Wednesday 6 May 2015

PROJET DE LOI ANTISORALISTE ET ANTIDIEUDONNISTE - PLUS INIQUE QUE LA LOI DU JUIF FABIUS ET DU COMMUNISTE GAYSSOT.

Loi crifiste, juifiste et israéliste sur le renseignement contre Soral et Dieudonné
 12 - Quenel+ - Je me sens Laurent Alègre (English Subtitles)
Dieudonné Officiel
Manuel Valls à l’Assemblée : « La surveillance sera ciblée strictement sur les comportements menaçants. Les données tierces ne seront pas accessibles ou exploitables par les services. »

Mardi 5 mai 2015, l’Assemblée vote le projet de loi sur le renseignement, officiellement pour mieux lutter contre le terrorisme, dont les décrets seront applicables cet été. Le terrorisme, vous l’aurez compris, n’est qu’un prétexte : cette loi sur le renseignement intérieur qui vise la contestation sur Internet, dont Soral et Dieudonné sont les fers de lance, était en préparation bien avant les étranges attentats de janvier 2015. Seulement, nos gouvernants auraient eu un peu de mal à la faire passer dans un climat anti-NSA et pro-Snowden. Désormais, c’est du tout cuit, pour Manuel Valls, le nouvel homme fort du pays, et ses employeurs, qui cherchent de la sorte à éliminer toute opposition politique. Vous avez dit pouvoir totalitaire ?

Pourquoi cette loi, ici et maintenant ?



« Dans un monde globalisé, incertain, complexe et traversé par des crises de toute nature, la France doit faire face à la menace terroriste. Pour assurer la sécurité des Français, le Gouvernement a complété l’arsenal juridique avec la loi du 13 novembre 2014 relative à la lutte contre le terrorisme. Par ailleurs, le projet de loi sur le renseignement a été présenté, le 19 mars, en Conseil des ministres. Fruit d’une réflexion approfondie, ce texte permet de renforcer les moyens d’action des services de renseignement tout en protégeant les Français dans le respect des libertés. »
Intitulé « La lutte contre le terrorisme », ce petit paragraphe estampillé Cazeneuve, le ministre de l’Intérieur, est destiné à rassurer les Français, historiquement épris de liberté(s), et quelque peu inquiets de la tournure des évènements : l’État français copie en effet le modèle américain, qui a vu en 45 jours seulement le Congrès et le Sénat voter un Patriot Act de 300 pages après les évènements du 11 Septembre, afin de renforcer le renseignement et l’arsenal répressif. Cinq ans plus tard, la loi était renouvelée, qui avait pourtant permis enlèvements et torture, sans même parler du contrôle quasi-total de la population. La déclaration du président Obama ne rassura pas les citoyens américains très attachés au premier amendement, sur la liberté d’expression :
« Je donnerai les moyens nécessaires à nos agences de sécurité et de renseignement pour traquer et neutraliser les terroristes dans le respect de notre Constitution et de nos libertés. »
Chez nous, la loi dite « sécurité et liberté » de Giscard, avait déjà déclenché la polémique en février 1981 : où placer le curseur entre liberté absolue et sécurité absolue ? Ce qui est peut-être un faux débat, et une fausse question, nous le verrons par la suite. Aujourd’hui, les socialistes donnent des gages de « respect des libertés » à tout bout de champ, et notre président François Hollande donne l’exemple, sur le plateau de Maïtena Biraben le 19 avril 2015 :

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« Qu’est-ce que nous voulons ? On ne veut pas que nos conversations soient enregistrées... Personne ne pourra écouter votre conversation, aucun service, sans demander une autorisation. Une autorisation à qui ? Une autorisation pour qu’une commission donne un avis : dans cette commission y aura des parlementaires, des magistrats, cour des euh, cour de Cassation, Conseil d’État, et un spécialiste des technologies… La dernière loi sur le renseignement elle date de 1991. Y avait pas de portable, y avait pas d’Internet. »

Ce qu’il faut comprendre ? La société a changé, le terrorisme a changé, il a frappé, le renseignement n’était plus adapté, nous ne faisons que moderniser l’outil. Après New York en 2001, Bali en 2002, Madrid en 2004, Londres en 2005, Marrakech en 2011 (une enclave occidentale), Toulouse en 2012, Bruxelles en 2014, Paris, Copenhague et Tunis en 2015, les islamistes frappent avec une étonnante régularité. La France, qui semblait en retard du point de vue de la surveillance des ennemis de la nation, se hisse enfin au niveau des grands surveillants de la planète, que sont les Américains avec la NSA et ses grandes oreilles, le réseau Echelon qui permet de capter tout message à caractère menaçant sur tous les supports : téléphone, Internet (Google et Facebook sont tracés). Au-delà du danger terroriste, la NSA sert surtout à espionner les gouvernements dits amis et les sociétés concurrentes des entreprises américaines ! La France est ainsi écoutée par les Américains depuis l’Angleterre, où la NSA possède deux centres d’écoutes tournés vers le continent européen, concurrent commercial numéro un des États-Unis.

L’argument de modernisation de l’outil de renseignement français ne tient pas : les services français ont toujours été très efficaces, quand ils le voulaient, et nous soulignons cette phrase, et n’ont jamais ignoré les menaces réelles qui pesaient sur notre pays, même quand des attentats ont eu lieu sur notre sol. À ce niveau de surveillance, il n’y a jamais de surprise. En revanche, il peut y avoir des calculs politiques ou des deals (incluant des risques) passés avec d’autres services de renseignement, qui agissent sur notre sol. Avec plus ou moins de liberté. Nous pensons à la CIA, et au Mossad, qui a longtemps été persona grata en France, par exemple dans les années 60, malgré le général de Gaulle.
Mais avant d’en discuter la portée politique, entrons dans la réalité de cette loi, qui ne vise pas uniquement le terrorisme, qui ne représente qu’un point sur sept. Les autres étant les « intérêts majeurs de la politique étrangère », « la prévention des atteintes à la forme républicaine des institutions », et aussi « la criminalité et la délinquance organisées ». La prévention des atteintes… une définition volontairement nébuleuse, qui servira de fourre-tout en matière d’accusations. Reconsidérer le suffrage universel, rendu bidon par la propagande médiatique massive et le choix unique UMPS ? Une atteinte aux institutions de la République.

