Monday, 18 May 2015

JEWISH SUPREME AND UNDISPUTED RIGHT TO JOIN ISRAELI RACIST TERRORIST MASS MURDERING MERCENARY HORDES



 JEWISH SUPREME AND UNDISPUTED RIGHT TO JOIN ISRAELI RACIST AND TERRORIST MASS MURDERING MERCENARY HORDES

THE AXIS OF EVIL:USA, UK & ISRAEL

911 False Flag - American Traitors & Mossad - Where are the Oath Keepers? - Ken O'Keefe

Ken O'Keefe

Ces Français volontaires dans l’armée israélienne

Droit international et occupation

Une douzaine de pays dans le monde ouvrent les portes de leur armée aux ressortissants étrangers. Un seul le fait sur l’unique critère ethno-religieux, il s’agit d’Israël. Au-delà de la raison d’être idéologique, cela pose la question du respect du droit international par des États qui laissent leurs ressortissants rejoindre, même temporairement, une armée d’occupation.


Le Zap+ Spécial : Meyer Habib 
Published on 22 May 2015

En France, la Légion étrangère a été créée en 1831 par Louis-Philippe pour rassembler les différents corps étrangers alors présents dans l’armée française. Destinée autrefois aux conquêtes coloniales, elle est aujourd’hui un héritage de l’histoire qui ne répond plus à aucune nécessité politique ou militaire. Ouverte à tout le monde sans distinction, elle facilite l’accession à la nationalité française, mais ne la donne qu’à ceux qui ont été blessés en opération, s’ils la demandent.

Aux États-Unis, la seule condition pour rejoindre l’armée est la détention préalable de la green card, c’est-à-dire d’être résident légal permanent. Près de 30 000 étrangers portent l’uniforme militaire américain et cinq mille s’engagent chaque année. Cela leur offre l’accession beaucoup plus rapide et systématique à la citoyenneté américaine. De son côté, l’armée américaine est ravie d’enrôler des recrues qui se montrent plus disciplinées et volontaristes que les Américains d’origine, dont l’empressement pour porter l’uniforme a tendance à faiblir. Passons sur les critères post-coloniaux du Royaume-Uni, qui admet toujours des ressortissants du Commonwealth  ; de l’Espagne qui accueille ceux de ses anciennes conquêtes sud-américaines et de la Russie au profit des ressortissants russophones des anciennes républiques soviétiques.

ERTV - Jacob Cohen sur les juifs, Dieudonné et Alain Soral

Published on 24 Jan 2014
Jacob Cohen est l'auteur du roman "Le Printemps des sayanim".
Pour ERTV, il revient sur les juifs du quotidien en France, sur l'affaire Dieudonné, et sur Alain Soral.

Source : http://www.dailymotion.com/ERTV
sharp7272 (chaîne de secours) : http://www.youtube.com/channel/UCIa4N...
Cas unique, Israël offre à tout non Israélien la possibilité de servir dans ses unités combattantes dès lors qu’il est juif, ou que l’un de ses parents ou grands-parents est juif.

«  Des jeunes leaders pour les communautés juives  »

