JACOB COHEN - MUSULMANS DE FRANCE ET D'AILLEURS, LEVEZ-VOUS!
Jacob Cohen with Jacob Cohen Ter and Jacob de Meknès
4 hrs · Paris, France ·
Musulmans de France, Prenez votre destin en mains! Ne laissez plus les "collabeurs" vous représenter! (Ils s'en fichent!)
http://www.islametinfo.fr/2014/05/01/les-boubakeur-et-la-mosquee-de-paris-les-caids-du-neocolonialisme-francais/
http://www.islametinfo.fr/2014/05/01/les-boubakeur-et-la-mosquee-de-paris-les-caids-du-neocolonialisme-francais/
La
mosquée de Paris est un enjeu stratégique dans la guerre
d’infiltration, de domestication et de domination que mènent d’un côté
les services...
islametinfo.fr
LES COLLABEURS SONT DES POURCEAUX À DEUX PATTES !
- Ghyslaine Roc « Musulmans de France, Prenez votre destin en mains! Ne laissez plus les "collabeurs" vous représenter! »
MERCI !
Je quittai la France définitivement en 1988, et, depuis je n’ai jamais cessé de faire appel au bon sens des ‘leaders’ des Musulmans survivants de plusieurs holocaustes dans l’histoire, que j’avais entendus ou connus, et à certains Musulmans proches et moins proches. Mais, je parlais en vain à des murs (Zombies) car la colonisation et la néo-colonisation les avaient complètement traumatisés, terrorisés, et le matérialisme les avait engloutis à tel point que nombre d’entre eux avaient perdu leur Islam tout en continuant à s’appeler Musulmans, mais laïques (athées, nationalistes et satanistes !) ; avaient perdu leur humanité ; étaient devenus lâches et hypocrites au point où ce furent eux qui représentent le plus grave des dangers de toute société islamique digne de ce nom!
Je fis appel, en premier lieu, à Abdel Haq Guiderdoni (CNRS) de la « Grande Mosquée de Paris » en dénonçant le non Musulman et Franc-maçon Dalil Boubakeur que les Satanistes avaient mis à la tête de ce centre faussement ou trop timidement islamique en qualité de « recteur » !
Quand Guiderdoni refusa d’entamer le dialogue avec moi, je fis appel à l’avocate Me Djazaerli que j’avais rencontrée ainsi que le Père Michel Lelong, mais ce fut en vain. Ces derniers furent en très mauvaise compagnie – un raciste anti Musulmans, anti Arabes et anti-islamique, un infiltrateur qui cherchait à tenir les Musulmans de France en laisse sûrement contrôlé lui-même par les forces sataniques qui gouvernent la France.
Ensuite, je fis appel au Dr Tariq Ramadan, le plus grand ‘intellectuel’ et orateur parmi les Musulmans d’Europe que j’aime beaucoup même à ce jour quoiqu’à moitié (essayez de vous marier à une moitié de femme et vous comprendrez aisément ce que je veux dire !), mais ce dernier me confirma très rapidement qu’il était aussi un bouffon et qui fit aussi beaucoup de tort aux Musulmans de France car il adopta contre tout bon sens la laïcité franc-maçonnique et judéo-sioniste de France, et il voulut à tout prix que l’Islam s’intègre à cette saloperie raciste ainsi qu’à d’autres. Il perdait son temps (car ce fut le dessein diabolique de cet homme, le Saint Paul des Musulmans !) avec des non Musulmans racistes qui haïssent l’Islam, détestent les Arabes et les Musulmans, et surtout Dieu et le Christianisme ou le vrai Judaïsme (que je peux désigner comme Islam ou Israélisme orthodoxe).
Aussi, cela me fait un immense plaisir de voir un VRAI ISRAÉLITE (« JUIF ») DE DIEU, Jacob Cohen, réitérer ce que je n’ai jamais cessé d’écrire et de dire depuis plus de deux décennies.
Mais, croyez-moi, mon cher Frère Jacob, c’est jeter des perles aux pourceaux que sont devenus la plupart des Musulmans francophones des temps modernes ! Néanmoins, le combat des martyrs de la liberté et de la vérité comme le Dr Roger Garaudy, Dr Salim Laibi, Alain Soral, Louis Laurent, Dieudonné, Pr Robert Faurisson, Frank Abed (?), Vincent Reynouard, et d’autres semblent nous redonner l’espoir qu’une révolution imminente pourrait apporter de grands changements, mais pas sans d’énormes sacrifices que la plupart d’entre nous ne sont malheureusement pas prêts à faire car le consumérisme et le matérialisme hédonistique nous tiennent en otage.