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Thierry Lorho ex-agent de la DGSE
de 1990 à 2000 :
« On ne peut pas faire de renseignement sans faire d’actions qui sont borderline, et c’est toute la difficulté. »
(Le Grand Journal du 13 avril 2015)

Pour ce qui concerne le terrorisme, la nouvelle loi légalise tout simplement des pratiques traditionnelles à la limite de la légalité. Il y a donc moins d’hypocrisie : des agents de la DGSI (direction générale de la surveillance intérieure, ex-DST, rattachée au ministère Intérieur, par rapport à la DGSE, rattachée aux ministère de la Défense), pourront placer une balise sous votre voiture, un mouchard dans votre appartement, et vous pourrez être tracé dans la rue par un IMSI-catcher, un appareil qui permet de siphonner à (proche) distance toutes les données d’un téléphone portable. Des notions qui sortent du flou artistique précédent, et qui sont, on le sait, utilisées par la police criminelle contre les réseaux de truands organisés, mais aussi contre l’opposition politique intérieure. Les dissidents réels sachant ce qu’il en coûte d’échanger des informations par téléphone, mail, ou même Skype, qui est officiellement écoutable par « nos » services depuis peu. Pour exemple, Jean-Marie Le Pen sait qu’il est sur écoute depuis des décennies.



La nouveauté, ce sont les « boîtes noires ». Une machine qui permet de détecter une activité « anormale » sur le Net, installée chez les FAI (fournisseurs d’accès). Un principe vendu par la société Amesys à des pays qui voulaient filtrer leurs communications intérieures, afin d’isoler les réseaux de résistance. Ce fut le cas de la Libye, avec la bénédiction des autorités françaises. Nos gouvernants promettent que l’anonymat de ce système de « pêche au chalut », ces filets géants qui ratissent tout, pour faire le tri ensuite, sera garanti. Par ailleurs, la surveillance électronique sera élargie à tous les cercles de la famille et des proches des terroristes en puissance ou sous surveillance. Connaissant les degrés de liberté entre les individus (il suffit en moyenne d’une chaîne de trois individus pour relier deux individus qui ne se connaissent pas sur terre), cela permettra une surveillance extrêmement large. Avec toutes ces métadonnées, un superfichier, le FIJAIT (fichier judiciaire national automatisé des auteurs d’infractions terroristes) sera créé. On a vu ce que la multiplication des fichiers a donné en matière de recherche des tueurs en série pour les enquêteurs de la police et de la gendarmerie… Données conservées pendant 20 ans et sans droit réel de regard de la population. Même la CNIL, pourtant pas bien méchante, n’y aura pas accès.
Il n’y a donc pas le moindre espace de liberté dans tout ce dispositif, et la loi entérine cet état de choses. Sauf que tout le monde n’use pas de la liberté d’expression : le grand public n’est pas concerné, cela ne touche que les opposants, les dissidents, et autres lanceurs d’alerte. Tout ce qui ne marche pas droit. Confirmation par Natacha Polony dans Le Grand Journal du 13 avril 2015 :
« Il y a eu un sondage pour le site Atlantico qui nous dit que 63 % des Français seraient favorables à une limitation des libertés individuelles sur Internet, ce qui signifie qu’en fait ils préfèrent leur sécurité à une hypothétique diminution de leurs libertés. »
Dont acte : le grand public regarde ailleurs, et l’attelage Hollande/Valls compte opportunément sur cette passivité. D’ailleurs, la société civile n’a pas véritablement bondi. Seuls les méchants de service, désignés par le pouvoir, risquent de pâtir de cette « modernisation ». Aucune résistance de masse ne s’est organisée : on a bien entendu des représentants de la Quadrature du Net hurler au loup, mais quand on sait qu’ils sont financés, entre autres, par Soros, on se pose des questions. Dans la même veine, le New York Times a sorti un article très critique sur cette loi française. Une forme de mea culpa quant à son implication dans toutes les guerres de Bush depuis 1991 ? Jérémie Zimmermann, cofondateur de la Quadrature du Net, apparaît sur nos écrans pour fustiger une loi liberticide :

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« Avec ce projet de loi, il sera possible pour le gouvernement, pour les services du Premier ministre de regarder vos textos, vos sextos, vos messages Facebook, vos chats, vos mails, et aucune forme de contrôle ne permettra de les en empêcher ! »

Tiens, aucune trace de la dissidence politique, première visée derrière cet écran de fumée. Au risque d’en vexer beaucoup, la vie privée des Français utilisateurs de réseaux sociaux n’intéresse pas vraiment le renseignement intérieur. En revanche, la loi permettra, en élargissant le filet, de ratisser plus large et d’associer les sites de réinformation, pas forcément bien traités par la « démocratie » en place, à une certaine apologie du terrorisme. Et là, on comprend que le piège est parfait, l’organe de contrôle sur lequel s’adossent les autorités pour justifier d’un respect des libertés publiques, étant lui-même sans pouvoir, et sous surveillance.

