American domestic politics, and with Christian Democrat parties across Europe. [19] [20] The binding of religion and the state throughout history, and in modern Muslim dominated and Islamic states (e.g. The Islamic Republic of Iran). The Christian Peoples Alliance in the UK. [21] Creation of The Center for Faith-Based and Community Initiatives (CFBCI) at the US Department of Labor. [15] Christian parties in mainland Europe. |
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Wednesday, 29
August 2012 11:45
Suite à la déclaration du père Véder – L’État et la religion, deux
entités indissociables ? Featured
Politique et religion. Un
cocktail explosif ou un mal nécessaire ? Le père Véder a relancé le débat
sur la laïcité. Les religieux d’autres confessions donnent leurs opinions.
Faut-il que la religion se
mêle de politique et vice versa ? Ou faut-il une démarcation claire et
nette entre ces deux sujets ? Le père Jean-Claude Véder a relancé
l’éternel débat sur la question de la laïcité, samedi, lors de la messe de la
Saint-Louis. S’il plaide pour un rôle apolitique mais social des religions,
tout le monde ne partage pas cet avis.
« Si un politicien vient avec un discours politique, nous ne pouvons l’en empêcher. Que des politiciens participent à des activités religieuses, on le constate partout dans le monde, y compris dans les pays avancés », argue Veerendra Ramdhun, président de la Hindu House. Il précise toutefois que son association socioculturelle n’accepte pas que les membres de son exécutif fassent de la politique active. « Si quelqu’un recherche des avantages d’un ministre, il doit démissionner de l’exécutif. » Il est cependant un fait qu’à Maurice la proximité entre politiciens et religieux est indéniable. Il suffit de voir le nombre de membres d’associations socioculturelles qui siègent au conseil d’administration des compagnies d’Etat ou d’entités paraétatiques. Certains parviennent même à occuper la présidence du conseil d’administration de tel ou tel organisme. Pour le politicien, le religieux représente un apport de voix certain au moment des élections. C’est l’homme providentiel qui ouvre la porte aux réservoirs de votes. «C’est une fausse perception des choses, estime Bissoon Mungroo, président de la Mauritius Sanatan Dharma Mandir Sangathan. « Les associations socioculturelles ne représentent qu’elles-mêmes. Il n’est pas vrai de dire qu’elles parlent au nom de telle ou telle communauté. Quand aux mots d’ordre, ils n’ont guère d’effet. Cela ne marche pas dans la réalité.» Pour Bissoon Mungroo, « chaque votant a déjà fait son opinion et ce n’est pas un quelconque mot d’ordre qui va changer cela ». Il admet cependant que la religion et la politique sont de bons alliés, « dans le contexte mauricien, c’est dans notre sang ». Somduth Dulthumun, président de la Mauritius Sanatan Dharma Temples Federation, préfère botter en touche. « Je fais ce que ma religion me permet. Le religieux peut assumer des responsabilités sociales. » Religion et débat civil Pour le père Véder, le pape Benoît XVI ouvre un chemin intéressant : « le rôle de la religion dans le débat civil n’est pas de donner des normes ni des directives, mais plutôt d’aider à purifier la raison et de l’éclairer pour qu’elle puisse découvrir des principes moraux objectifs ». La religion peut aussi agir comme chien de garde. « La raison privée de l’apport de la religion laisserait place au totalitarisme, le nazisme en est un exemple. La religion privée de l’apport de la raison tomberait dans le fondamentalisme. Notre pays n’en a pas besoin », devait-il déclarer samedi en s’exprimant au nom de l’Église sur cette question. Enfin, pour le prêtre, il faut « différencier les religions qui veulent travailler pour une société moderne et laïque et les groupuscules sectaires (que l’on retrouve dans toutes les religions) qui veulent utiliser les politiciens pour un gain quelconque. Nos hommes et femmes politiques auront-ils le courage et la liberté de conscience pour séparer le politique du religieux ? L’enjeu est de taille. Il mérite qu’on puisse en parler dans toutes les religions, de manière dépassionnée, et de l’aborder chez nos parlementaires et les hommes et les femmes politiques.» Nissar Ramtoola, président de la Jummah Mosque, indique pour sa part que la politique et islam sont indissociables. Il rappelle d’ailleurs que le prophète Mahomet a lié islam et politique en offrant la Constitution de Médine et en établissant le tout premier État islamique sous la forme d’une fédération. «En outre, le prophète a conclu une alliance politique avec d’autres communautés et entités politiques, qui existaient à l’époque, sous la forme de tribus ». «Toutefois, ceux qui confondent la politique et les partis politiques, la propagande, les élections et la lutent pour le pouvoir font erreur. La politique, c’est l’art de gérer les affaires de l’État pour plaire à Dieu dans l’intérêt suprême de ses créatures…» Dans un pays multiculturel, avec une forte présence des grandes religions, chacune ses spécificités, il sera bien difficile de donner une définition uniforme d’État laïc.