Plusieurs centaines de millions de « Chrétiens » (catholiques, fondamentalistes, évangélistes, baptistes, protestantes, etc.) sont dans le coup avec les Sionistes et les Juifs suprématistes et racistes car, tout comme les Sionistes, ils espèrent qu’un État d’Israël sera la Nouvelle Jérusalem qu’ils vont hériter car ils réclament la propriété exclusive du Royaume de Dieu (Jésus, Dieu le Fils !) sur terre (Jérusalem comme Capitale mondiale) que Dieu le Père avait soi-disant promis aux descendants (« seeds ») d’Abraham dont ils se réclament être les seuls héritiers (Réf. Pr Texe Marrs), excluant les Juifs et les Musulmans!!!
C’est un monde de fous par or pour un Dieu qui a perdu la boussole !
Fraternellement
Basheer
Ce samedi 3 mai 2014
Les Boubakeur et la mosquée de Paris : les caïds du néocolonialisme français
La
mosquée de Paris est un enjeu stratégique dans la guerre
d’infiltration, de domestication et de domination que mènent d’un côté
les services algériens, et de l’autre côté les services français. Cet
enjeu est mille fois plus important et dangereux que l’enjeu tactique
dans la guerre tragicomique que se livrent l’Algérie et le Maroc pour
contrôler l’islam en France.
Des goumiers aux danseuses de ventre. Le
16 juillet 1926, la mosquée de Paris est inaugurée par le président
français, Gaston Doumergue, et le sultan du Maroc, Moulay Youssef, en
présence de plusieurs centaines de princes et de dignitaires arabes et
africains. Le premier recteur, appelé à l’époque directeur, est Kaddour
Benghabrit. Il était l’homme de confiance des Français et des Marocains,
avec sa double casquette de directeur de protocole du sultan du Maroc
et de consul général de France à Tanger. C’est le maréchal Lyautey,
ministre de la guerre lors de la Première Guerre mondiale, qui a œuvré
pour l’édification de la Grande Mosquée de Paris pour remercier les
musulmans des sacrifices qu’ils ont consentis dans cette terrible
guerre, où plus de 100 000 musulmans turcos et goumiers, furent tués,
surtout à Verdun. En 1921, malgré la loi de 1905, le parlement français a
voté à l’unanimité le financement de cette mosquée. Quand il aposé la
première pierre, le maréchal Lyautey s’exclama : « Quand s’érigera le
minaret que vous allez construire, il ne montera vers le beau ciel de
l’Ile-de-France qu’une prière de plus dont les tours catholiques de
Notre-Dame ne seront point jalouses. » aucun risque ! La mosquée n’était
pas conçue pour célébrer Allah, mais pour honorer la trahison et la
dépravation. Dès sa construction, la mosquée de Paris était un club
mondain fréquenté par le tout-Paris. Un dîner mensuel était donné par
Benghabrit qui partageait sa table avec Cocteau et Sacha Guitry. Aux
visiteurs nocturnes de la mosquée, il offrait son livre pour adultes
Abou Nawas, qu’il a édité à compte d’auteur en 1931. Entre méchoui et
spectacles dansants, la mosquée de Paris, sous le règne de Benghabrit,
est plutôt célèbre pour ses soirées chaudes qu’on ne va pas expliciter
pour ne pas nous choquer davantage. Messali Hadj, le père du mouvement
nationaliste algérien, qualifiait la mosquée de Paris de cabaret
oriental. En quelques décennies, cette mosquée a régressé de plusieurs
siècles pour se convertir à l’Europe moyenâgeuse, pour devenir une
féodalité dirigée par des seigneurs et des templiers en croisade contre
leur propre religion.