La CNCIS, commission nationale de contrôle des interceptions de sécurité, devenue celle des techniques de renseignement (CNCTR), organe bêtement consultatif, n’est qu’une émanation des services de l’État et de ses obligés, comme l’explique le président de la République. Trois magistrats, un président (nommé par Hollande), le vice-président du Conseil d’État, institution rendue ridiculement célèbre en janvier 2014 lors de l’affaire Dieudonné, et du premier président de la cour de Cassation. De grands défenseurs de la liberté d’expression ! La presse souligne sans ironie que cet organisme est « indépendant ». Alors que toutes les informations qui passent entre ses mains seront classifiées secret défense ! Impossible pour un citoyen, à moins d’une démarche ubuesque financée par de généreux mécènes, d’arriver à obtenir une information sur une écoute… légale.

Que cherche le pouvoir ?


Pour comprendre les intentions cachées du pouvoir, il suffit de se référer à l’autorité qui a été choisie pour surveiller le blocage des sites Internet : Alexandre Linden. Né à Rabat au Maroc en 1945, cet apparatchik de la démocratie a été tour à tour conseiller honoraire à la cour de Cassation, président de la cour d’Appel de Paris de 1998 à 2005, président de la commission supérieure de la carte d’identité des journalistes professionnels depuis 2013, et donc finalement choisi par la CNIL en tant que juge de paix de la censure en ligne.

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Bernard Cazeneuve à l’Assemblée nationale :
« Il est hors de question, absolument hors de question, d’organiser en France je ne sais quel système de surveillance de masse ou de surveillance généralisée. »

Le président François Hollande évoque la plateforme de cryptage PNCD :
« Tout ce qui est fait à l’intérieur est contrôlé… Personne ne vous écoutera sauf si il y a eu un certain nombre de suspicions sur vos activités terroristes ou sur vos liens avec des personnes terroristes parce qu’il peut arriver ça. […] Et même un recours devant le Conseil d’État s’il devait y avoir quelque doute pasque vous pourriez vous posez la question, est-ce que je suis pas écouté ? Donc vous pouvez saisir la commission, qui elle-même pourra voir sa décision si elle n’est pas satisfaite, remise en cause par le Conseil d’État… Mais cessons de croire qu’il y a un système général d’écoute ! Pourquoi voudriez-vous que l’État, que même les services, euh, entreprennent de savoir ce que nous faisons, y compris dans notre vie privée ? Ce n’est pas de ça dont il s’agit. Ce dont il s’agit c’est uniquement, uniquement, de la lutte contre le terrorisme ou de nos intérêts. Car il y a aussi des personnes qui viennent nous espionner pour savoir comment nos entreprises travaillent, comment l’État, ça ne vous a pas échappé, qu’il y avait même eu des chefs d’État qui avaient été écoutés… » (Le Supplément, Canal+, le 19 avril 2015)
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Une loi mûrie après les évènements...
de janvier 2014 ?

En réalité, au-delà de tous ces machins dont la démocratie a besoin pour apaiser les consciences – et celle du pouvoir en premier lieu –, le Premier ministre concentre tous les pouvoirs de décision. C’est Jean-Jacques Urvoas, petit député socialiste, initiateur de la loi sur le renseignement, qui a servi d’allumeur de mèche. Pour lui, les États-Unis sont « un exemple en matière de surveillance ». Cazeneuve, le ministre de l’Intérieur, obéit le doigt sur la couture aux instances supérieures. Le contrôle général est assuré par Valls, dont les objectifs collent absolument avec ceux du CRIF. Lors de sa Conversation secrète avec Michel Denisot, diffusée sur Canal+ le 15 avril 2015, il exprimait sa priorité profonde.
Michel Denisot, en balade dans Paris :
« Là on passe à côté du Mémorial des martyrs de la déportation, je vais vous citer, vous avez dit l’antisémitisme, le racisme, les actes antichrétiens sont des délits, il y a un an face à Dieudonné, je me suis senti un peu seul. »
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Maternelle de Manuel Valls dans le Marais (authentique)

Manuel Valls :
« Oui parce que quand je menais ce combat contre ce personnage, qui ne pratiquait pas de l’humour mais des délits permanents, j’ai trouvé que y compris dans la presse, comme si au nom de la liberté d’opinion on pouvait dire n’importe quoi, je me suis senti parfois un peu seul ; heureusement il y a des gens qui m’ont soutenu, mais le combat a été dur, rude, et jusqu’à ce que je réussisse à faire condamner le, Dieudonné M’Bala M’Bala parce que c’est un délit, je sentais bien qu’il y avait une hésitation que je peux comprendre ! Hum, parce que bon, nous sommes dans un pays de démocratie, les mots peuvent tuer. Faut jamais l’oublier.
– Roland Dumas il sous-entendait que vous étiez sous l’influence juive de votre épouse.
– Le même jour, la revue Inspire, la revue de Daech, sortait ma photo avec une kippa et disait que j’étais enjuivé par ma femme. Et le même jour Roland Dumas tenait ses propos euh, euh, infâmes. Ça veut bien dire que l’antisémitisme est quelque chose de profondément ancré chez une partie de la société et chez certains.
– Votre femme Anne Gravoin a été atteinte par ces propos ?
– Non, elle a bien senti que c’était moi qui étais atteint, et en plus elle ne revendique jamais sa judaïté, elle est encore moins pratiquante, c’est donc une fête, elle est profondément laïque, athée, mais qu’on vous renvoie à votre origine c’est ce qu’il y a de pire pour ces, pour ces, pour ces raisons. »
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La République est en de bonnes mains !