Un enseignant du lycée Saint-Stanislas, parti en juin en vacances
avec son identité d'homme, devait rentrer mardi devant ses élèves avec
sa nouvelle identité de femme, selon une information de Presse-Océan
mardi confirmée par l'AFP auprès de la direction de l'enseignement
catholique.
Ce changement s'est fait en plein accord et concertation avec la direction diocésaine de l'enseignement catholique à Nantes, a confirmé à l'AFP Didier Groleau, adjoint au directeur diocésain de l'enseignement catholique de Loire-Atlantique, également interviewé par Presse-Océan. L'enseignant "nous avait prévenu de son choix l'année dernière. (...) Nous l'avons invité à prévenir le rectorat qui est son employeur. Nous avons ensuite organisé, avec son accord, l'information auprès des autres enseignants et des parents d'élèves et élèves concernés, qui ne sont qu'une petite vingtaine", a déclaré M. Groleau à Presse-Océan. Ainsi, des courriers ont été envoyés aux familles et le service psychologique de l'enseignement catholique a été avisé. Il s'agit du deuxième cas en deux ans, de changement de sexe d'un professeur en Loire-Atlantique, et dans les deux cas, dans l'enseignement privé. En septembre 2010 c'était un professeur de physique du collège-lycée Saint-Dominique de Saint-Herblain qui avait sauté le pas. Selon M. Groleau, dans cet autre établissement, depuis lors, "tout se passe tout à fait normalement sans le moindre problème". |
Laïcité et solidarité
ReplyDeleteLa particulatité de l'UFAL, c'est de lier le combat laïque et le combat social. Pour cette association, la séparation de la sphère publique et de la sphère privée s'applique aussi bien aux aspects religieux qu'au domaine économique. Ainsi, la laïcité est la matrice de la solidarité et de la protection sociale.
Encore plus étonnant : la laicité s’oppose à la logique capitaliste !
Notre société a réussi, un temps, à concilier les deux, mais à présent, elle sacrifie petit à petit sa dimension laïque, égalitaire, au profit de la logique libérale. Mais pour Bernard Teper, la laïcité n'est qu'un des 3 points de clivage majeurs auxquels notre société doit faire face, les deux autres étant (droite-gauche et republique-libéralisme).
La laîcité : point de clivage au sein même du mouvement altermondialiste
La position par rapport à la laïïcité est un point de divergence au sein même du mouvement altermondialiste. C'est en particulier le type de relation à avoir avec les associations religieuses qui pose question. Par exemple, la présence massive d'associations musulmanes (Collectif des Musulmans de France (CMF) www.cmf-asso.fr, Présence Musulmane (PM) www.presence-musulmane.com, Union des Jeunes Musulmans (UJM)) lors du Forum Social Européen de Londres en octobre 2004 a sucité de nombreux débats ; ces organisations ayant vivement attaqué le modèle républicain français, accusé de « racisme ».
Pour Bernard Teper, la position qui consiste à dire "les enemis de mes enemis sont mes amis" et d'en conclure qu'une collaboration est possible avec des organisations musulmanes sous prétexte qu'elles critiquent le système libéral anglo-saxon, est totalement irresponsable.
En savoir plus ...
- UFAL
- Rencontre laïque internationale, 10 et 11 Février 2006
- Attac et la laïcité
- Le mouvement altermondialiste et la laïcité, débat contradictoire
Lier le combat Laïque et le combat social : qu’est-ce que cela veut dire ?
ReplyDeleteL'article 12 du manifeste des EGSAM définit le principe de laïcité économique. La laïcité économique, c'est la séparation de la sphère publique et de la sphère privée hospitalières, par exemple :
- la suppression des consultations de secteur privé et des lits de secteur privé dans l'hôpital public
- la suppression radicale de toute sélection par le risque (sélection par l'âge, par le dossier médical, etc.), ce qui entraînera l'éviction des multinationales des assurances privées.
- la suppression du financement socialisé aux établissements privés lucratifs.
Selon Lucette, non seulement les valeurs de solidarité sont sérieusement attaquées, mais en plus, certains organismes privés en profitent pour s'enrichir.
De plus, la Commission européenne tente aujourd'hui de réintroduire la libéralisation des services de santé par le biais des SSIG ( Services sociaux d'intérêt général). Cette catégorie n'existait pas auparavant. Elle vise à soumettre les services publics à la concurrence et les soustraire au contrôle citoyen.
Démocratie sanitaire
Lucette défend la notion de démocratie sanitaire proposé par les EGSAM. Le principe est simple : ce sont les citoyens et en particulier des représentants des patients qui dirigent le système de santé.