Du spahi du Sahara au caïd de Paris. Historiquement,
la mosquée de Paris est une affaire de police politique. Juillet 1957, à
l’heure du déjeuner, une soixantaine de policiers envahissent la
mosquée de Paris. Son recteur, Ahmed Benghabrit, neveu et successeur du
fondateur Kaddour Benghabrit est expulsé, lui et toute sa famille, en
une demi-heure. Ils sont déportés manu militari dans le Mont Blanc, un
petit hôtel dans le quartier latin. Benghabrit intente un procès auprès
du tribunal administratif et le gagne. Mais l’Etat français ne va jamais
l’exécuter. Le droit est violé par un Etat français aveuglé par la
guerre d’Algérie. Ahmed Benghabrit est accusé de complaisance envers les
moudjahidines algériens par le Ministère de l’intérieur qui récupère la
gestion de la mosquée de Paris au détriment du Quai d’Orsay. Ce
Marocain pro-peuple algérien est remplacé par un Algérien
pro-colonialisme français, par Hamza Boubakeur. Avant de devenir
professeur d’arabe à Alger, Boubakeur était un spahi du Sud algérien, il
faisait partie de ce régiment de cavaliers indigènes formés et armés
par l’armée française pour combattre et massacrer le peuple algérien.
Puis, il devient un conférencier et un conseiller de l’Action
Psychologique de l’armée qui a recruté des imams et des marabouts pour
condamner au nom de l’islam le nationalisme, qualifié de Bida’a,
innovation Blâmable.Boubakeur est installé à la tête de la mosquée de
Paris, en qualité de fonctionnaire détaché de l’éducation nationale, par
un décret qui viole le droit français.La décision de nommer Boubakeur a
été prise par Guy Mollet avec les conseils de Robert Lacoste, le
gouverneur de l’Algérie, et Max Lejeune, le ministre de l’Intérieur.
C’est le commissaire Duez, futur membre de l’OAS, qui applique cet ordre
antirépublicain. Cette nomination est illégale car les pouvoirs
spéciaux votés en mars 1956 sur l’Algérie n’étaient pas applicables en
France. Pour dissimuler ce crime de lèse-République, le recteur créa en
1958 la Société des Habous pour diriger la mosquée. Après, il devient,
grâce au légendaire bourrage des urnes par les Services français en
Algérie, député des Oasis de 1958 à 1962. Une revanche contre sa tribu
des Ouled Sidi Cheikh qui avait refusé de cautionner sa candidature aux
élections législatives de 1948, car considéré comme enfant illégitime.
En 1983, il tentera de nouveau de briguer ce poste de député. En vain !
Ainsi,
Boubakeur est devenu recteur grâce à la junte militaire coloniale
française en Algérie et grâce à la police politique française à Paris.
Mais en 1966, Maurice Papon, le Préfet de Police criminel de guerre, a
essayé de chasser Boubakeur parce qu’il avait refusé une manifestation
marocaine à la mosquée qui voulait détourner les regards sur l’affaire
Ben Barka. Malgré le jugement rendu en 1963 par le Conseil d’Etat
déclarant que le gouvernement français n’avait pas le droit d’intervenir
dans le fonctionnement de l’association qui gère la mosquée, Papon et
ses services vont tenter d’expulser le recteur en vertu des articles 539
et 718 du code civil, portant sur la dévolution des biens vacants et
sans maître. Sous-prétexte que la mosquée n’avait plus de propriétaire
depuis la mort de son premier recteur Benghabrit. Mais, Michel Debré, le
ministre de l’économie et des finances de l’époque, financier de la
mosquée, a refusé l’expulsion de Hamza Boubakeur, car les deux se sont
connus en défendant l’Algérie Française. Cette fois-ci la police
française n’a pas réussi à chasser le recteur de la mosquée de Paris
comme elle l’a fait 9 ans auparavant. Boubakeur avait avec lui les
généraux et les hommes d’Etat de l’Algérie-française qui ont défendu
leur protégé, ce religieuxa été formé par les services de renseignement
français du colonel Schoen, ce politicien parachutésur la mosquée de
Paris pour fliquer la communauté algérienne, ce caïd qui a défendu,
jusqu’au bout, le maintien du Sahara algérien sous souveraineté
française, puis la séparation du Sahara après l’indépendance de
l’Algérie.
De la bataille politico-policière franco-algérienne.
Historiquement, la mosquée de Paris est un enjeu policier et politique
pour l’Etat français et pour l’Etat algérien. On vient de le voir avec
Papon et le gouvernement français qui a perdu plusieurs procès contre
Ahmed Benghabrit ou Hamza Boubakeur. Idem pour le gouvernement algérien
qui a perdu tous ces procès contre Boubakeur. D’ailleurs, le premier
acte de gouvernement d’Abderrahmane Fares, chef du gouvernement
provisoire algérien, était la réclamation de la mosquée de Paris et la
révocation de Boubakeur, sans effet car la mosquée était une institution
française. Boubakeur estpour l’Algérie, surtout sous la présidence de
Boumediene, un pestiféré, un ancien collabo traité comme un traître.