Manuel Valls a pris objectivement le pouvoir en trois actes : nomination à l’Intérieur en contrepartie de ses 10 % des voix pour Hollande au second tour des primaires du PS en octobre 2011, prise du pouvoir exécutif lors de l’affaire Dieudonné le 9 janvier 2014, avec l’appui des autorités médiatico-juridiques, et prise du pouvoir total en mai 2015 grâce à ce Patriot Act à la française, soit un soft coup d’État étalé sur quatre ans. Toute la question est de savoir pour qui travaille Manuel Valls. Pour la République ? Oui, mais la République selon le CRIF. Le Conseil nous donne toujours l’exemple en matière de lutte contre le terrorisme et contre l’antisionisme, ce qui n’est en toute objectivité pas exactement pareil, mais qui fusionne dans l’esprit de cette association. Le 5 février 2015 tombe le fameux décret (toujours plus important qu’une loi) relatif au blocage des sites faisant l’apologie du terrorisme. Le CRIF a jubilé, en rappelant ceci :
« Si l’éditeur et l’hébergeur d’un site ne répondent pas aux demandes de retrait de l’Office central de lutte contre la criminalité liée aux technologies de l’information et de la communication, les fournisseurs d’accès à internet sont alors notifiés pour bloquer l’accès. Il s’agit d’un blocage administratif, sans l’intervention d’un juge, ce qui laisse le ministère de l’Intérieur seul juge des critères justifiant une telle mesure. »

Soral et Dieudonné en première ligne… de mire


Un pouvoir discrétionnaire et absolu de plus pour le Premier ministre, qui ne s’en est pas privé, vu qu’il n’a pas à motiver ses choix. Concrètement, un imam comme Imran Hosein pourra être, dans le cadre de ce principe de précaution élargi, considéré comme proche des islamistes, eux-mêmes étant proches des islamistes radicaux, et donc des terroristes, dont la définition s’allonge ces derniers temps. Alors que ce sont ses prises de position politiques qui heurtent le pouvoir prosioniste. Ainsi, par une série d’amalgames artificiellement créés, des sites d’information non-alignés comme Égalité & Réconciliation ou Quenel+ pourront, même de loin, être assimilés à des formes bâtardes mais quasi officielles d’apologie du terrorisme. Sans avoir jamais appelé à la moindre violence. Et cela suffira pour le bloquer.

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Définition du terroriste : celui qui ne s’aligne pas sur les versions officielles ?

On comprend donc que derrière tout ce mauvais maquillage démocratique, il s’agit avant tout de la mise en place d’un arsenal intérieur, ou plutôt Intérieur, qui donne les pleins pouvoirs à Manuel Valls, ce représentant numéro un du pouvoir réel, qui influence la politique française, intérieure et extérieure. Avec la passivité du président de la République, qui ne pense qu’à rester en poste, quelles que soient les humiliations infligées par son secondant, qui gouverne le pays à sa place. Le choix des Français a été bafoué, puisque Manuel Valls, qui n’a été choisi que par 10 % des socialistes lors des primaires du PS, ne pèse théoriquement pas 1 % dans l’électorat. Cependant, les sondages d’opinion le donnent en permanence devant le Président, c’est donc le chouchou des médias, toujours coupés du peuple, comme l’était Nicolas Sarkozy en 2004-2007. Avant de s’effondrer dans les sondages, et dans la tête des Français, une fois en poste, au vu de sa politique antifrançaise.
À ceci près que Sarkozy était président de la République, et qu’il n’était donc pas question de le « doubler » par un Premier ministre soumis à un puissant lobby. C’est la difficulté qu’a tournée le pouvoir réel dans le cas de l’attelage Hollande/Valls : ou comment inverser le vote des Français, qui voulaient un socialisme social, pas un libéralisme répressif, comme c’était le cas sous Sarkozy. Où l’on comprend que quel que soit le résultat des élections, le même pouvoir finit toujours par traverser la fine couche de démocratie, et s’asseoir à la table des décisions.
Pour ce qui concerne l’opposition au pouvoir réel, sur Internet, le simple fait de ne pas être sioniste pourrait bientôt suffire à être accroché à la locomotive du terrorisme, cette grande invention de nos gouvernants, pour justifier des décisions extraordinaires : c’est ainsi que les Américains ont déclaré leurs guerres en Asie depuis 2001, que les Français ont déclaré leurs guerres en Afrique depuis 2013 (Mali, Centrafrique), protégeant nos ressortissants mais aussi « nos » intérêts à coups de bombardements, autrement plus meurtriers que les attentats sur notre sol.

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Rafale bourré de missiles non piloté par les frères Kouachi

Avec cette loi, le noyau du pouvoir réel s’assure un contrôle total sur son opposition réelle, les oppositions successives PS/UMP étant factices, simples leurres pour les croyants du dieu Démocratie. Ce pouvoir totalitaire, qui émane d’un réseau d’influence et de décision tenant le Premier ministre, est désormais intouchable, puisque tout contre-pouvoir peut être assimilé à une apologie du terrorisme, par lequel il faut sous-entendre antisionisme et antisémitisme. La liberté d’expression ne dit pas merci à Coulibaly, aux frères Kouachi et à ceux qui les ont laissés tuer des innocents. Aujourd’hui, dans la deuxième phase de l’Opération, même si ça peut paraître pompeux, c’est la liberté politique qu’on assassine.

Carlos glisse une quenelle depuis la centrale de Poissy
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Sur ordre du député UDI Meyer Habib, le président de l’Assemblée nationale Claude Bartolone a annoncé le 4 mai dernier qu’il déposerait plainte suite à la diffusion sur Internet d’une photo de deux (...)
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Dictature judéo-sioniste
Quenelle au Mémorial de la Shoah à Berlin : Alain Soral condamné à payer 30 000 euros

L'essayiste d'extrême droite Alain Soral a été condamné mardi par le tribunal correctionnel de Paris à 100 jours amende d'un montant unitaire de 100
egaliteetreconciliation.fr
La ‪#‎chute‬ du Che François ‪#‎Hollande‬, lors de sa visite en ‪#‎Haiti‬ .
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https://www.youtube.com/watch?v=1Cgk3hAJNKA
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ISRAEL, ZIONISTS AND JEWS BEHIND FEMINISM AND FEMENISM! 