En Israël, différents programmes permettent à tout juif non israélien de porter l’uniforme de l’armée sans pour autant en faire des citoyens israéliens. L’origine remonte à la fin de la Seconde guerre mondiale, quand quelques milliers de volontaires, appelés les mahalniks, issus de dizaines de pays et partisans de la cause sioniste vinrent soutenir par les armes la création de l’État d’Israël et, dès l’indépendance de 1948, aider la jeune armée israélienne en butte aux pays arabes voisins. Le principe est resté le même aujourd’hui. Le programme d’accueil des juifs étrangers dans les unités combattantes a gardé le nom de Mahal. Il incorpore les volontaires pour dix-huit mois, y compris pour des missions dans les territoires occupés palestiniens. À l’issue de cette période, ceux qui demandent la citoyenneté israélienne doivent prolonger leur séjour dans l’armée pour encore dix-huit mois pour les hommes et six mois pour les femmes célibataires, afin de se plier à la durée légale de service militaire obligatoire de tout Israélien. D’autres possibilités de séjour dans l’armée existent pour les juifs non israéliens : ils vont de trois semaines maximum (programme Sar-El, réalisable dès l’âge de 16 ans) à deux mois (programme Marva, seul à être facturé, à hauteur de 1500 dollars). Dans ces deux derniers cas, les volontaires gardent un statut civil même s’ils portent l’uniforme et vivent dans des casernements de l’armée régulière, cantonnés à des tâches de servitude dans des bases militaires logistiques pour Sar-El mais recevant un entraînement au combat militaire pour Marva avec, dans les deux cas des activités complémentaires «  éducatives  » sur Israël et le sionisme.
Contrairement à la plupart des autres pays, la motivation des volontaires n’est pas d’obtenir la nationalité par ce biais. La loi dite «  du Retour  » en vigueur depuis 1950 accorde en effet de droit la nationalité juive à tout juif migrant en Israël. La raison d’être de cet accueil dans l’armée est de «  permettre à de jeunes Juifs de partout dans le monde de renforcer leur relation avec Israël et avec le peuple juif en se portant volontaire pour l’armée israélienne. Les programmes des Forces de défense israéliennes visent à contribuer à la défense d’Israël, seule démocratie du Moyen-Orient, et à fournir de jeunes leaders compétents et enthousiastes aux communautés juives  »1.

Les effectifs de volontaires pour Mahal semblent cependant relativement faibles. Selon un article de 2007 du Jerusalem Post, un peu plus de mille juifs non israéliens seulement se sont portés volontaires de 1988 à 2007 pour passer dix-huit mois dans les rangs combattants de l’armée israélienne. Faute de statistiques disponibles sur Mahal, celles qui concernent Sar-El peuvent néanmoins servir de repère : sur les 4011 participants à Sar-El en 2012, les principales nationalités de très loin les plus représentées étaient les États-Unis (1221) et la France (1086), parmi une soixantaine de pays d’origine répertoriés.

La raison d’être de cet accueil au sein de l’armée israélienne est la même que pour les nombreux programmes civils offerts aux juifs non israéliens : le renforcement des réseaux de solidarité au sionisme au sein des communautés juives dans le monde et leur entretien idéologique. Cette stratégie est poursuivie depuis la création d’Israël. Nombreux en effet sont les juifs non israéliens, notamment en France, à revendiquer leur appartenance morale à Israël, comme s’il s’agissait pour eux de compenser leur non-citoyenneté de l’État d’Israël, pays en permanence «  menacé  » auquel chaque juif se doit de donner sa contribution. Ces programmes, qu’ils soient militaires ou civils, semblent atteindre leurs objectifs auprès des impétrants, qui en reviennent généralement encore plus défenseurs de la cause israélienne qu’ils ne l’étaient auparavant.

Cette situation alimente cependant un paradoxe : d’un côté un engouement pour Israël des juifs de l’extérieur, qui se manifeste entre autres en Europe par l’augmentation du flux migratoire juif et en particulier français vers Israël : 49 % de plus (de 1469 à 2185) pour les neufs premiers mois de 2013 par rapport à la même période de l’année 2012 (1907), et de l’autre la proportion croissante d’Israéliens qui quittent Israël, essentiellement vers l’Amérique du Nord et l’Europe, en quête d’une vie socioéconomique meilleure et las de l’état de guerre permanent. À tel point que l’immigration nette israélienne est en train de décliner : en 2012, les Israéliens quittant Israël étaient aussi nombreux que les nouveaux immigrants (16 000).

Le discours martelé par le premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou, qui amalgame à dessein antisionisme et antisémitisme cherche à accroître les vocations à l’Aliyah2 au sein des communautés juives dans le monde. Repris en écho par les défenseurs d’Israël à l’étranger, il fait accroître non sans succès la perception de l’antisémitisme régnant, en décalage par rapport à sa réalité concrète. Il contribue à dynamiser les gestes de solidarité que constituent en particulier le séjour des juifs non israéliens dans l’armée israélienne afin de participer, ne serait-ce qu’un temps, à la défense et la cohésion de l’ «  État juif  ». En août 2012, dans un discours de bienvenue d’un groupe d’Américains venus rejoindre l’armée israélienne, le premier ministre déclarait : «  Nous voyons aujourd’hui un nouvel antisémitisme virulent, et nous devons nous défendre nous-même contre cela. La tâche la plus importante est de défendre l’État juif. C’est ce que nous faisons, c’est ce que vous allez faire et je suis fier de vous  »3.