Les Etats Généraux pour la Santé et l'Assurance Maladie : la dynamique est enclenchée !
De nombreuses conférences publiques partout en France, des centaines de citoyens, syndicalistes, proffesionnels de santé, la dynamique des EGSAM est là, la démarche est originale :
- faire de la protection sociale le coeur d'un projet de société,
- répondre aux besoins des gens (et non du marché),
- construire les solutions avec les citoyens au cours de débats démocratiques et non pas confier ce rôle à des experts non élus, sous influence d'intérêts privés.
Voilà donc une démarche innovante au sein du mouvement altermondialiste qui nous est proposée par Lucette et l'Union des Familles Laïques !
En savoir plus ...
Site de l'UFAL
Lier le combat laïque et le combat social
Blog Santé de l'UFAL
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Formation des laïcs
Institut Jean Cardinal Margéot (ICJM)
Groupe 40 Jeunes
—–
L’Institut Cardinal Jean Margéot
Fondé en 2009, après le décès du cardinal Jean Margéot,l’Institut Cardinal Jean Margéot est responsable de la coordination et de l’harmonisation de toutes les instances diocésaines de formation.
Maison de Carné
1, rue Célicourt Antelme, Rose-Hill
Tel : 464-4109 ; Fax: 465-4006
Email: administration@icjm-mu.com
Site internet : http://icjm-mu.com
Directeur Abbé Jean-Claude Véder
Email : jeanclaudeveder@icjm-mu.com
Les formations proposées sont regroupées dans les départements suivants :
Département de théologie et de pastorale
Responsable Danielle Palmyre
Email : daniellepalmyre@icjm-mu.com
Département des sciences humaines et de psycho-sociologie
Responsable Émilie Duval
Email : counselling@icjm-mu.com
Département de pédagogie appliquée
Responsable Jimmy Harmon
Email : jimmyharmon@icjm-mu.com
Département d’études sociales
Responsable Jonathan Ravat
Email : jonathanravat@icjm-mu.com
Département de la famille et des jeunes
Responsable Abbé Gérard Sullivan
Email : gerardsullivan@icjm-mu.com
Département des relations interculturelles et du dialogue interreligieux
Ces différents départements assurent :
la formation des éducateurs du primaire et du secondaire en counselling, en educational leadership, en psychologie et en pédagogie
la formation doctrinale, pédagogique et spirituelle des catéchètes
la formation des futurs travailleurs sociaux et des agents et coopérateurs pastoraux
L’Institut offre aussi un parcours d’initiation à la vie spirituelle et à l’accompagnement des malades.
Consulter le calendrier 2012 des cours de l’ICJM
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Groupe 40 Jeunes
Le Groupe 40 offre un parcours de formation de deux ans aux jeunes adultes de 18-30 ans pour une meilleure connaissance de soi, un approfondissement de leur foi en Jésus Christ et de leur vie en Église tout comme dans la société.
Responsable Père Steves Babooram s.j.
Pastorale des jeunes
Rue Saint-Ignace, Rose-Hill
Tel ; Fax : 454-4699
Email : secretariat@pastoralzenn.org
Site internet : www.pastoralzenn.org
Les rendez-vous
Week-end de lancement: au Centre Tabga, St Julien de 18h00 le 3 février à 15h00 le 5 février
Journée récréative: dimanche 10 juin de 9h00 à 16h00
Journée « espace témoins » pour les participants de la 2ème étape: dimanche 7 octobre
Journée diocésaine des groupes 40: dimanche 2 décembre de 09h00 à 16h00
Visite des différents groupes 40: pendant les mois de juin à septembre
I recently heard an utter nonsense coming from the Black Creole Catholic Church of Mauritius: that Jesus Christ preached the SEPARATION OF CHURCH AND STATE!
ReplyDeleteOnly the SYNAGOGUE OF SATAN can teach such monstrous lies! At the time of Jesus, there was not a single CHURCH, and after he had departed, his followers established ECCLESIA (congregations, Jama'a) and NOT CHURCHES!
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administration@icjm-mu.com
jeanclaudeveder@icjm-mu.com
daniellepalmyre@icjm-mu.com
counselling@icjm-mu.com
jimmyharmon@icjm-mu.com
jonathanravat@icjm-mu.com
gerardsullivan@icjm-mu.com
secretariat@pastoralzenn.org
BAFS
WHO THE BLOODY HELL IS THIS "MAHOMET"?
ReplyDeleteI know of a MUHAMMAD or of a BAPHOMET THE DEVIL!
http://muhammad-ali-ben-marcus.blogspot.co.uk/2012/08/croisade-raciste-et-violente-de-la.html
Ghyslaine ROC