Veterans Today









Zionist Whore Pamela Geller? Oh, Boy!

Jeffrey Goldberg: Pamela Geller is "clinical paranoid."

pamelagellerswimsuit
“I gotta be me.”

…by Jonas E. Alexis


If you do not think that Pamela Geller is not “the queen of hate,” as Jim W. Dean and Ted Pike argued in 2013, or does not work “for the corrupt criminal wing of the intelligence services,” as Kevin Barrett has recently put it,  then think again. Even the Southern Poverty Law Center—of all places—seems to have put a price on her head by saying that Geller is too wild.
According to the same Jewish organization, Geller, who co-founded the Freedom Defense Initiative with Robert Spencer, is in the “extremist files” because she is a “flamboyant figurehead.”
In a similar vein, Charles Johnson, a former colleague of Geller who is part of the “anti-jihad movement,” laments that Geller “makes everyone [on Johnson’s side] look crazy.”[1] The Jewish Week did not help Geller’s cause by arguing that she was making her own perilous bed.[2] Jeffrey Goldberg—yes, Goldberg!—declared that Geller is “clinical paranoid,” and she “makes me resent the Internet.”[3]
Pike made the point that Geller “is a very active front lady, with her hair, prominently displayed breasts and plastic surgery, for the Israeli Lobby.” In layman’s term, she is a Zionist whore. As we shall see in a moment, these accusations are not without evidence.
But let us see what Geller has produced over the years first. She put out an ad in 2012 which read: “In any war between the civilized man and the savage [Muslims], support the civilized man. Support Israel. Defeat Jihad.” She paid for similar “ads in San Francisco, Detroit and Washington.” Geller has never missed her opportunity to present herself as a flaming zionist. In 2008, she wrote unambiguously:
“So I say to Israel, stand loud and proud. Give up nothing. Turn over not a pebble. For every rocket fired, drop a MOAB. Take back Gaza. Secure Judea and Samaria. Stop buying Haaretz. Throw leftists bums out. Stand straight and walk on. Be worthy of your ancestors…
“So I say to our enemies, we shall be proudly standing long after you have disappeared, footnotes of history.”[4]
Geller is not just a “flamboyant figurehead.” She thinks that she is a superstar and deserves to be recognized. As the Jewish Week put it a few years ago, you can usually see Geller “on the Internet frolicking in a bikini and posing in a skin-tight Superwoman outfit.”[5]
But we all know that being a superstar is not really synonymous with following logic and rational arguments. You can actually detect this in Geller’s own writing, and it shouldn’t take a serious person two minutes to realize this woman is out of touch with reality. In 2010, she perhaps didn’t realize that the Zionist gun was loaded when she put the barrel in her mouth and pulled the trigger. Here is the bullet that politically killed her:

I don’t think that many Westernized Muslims know when they pray five times a day that they’re cursing Christians and Jews five times a day.”[6]

Muslim intellectuals should ask the superstar to have coffee with them and accept her challenge. They should walk on Geller’s own turf and use her own principles to disarm her. They should take Geller to a college library and pick up copies of scholarly studies such as Israel Jacob Yuval’s Two Nations in Your Womb: Perceptions of Jews and Christians in Late Antiquity and the Middle Ages, Ruth Langer’s Cursing the Christians?: A History of the Birkat HaMinim, and Elliott Horowitz’s Reckless Rites: Purim and the Legacy of Jewish Violence—published by the University of California, Oxford University, and Princeton University, respectively.
These books would almost certainly blow her head off. The Jewish tendency to curse Christians and other perceived enemies of the Jews is found in a prayer (the Kaddish prayer) that was usually recited in the synagogue, which reads,
“And thus we pray yitgadal ve-yitkadash, meaning: Let it be the will of He through whose word the world was created that He redeem us from among the nations and destroy the memory of Amalek and His name will be hallowed to be complete.”[7]
The noted rabbi Rashi was very aware of this. His students picked up where he left off and announced that God “swore by His right hand and by His throne that His name would not be complete…until He avenged Himself against Amalek.”[8]  Amalek, of course, are Christians and other perceived enemies of the Jewish people.
Noted Jewish scholar Elliott Horowitz of Bar-Illan University made the case that this teaching “made its way southwest to the Jewish communities of Provence and Christian Spain, who also saw themselves living among the descendants of Esau.”[9]