Un paradoxe français

Avec Israël, nous sommes donc loin du cas des autres pays. Ce que l’on pourrait, à la rigueur, qualifier de «  mercenariat  » s’agissant de la Légion en France, et aux États-Unis de ticket d’accession à la citoyenneté américaine, relève uniquement en Israël du soutien à une idéologie, le sionisme, à l’adresse unique de la communauté juive. Ce qui différencie également le Français engagé dans l’armée américaine de son compatriote volontaire pour l’armée israélienne, c’est que l’un subit, afin de vivre définitivement aux États-Unis, son éventuelle participation à des opérations militaires "hors" droit international, comme en Irak en 2003, alors que l’autre va intentionnellement participer à l’occupation de territoires, en violation du droit international. Mais cette démarche-là ne semble interroger personne, pas plus que les éventuelles implications de Français dans des violations de la charte internationale des droits de l’Homme ou du droit de la guerre. La question reste cependant posée.

La légitimité de la démarche mérite également attention. Alors qu’un Français non israélien, au nom de son appartenance à la communauté juive, trouve légitime de défendre une occupation illégale de territoires, un Français non palestinien, au nom de ses racines arabes, ne peut-il pas trouver tout aussi légitime d’aller défendre sur le terrain les Palestiniens contre l’extension illégale des colonies sur leurs territoires  ? Laquelle de ces deux démarches repose sur une légitimité en accord avec le droit international et le droit français  ? Il est fait grand bruit par ailleurs des Français musulmans qui vont combattre en Syrie aux côtés de la rébellion soutenue par la France, mais qui ont le tort de rejoindre des groupes djihadistes répertoriés comme terroristes. Mais personne ne parle de ces Français qui, depuis des années, vont participer sous uniforme israélien à une occupation officiellement dénoncée par l’ONU et par l’État français. Il y a pour le moins un paradoxe en France et, si l’on base la légitimité sur le droit, un grand flottement. Imaginons qu’un citoyen français, sous uniforme israélien, se trouve confronté dans les territoires occupés à un autre citoyen français engagé dans le soutien de la cause palestinienne. Il conviendrait alors d’éclairer, vis-à-vis du droit français, le statut légal de chacun de ces deux ressortissants.

2«  Littéralement : "élévation spirituelle". Acte d’immigration en Israël par un juif.
3Vanessa Isenson, «  Israeli army welcomes North American volunteers  », DW.DE, 27 août 2012.

Beate et Serge Klarsfeld sont des rigolos

À l’instar de Simon Wiesenthal, le couple de vengeurs de la Shoah a traqué pendant 40 ans de vilains nazis partout sur la Terre, sauf là où ils étaient : aux États-Unis. Qui en ont récupéré 5 000 après la Seconde Guerre mondiale. Comme si ce couple symbolisant l’ultime réconciliation – lui est fils de déporté juif, elle fille de soldat allemand – avait voulu détourner l’attention du monde judéo-empathique loin de cette Amérique ambivalente.

Chasseurs de nazis pour les nuls




Courir après Mengele (l’Ange de la Mort) en Amérique du Sud, médecin SS à Auschwitz depuis mai 1943, soit 20 mois de sélections et d’expériences foireuses sur des vivants ou des morts, c’est allumer un contre-feu pour camoufler les vraies opérations qui intéressaient les services de renseignement américains : l’exploitation des données des officiers supérieurs de l’état-major nazi sur l’Union soviétique et ses satellites, l’Armée rouge, son potentiel militaire, économique… Car depuis la révolution de 1917, hormis la parenthèse de la NEP, cette brève ouverture économique à l’Ouest, plus personne, à part une poignée d’agents occidentaux, n’a mis les pieds derrière ce que Churchill appellera plus tard le Rideau de Fer. Mengele, les Américains n’en avaient rien à faire : un médecin affecté au tri des malades du matin au soir, ça ne rapporte rien. En revanche, les membres du réseau Gehlen (Reinhard travaillera pour les Américains, qui le placeront à la tête du BND, le renseignement ouest-allemand), les physiciens élaborateurs de fusées, ainsi que les cracks de l’armement, eux avaient une authentique valeur marchande. Ils seront 1 500 scientifiques à se reconvertir easily dans les programmes de recherche militaire, astronomique, bactériologique ou psychologique américains.

Pas touche à von Braun !


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Scoop : von Braun se cachait en Amérique

Les médias du monde entier ont fait vibrer les foules – un peu travaillées à la culpabilité au préalable – avec les aventures de Simon, Beate & Serge, qui ont coincé des nazis obsolètes aux quatre coins du monde. Romantique, exotique, symbolique, et vendeur. À côté de ces hollywooderies, les savants allemands préparaient les avions à réaction américains, dans une course effrénée avec les Soviétiques, ainsi que le programme Apollo, tandis que la CIA traitait et sous-traitait à ces néo-Américains l’énorme masse d’informations sur l’Europe de l’Est. Un joli leurre à l’échelle de la planète, comme cette course après ce gros pépé ukrainien de John Demjanjuk (Ivan la terrible… méprise), quinzième couteau de Sobibor, déclaré responsable de la bagatelle de 27 900 meurtres, une accusation dont même les Israéliens ont douté. Il restera pour l’Histoire la capture d’Eichmann, plus symbolique pour Israël que prioritaire pour les États-Unis… Ces derniers au courant depuis 1958 de la planque du responsable logistique de la Solution finale, et qui ne refileront même pas le tuyau à leurs amis de Tel-Aviv. Un enlèvement opportun mettra un terme à ce couac interservices en 1960, qui sera l’œuvre du Mossad, pas des Klarsfeld, ces Laurel et Hardy de l’antinazisme.
C’est pourquoi des nazis (affublés de surnoms de serial killers qui font trembler) aussi légendaires qu’inutiles ont pu détaler, comme des souris blanches dans leur cage, sous l’œil goguenard des services américains : ils étaient là pour détourner l’attention. Juger tous les criminels de guerre, rétablir le Bien et punir le Mal, c’est bon pour les croyants en la morale. On voit bien qu’aujourd’hui l’Amérique ne juge que ceux qu’elle juge bons de juger. Voici ce que le président Roosevelt dira du dictateur nicaraguayen Somoza (dont le fils sera fini au lance-roquettes par les sandinistes), le jour de son intronisation, en 1939 :
« C’est un fils de pute, mais c’est NOTRE fils de pute. »
Idem pour les nazis réfugiés en Amérique du Nord : c’est bien l’utilité d’un criminel qui juge de sa nocivité. C’étaient des nazis, mais c’étaient nos nazis. Des pâtes, oui, mais des Panzani. Des nazis, oui, mais des nazis bankables !

Mengele, ou le vilain de théâtre




Les Américains sont bien les rois du cinéma : que Beate et Serge soient ou pas des agents américains/israéliens importe peu. Objectivement, ils ont travaillé à la protection de la virginité de l’image de l’Amérique en éloignant le regard du monde des cyniques calculs de ses dirigeants.
Leur fils, ce glandeur perturbé (sonné par la Shoah ?) qui voue lui aussi un culte au pays de l’Oncle Sam, a repris la petite entreprise parentale. Une agence de communication politique qui n’a plus de sens quand les nazis pourchassés ont dépassé les 100 ans. Chasser le grabataire germanique, c’est comme tirer sur un lapin à trois pattes qui se rend. L’héritier du business familial s’est donc reconverti dans la communication nationale, à la recherche des néonazis du cru, ou jugés comme tels : les franco-nazis. Une activité moins romantique, car se rapprochant du sale boulot de la Gestapo d’hier : dénoncer puis châtier les résistants, ces incroyants de la religion dominante du système médiatico-politique. Ce qui ne présente aucun risque, à part celui du ridicule. Et nos vainqueurs n’ont pas peur du ridicule.
Lorsque, au cours de cette journée historique du 9 janvier 2014, ce fameux jour où le lobby tout entier – ces ministres régnants mais jamais élus – a sonné la charge et défilé sur la (sa ?) chaîne, BFM TV, se mélangeant pour la forme à une poignée de goys flippés, alors le Klarsfeld Junior est apparu dans la splendeur de la lumière médiatique, auréolé d’une légitimité politique qu’on cherche encore. Heureusement, grâce à la télé réalité, cette idée du trio infernal Arthur/Courbit/Endemol, point n’est besoin de légitimité pour passer à la télé : il suffit d’y passer. La légitimité s’acquiert ensuite mécaniquement, au pro rata des passages. C’est ainsi que les médias dominants nous ont habitués à voir passer et repasser les Jakubowicz, les Goldnadel, les BHL et autres Klarsfeld, qui ne sont rien d’un point de vue officiel, mais qui peu à peu, donnant leur point de vue sur l’actualité, le débat du moment, le conflit en cours, finissaient par devenir légitimes… et évincer homéopathiquement nos représentants légaux, démocratiquement élus, qui ne représentaient plus que la triste vitrine d’une démocratie vide.