Horowitz continues,
“In the fourteenth century two influential Spanish authors, R. David Abudarham and R. Jacob b. Asher, included similar interpretations of the Kaddish in their works…
“By stressing Amalek’s ancestry, Abudarham, like R. Abraham ha-Yarhi before him, evidently sought to signal to his co-religionists that the Kaddish should be seen (and experienced) as part of the cosmic struggle between their God and the evil empire of Esau/Edom.
“After the ‘Amalek-oriented’ interpretation of the Kaddish spread from Franco-Germany to the Hispano-Provencal world, there were thousands of Jews across late medieval Europe who prayed several times daily for God to avenge Himself against the archenemy whose continued existence kept His name sundered—and thus painfully postponed their own redemption.”[10]
Israel Jacob Yuval, another Jewish scholar, provides similar historical accounts for the heated tensions between Christianity and the implications of Rabbinic literature in the Middle Ages. After sifting through many historical and Rabbinic accounts, Yuval finds that
“The desire for vengeance may also be found in Eleazar Ha-Kallir’s lamentations for Tish b’Av. He asks that the evil of the Gentiles be revealed, so that God may take vengeance on Edom. In a recently published siluq for Tisha b’Av by Ha-Kallir, the editor noted ‘a veritable outburst of curse and hatred’ against the Christians.”[11]
As a supplement to this vengeance, a unique ritual of cursing non-Jews was quite “widespread in Ashkenaz during the Middle Ages,” most specifically against Christians.[12] As Yuval writes,
“Birkat ha-Minim (Malediction Against the Heretics) was well-known, and its origin may perhaps be traced back to the curses of the Judaean Sect against those who did not abide by the laws of the sect.”[13]
The prayer says in part that “the community will gather and curse all those ‘who veer right or left from the Torah.’”[14]
Jewish historian Ruth Langer declares the same thing in her recent work Cursing the Christians?: A History of the Birkat HaMinim. She went so far as to say that “every single European Jewish community” in the Middle Ages “adopts the basic form” of the “birkat haminim,” which is “fully a curse of Christians.”[15] In many countries this was done explicitly, where in many cases it became a cultural phenomenon among the Jews.[16] Other curses
“are attributed to Rabbi Kalonymus the Elder and include sharp condemnations of and curses against the Gentiles and a plea to God to bring destruction upon them. Surprisingly, historical scholarship, which openly discusses all aspects of anti-Jewish hatred, has passed over these poems [which specifically discuss the curses against Christians and Gentiles] in almost total silence.
“These are texts that demonstrate the abyss of hostility and hatred felt by medieval Jews toward Christians. And we have here not only hatred, but an appeal to God to kill indiscriminately and ruthlessly, alongside a vivid description of the anticipated horrors to be brought down upon the Gentiles.
“These pleas are formulated in a series of verbs—‘swallow them, shoot them, lop them off, make them bleed, crush them, strike them, curse them, and ban them…destroy them, kill them, smite them…abandon them, parch them.””[17]
For Daniel Goldschmidt and others, all of this is a reaction to Jewish persecution![18] Yuval, in response, argues that these curses not only predate anti-Jewish reactions, but were widespread among rabbis, going all the way back to the tenth century.[19]
Yuval concludes,
“These and similar liturgical poems were used by those who sought vengeance as having active messianic significance and should not be seen solely as a spontaneous emotional response. We are dealing here with a comprehensive religious ideology that sees vengeance as a central compo- nent in its messianic doctrine.”[20]
This hostility toward Christians and Gentiles is indeed “part of an entire messianic teaching,” spread from many rabbis in the Middle Ages.[21] This “messianic teaching” has its ideological basis in Rabbinic Judaism, which over the centuries progressively became the nuts and bolts of Jewish ideology.
Moreover, for many rabbis of the same era, “killing the Gentiles is part of the uprooting of evil in messianic time” and the Gentiles who will be saved are “those who convert to Judaism.”[22] We find this attitude in a somewhat similar fashion in 1806 France.
So, if Geller wants to be consistent, she has to tell us what those historical accounts mean. I particularly contacted her to get her reaction. I never got a reply. I personally do not blame her. As John Adams put it:
“Facts are stubborn things; and whatever may be our wishes, our inclinations, or the dictates of our passion, they cannot alter the state of facts and evidence.”[23]


Femen member at a church

Geller, as a member of the Dreadful Few, has done some work that would probably stun some of her supporters.   Geller unambiguously said of the radical feminist group Femen,
“It’s not what I would do but I loved the moxie and in-your-face action to call worldwide attention to misogyny under Muslim rule. These feminist activists held ‘International Topless Jihad Day’ in major European cities including Berlin, Kiev and Paris. They painted their bodies with slogans such as, ‘bare breasts against Islamism,’ and they protested outside of mosques in various cities.”[24]

Geller moved on to propound that

“FEMEN were not demanding Muslimahs remove their cloth coffins or head pieces.  They were trying to help the oppressed.”[25]

Right! Femen was definitely “trying to help the oppressed”! Geller has been bamboozled by the neoconservative ideology for so long that she cannot string two rational thoughts together. Just in case you don’t know much about Femen, let us delve into the story just a little.
Inna Shevchenko, the leader of the group, was asked the point-blank question in an interview with Russia Today: “Why breasts?” She responded:

“Why breasts? Why we are naked? Why are we using sexuality as our weapon? Because this society, this patriarchal system, left us with only one function: sexual function. That’s why we said our sexual is political.”[26]

Shevchenko moved on to say that millions of women are “totally controlled by family tradition and by men,” and the job of Femen is to sexually and politically liberate those people from the shackles of patriarchal society. In order to do that, members of the group have to use their boobs.
The interviewer again asked her,
“Let me go back to the question of breasts. You said that this is the best way of actually attracting attention to your cause. You tried many different tactics but nothing worked as flashing your breasts.”
Again Shevchenko put the equation in revolutionary terms:
“Definitely I cannot deny that this is something that gives us the possibility to provoke, to bring attention, to let everyone turn their heads and look at us—and listen to us after.”[27]
The interviewer moved on to ask her a very intriguing question, which again goes at the heart of sexual liberation:
“Your movement places a lot of emphasis on female beauty.  And if you claim to represent female cause, why don’t you represent it through women of all shapes, sizes, and ages because at your projects we don’t really see larger [fat], older women or women who had double mastectomy and we only see pretty young and pretty shapely bodies.”
Shevchenko’s answer was quite puzzling:

“Again this is something that the world wants to see…What we are doing right now is collecting women’s army from all over the world. We are going to move to our main goal: to destroy patriarchy. . .
“Our goal is to bring up all the shit that has created by men’s domination….Femen is political nudity, and by this understanding we are crushing all other understanding of nudity.”