Le coucou est un gros oiseau


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Le coucou finit par bouffer celui qui l’a nourri

Un leurre. Derrière s’activaient déjà les vrais détenteurs du pouvoir. L’erreur, bien sûr, appétence pathologique pour le trône oblige, fut de prendre toute la place, alléchés qu’ils furent par le soleil des médias, le balcon du Roi donnant sur les foules, avec comme récompense cet amour des masses que les médias accordent, croient-ils, de manière automatique et quasi magique. Hélas, l’amour du peuple de France ne viendra jamais, chaque jour en apporte la preuve : plus personne ne se déplace après leurs oukases médiatiques. C’est même l’inverse. Les manifestations pour « leurs » victimes sont boudées. Le peuple, cette Bête Immonde, renâcle. Ce n’est pas de l’antisémitisme, juste de l’indifférence à la souffrance surmultipliée par tous les canaux possibles des coucous de notre démocratie, dont plus personne ne croit un mot.
Ce jour fatal du 9 janvier 2014, ce 09/01, qui sera peut-être férié un jour, est celui par lequel tout le mécanisme est apparu au grand jour : n’y tenant plus, après 250 ans d’attente, les Grands Sorciers, soutenus par les Grands Argentiers, sont sortis de l’obscurité pour chevaucher ce qui reste de notre justice et de notre police, outragées, brisées, martyrisées. Comment peut-on encore être ministre de la Justice aujourd’hui chez nous ? Jour de victoire absolue, mais aussi jour de chute : car depuis, même chez les judéo-compatibles, les aveugles et les soumis, le doute n’est plus permis.

Le Dr Tieutonné a-t-il torturé des chuifs ?



La chasse aux « franco-nazis » se prépare depuis longtemps, précisément 10 ans, depuis le sketch de Dieudonné, une simple vanne qui a sonné l’hallali. Dieudonné n’y est pour rien, ce pauvre Fogiel non plus, il fallait juste une étincelle pour déclencher l’incendie. Comme pour le Reichstag, tout était préparé : les départs de feu étaient déjà en place. Suivra un Patriot Act à la française, qui accouchera de lois spéciales, liberticides, démocraticides, qui accorderont un pouvoir juridique sans pareil au lobby pressé de régner. Il fallait un prétexte à cette guerre contre le peuple, générateur d’Intifada hexagonale. Le comique lourd marcha sur une mine… placée là à cet effet. Piège magnifique, où les organisateurs de l’incendie, assis aux premières loges dans une tribune présidentielle purgée de ses patriotes, accuseront en chœur le fumeur innocent armé d’un cigare mal éteint…
Cette chasse, ce nettoyage ethnico-politique, est le corollaire de cette prise de pouvoir enfin visible, comme une évidence talmudique. La Résistance souffrira encore toutes les injustices possibles, car la totalité des instruments de coercition sont dans le camp des vainqueurs. Moralement, amoureusement, ces derniers ont déjà perdu. C’est pourquoi la répression sera dure. On pense à Schrameck, ex-dircab de l’étrange Jospin (qui rime avec américain), et son CSA du Net, sigle pour Censure des Sites Antisémites. Un antisémitisme bien pratique, volontiers contagieux, cible mobile comme l’oncle Ben (Laden) le fut pour les Américains.
Nous sommes tous des Talibans français.
Voir aussi, sur E&R :

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