Here the 24-year old Shevchenko was quickly slipping into the deep world irrationality, which sometimes promises liberty but delivers intellectual suicide and moral mumbo jumbo. If Shevchenko’s goal is to “destroy patriarchy,” how is that congruent or compatible with the “democracy” that she was desperately and hopelessly trying to propose? Didn’t the vast majority of Russians voluntarily vote for Putin?
In other words, the vast majority of Russians would like to keep this so-called “patriarchal society.” Why would she want to destroy that society when the people enjoy it? What kind of world is this young and promising radical living in?
Last year, Shevchenko declared, “As a woman, you usually have to beg to speak. We don’t beg. We force them to hear us.”[28] How is force congruent with a democratic society? Or could it be that Shevchenko is redefining democracy by defining it away?
Well, as it turns out, the problem is not “democracy” but the destruction of the moral order, which is always at the heart of feminism and the Neoconservative/Neo-Bolshevik ideology. Shevchenko, like the Pussy Riot, which got its revolutionary ideology in the spirit of Leon Trotsky, wants to destroy the sexual or moral order. In fact, Femen put out a video in which members of the group shouted, “Fuck your morals”:



 What both Femen and the Pussy Riot have common is that they are a function of Jewish movements and that they want to literally obliterate whatever they see as a threat to their weltanschauung. When asked the question “What does Pussy Riot hope to achieve?,” one of the articulate members, Nadezhda Tolokonnikova, then only twenty-three years old, responded,

A revolution in Russia…  I want to destroy the things I consider the greatest evils. And I’m doing this by putting my ideas of freedom and feminism into practice…”[29]

Now, does anyone see the connection here? Geller was actually defending a group of people who wanted to “destroy the things” that they consider “the greatest evils.” And one of those things is, well, the moral order, which they bless with slogans such as “fuck your morals.”
Which brings us to an important point in our discussion here. If you support terrorism, what are you? An angel? A saint? A philanthropist? Well, let us cite one of the legal documents of the United States:
Whoever willfully causes an act to be done which if directly performed by him or another would be an offence against the United States, is punishable as a principle.”
According to this principle, Geller is just as guilty as Femen, and this is why we have accused him of being a Zionist whore.[30] Finally, Geller’s entire Zionist project has sunk so low that Jeffrey Goldberg himself could not stand her vacuous logic:

PAMELA GELLER: …Oh, I believe in the idea of a moderate Muslim. I do not believe in the idea of a moderate Islam.
ANNE BARNARD [of the New York Times]: What would be a moderate Muslim then?
PAMELA GELLER: I think a moderate Muslim is a secular Muslim.

Goldberg himself commented:
“Geller is a stunning ignoramus. Substitute the word ‘Jew’ for Muslim and see how ridiculous her assertion sounds.”[31]
If thought police Jeffrey Goldberg can dump Geller, then Geller is making a lot of noise out there just to get attention.  This woman is so out of touch with reality that she once “suggested [that] the State Department was run by ‘Islamic supremacists’”![32]
How dumb can it get? “I gotta be me,”[33] said Geller. Well, if she wants to look like a fool, she has my blessings.

[1] Quoted in Taylor Wofford, “Who is Pamela Geller?,” Newsweek, May 4, 2015.
[2] Doug Chandler, “The Passion (and Perils) of Pamela Geller,” Jewish Week, September 1, 2009.
[3] Quoted in Jeffrey Goldberg, “Pamela Geller, Clinical Paranoid,” Atlantic, October 11, 2010.
[4] Pamela Geller, “Indomitable Israel,” Arutz Sheva, May 11, 2008.
[5] Doug Chandler, “The Passion (and Perils) of Pamela Geller,” Jewish Week, September 1, 2010.
[6] Quoted in Jeffrey Goldberg, “Pamela Geller, Clinical Paranoid,” Atlantic, October 11, 2010.
[7] Elliot Horowitz, Reckless Rites: Purim and the Legacy of Jewish Violence (Princeton: Princeton University Press, 2006), 128.
[8] Ibid.
[9] Ibid., 128-129.
[10] Ibid., 129.
[11] Jacob Israel Yuval, Two Nations in your Womb: Perceptions of Jews and Christians in Late Antiquity and the Middle Ages (Berkley and Los Angeles: University of California Press, 2006), 101.
[12] Ibid., 115.
[13] Ibid., 115-116.
[14] Ibid., 116.
[15] Langer, Cursing the Christians?: A History of the Birkat HaMinim (New York: Oxford University Press, 2012), 66.
[16] Ibid.
[17] Yuval, Two Nations in your Womb, 120.
[18] Ibid., 121.
[19] Ibid., 122-123.
[20] Ibid., 123.
[21] Ibid., 102, 103-109.
[22] Ibid., 111.
[23] Quoted in David McCullough, John Adams (New York: Touchtone, 2001), 68.
[24]  Pamela Geller, “Muslimah Misogyny: ‘Muslim Women Against Femen,’” Jewish Press, April 17, 2013.
[25] Ibid.
[26] https://www.youtube.com/watch?v=NbIzgVxPSpg.
[27] Ibid.
[28] Claire Suddath, “Inna Shevchenko’s Femen: Shock, Irritate, Frighten, Inspire,” Bloomberg, April 24, 2014.
[29] “Interview with Pussy Riot Leader: ‘I Love Russia, But I Hate Putin,’” Spiegel International, September 3, 2013.
[30] We will come back to Femen in the future.
[31] Goldberg, “Pamela Geller, Clinical Paranoid,” Atlantic, October 11, 2010.
[32] Anne Barnard and Alan Feuer, “Outrageous, and Outrageous,” NY Times, October 8, 2010.
[33] Ibid.









Jonas E. Alexis

Jonas E. Alexis studied mathematics and philosophy as an undergraduate at Palm Beach Atlantic University and has a master's degree in education from Grand Canyon University.

Some of his main interests include the history of Christianity, U.S. foreign policy, the history of the Israel/Palestine conflict, and the history of ideas. He is the author of the new book ,Christianity & Rabbinic Judaism: A History of Conflict Between Christianity and Rabbinic Judaism from the first Century to the Twenty-first Century.

He is currently teaching mathematics in South Korea. He plays soccer and basketball in his spare time. He is also a cyclist. He is currently writing a book tentatively titled Zionism and the West.

Alexis welcomes comments, letters, and queries in order to advance, explain, and expound rational and logical discussion on issues such as the Israel/Palestine conflict, the history of Christianity, and the history of ideas.

In the interest of maintaining a civil forum, Alexis asks that all queries be appropriately respectful and maintain a level of civility. As the saying goes, “iron sharpens iron,” and the best way to sharpen one’s mind is through constructive criticism, good and bad.

However, Alexis has no patience with name-calling and ad hominem attack. He has deliberately ignored many queries and irrational individuals in the past for this specific reason—and he will continue to abide by this policy.

Être Charlie ou boycotter Israël, il faut choisir

Le gouvernement canadien affirme sa « tolérance zéro » vis-à-vis du BDS

Au nom des lois antiracistes (« hate crime laws »), le gouvernement du Premier ministre conservateur canadien, Stephen Harper, a réaffirmé le 11 mai dernier sa détermination et sa « tolérance zéro » à l’encontre des associations, ONG, syndicats et églises appelant au boycott d’Israël.
Une annonce qui fait suite aux demandes récentes d’éclaircissement de CBS News au ministère de la Sécurité publique du Canada sur le traitement du Boycott, Désinvestissement et Sanctions (BDS) dans le pays. En janvier, le ministre des Affaires étrangères canadien John Baird avait effectivement promis de lutter contre le BDS, décrit comme « le nouveau visage de l’antisémitisme » en signant avec les autorités israéliennes un « mémorandum d’accord » lors d’une visite à Jérusalem.
Dans la foulée, le 22 janvier, à l’ONU, le ministre canadien de la Sécurité publique, Steven Blaney, indiquait lors d’un discours portant sur les attentats de Paris :
« Le Canada a adopté une approche de tolérance zéro à l’antisémitisme et toutes les formes de discrimination, y compris la rhétorique envers Israël, et les tentatives de délégitimer Israël comme le mouvement Boycott, Désinvestissement et Sanctions. »
La prochaine interdiction du BDS entraîne une vague d’indignation au Canada, d’autant plus que le mouvement est soutenu par un large éventail d’organisations de la société civile, allant de l’Église unie du Canada aux Quakers canadiens en passant par les syndicats estudiantins ou de travailleurs.
Le 8 janvier dernier, réagissant à l’attaque de Charlie Hebdo, Stephen Harper [à gauche sur la photo] avait pourtant rappelé les « principes démocratiques les plus chers, la liberté d’expression, la liberté de la presse […] les valeurs de liberté, d’ouverture et de tolérance ». C’est au nom de ces valeurs que les militants du BDS, qui dénoncent une colonisation illégale, seront, comme en France, désormais persécutés au Canada.


LA HONTE DU JOUR. Belgique: le spectacle de Dieudonné ce dimanche est interdit

Posted on mai 17, 2015 @ 18:27
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Dieudonné à Nantes, hier
Dieudonné (archives)
BRUXELLES, Belgique – Encore un abus de pouvoir et de faux prétextes.  Le bourgmestre de la Ville de Bruxelles Yvan Mayeur a annoncé dimanche après-midi à l’agence Belga qu’il avait pris un arrêté pour interdire le spectacle du polémiste français controversé Dieudonné, prévu à 18H00 à Tour & Taxis.
Il base, dit-il, sa décision sur l’avis de l’Organe de coordination pour l’analyse de la menace (Ocam) qui place la dangerosité d’un tel événement au niveau 3 sur une échelle de 4. Qui gère ce machin ??? Depuis quand les spectacles de l’humoriste sont dangereux ? Et puis quand il leur répondra ils vont jouer les vierges effarouchées. On nous annonce que cette décision est justifiée par les troubles qui pourraient être suscités par des membres du public ou par d’éventuels opposants à l’événement. C’est une blague ? Les membres du public ? Et puis, s’il y a des opposants, que fait la police ? On nage en plein délire !
Le bourgmestre a décidé d’interdire sur l’ensemble du territoire de la Ville de manifester de quelque manière que ce soit son soutien ou sa réprobation à l’égard du spectacle de Dieudonné. Les forces de police sont envoyées sur le site de Tour & Taxis. En plus, dit-il, Dieudonné est soupçonné d’avoir loué la salle pour un événement sportif d’une marque de vêtement inexistante du nom de « Thor ». Et alors, de qui je me mêle ? C’est à la salle de juger…Ah, cette censure injuste !
Le spectacle de Dieudonné à Bruxelles a été annoncé sur son site internet. Les personnes étaient invitées à communiquer leur adresse mail pour connaître le lieu du spectacle. Les renseignements ont été envoyés aux intéressés peu après 15H00 dimanche. Bref, ces gens traquent Dieudonné. Parce que, si ce sont uniquement ses fans qui sont conviés en secret, comment alors expliquer qu’il y ait danger ? Ces gens sont des nazis !

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  Dieudonné appelle les chrétiens perdus à se convertir à l'Islam et à lutter contre le sionisme  

  Published on 23 Feb 2014

Dans cet extrait vidéo (voir ci-dessous), Dieudonné tient un discours surréaliste au sein duquel il érige la révolution iranienne en «exemple» pour le monde, où il assure que les valeurs de l'Islam sont celles du Christ -- et que ce dernier a annoncé la venue de Mohammed -, avant d'inviter les «chrétiens perdus» à rejoindre l'Islam... 

Quant au sionisme, il le définit sous le triptyque suivant : «c'est le malin, le vice et le mensonge»

In fine, Dieudonné explique qu'il rit «pour ne pas devenir cinglé dans ce pays»... on en déduit donc qu'il ne doit pas rire suffisamment et on ne peut que l'encourager à quitter au plus vite la France avant de finir interné à vie dans un hôpital psychiatrique.  

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