Mais Boubakeur n’a cessé d’essayer de se réconcilier avec Alger, pour se
racheter une virginité, pour se venger de Papon qui a essayé de le
chasser malgré les « services » qu’il a rendus à la répression
sanguinaire de Papon contre la manifestation du 17 octobre 1961, malgré
sa « collaboration » avec la colonisation et son combat pour que le
Sahara reste français,puis pour se venger du gouvernement français qui a
décidé de lui fermer le robinet. En 1980, le gouvernement Raymond Barre
décide la suppression des subventions publiques qui étaient accordées à
l’institut de la mosquée de Paris depuis plus de 22 ans sans aucun
contrôle. La famille Boubakeur est traumatisée, elle se sent humiliée,
au point que Dalil Boubakeur adhère au parti de l’opposition PS. Son
père, le recteur Hamza, va trahir la droite dans la présidentielle de
1981, il va s’engager à côté des socialistes qui vont le cajoler et
manipuler pour attaquer publiquement et violemment le gouvernement de
Giscard d’Estaing. Mais une fois au pouvoir, les socialistes, du
président Mitterrand au ministre de l’Intérieur Defferre, vont couper
tout contact avec lui. Une nouvelle humiliation ! Il perd la face ! Il
risque de tout perdre ! Il propose la gestion de la mosquée au
gouvernement marocain, mais celui-ci réclamait en plus la présidence de
la Société des Habous. Mais, Bingo, la mort de Boumediene 3 ans plutôt
va finir par le sauver ! 1982, le nouveau régime algérien trahit la
position de l’Algérie de Boumediene, accepte le marché de celui qui a
trahi l’Algérie pendant sa guerre de Libération, prend en charge la
direction politique et les lourdes dettes de la mosquée. La France
socialiste accepte ce marché car l’Algérie, via la SONATRACH, le titan
des hydrocarbures, aurait participé au financement de la campagne
présidentielle de Mitterrand et la campagne à Marseille duministre de
l’Intérieur Defferre. Mais Hamza est plus intelligent que l’Etat
algérien ! Il lui a vendu l’Institut déficitaire mais il a gardé la
présidence des Habous, propriétaire de la mosquée. Ce n’est qu’en 1987
que l’Algérie récupère les Habous contre une nationalité algérienne et
100 millions de francs accordés au recteur Hamza, plus sa nomination
comme Conseiller auprès du ministre des affaires religieuses
algériennes, tout en restant à Paris.
Le turban masquédes Services Secrets de la mosquée.
Dans les années 80, le vrai patron de la mosquée de Paris est Hedi
Al-Khediri. Cet ancien patron de la police algérienne, ex-ministre de
l’intérieur, francophile, généreux, très apprécié du « milieu »
politico-médiatique parisien, était très écouté par l’Etat français
dépassé par les attentats terroristes des années 80. A partir des années
90, la mosquée de Paris est dirigée directement par les services du
DRS, le KGB algérien qui a remplacé la Sécurité Militaire en septembre
1990. Plusieurs officiers se succèdent dont le plus important est le
commandant Miloud Benamara, officiellement administrateur de la mosquée
de Paris, rappelé par le Supérieur le 28 janvier 2012. Son supérieur
hiérarchique à Paris, le colonel Ali Bendaoud,était l’interlocuteur des
grands patrons des Services français et de plusieurs ministres de
l’Intérieur et de la Défense. Après 11 ans au Bureau de sécurité à
l’ambassade d’Algérie à Paris, il est appelé en 2008 par Bouteflika en
pleine guerre contre le DRS. Il est nommé général et gravit rapidement
les échelons jusqu’à remplacer en septembre 2013, le superpuissant
général-major Bachir Tartag, à la tête du service du contre-espionnage,
la DSI. Son remplaçant à l’ambassade algérienne, le colonel Ben Malek,
est plus réservé ; alors il délègue la gestion de la « question
islamique » à un certain Louanoughi. La guerre, soutenue par les
Américains, entre les Services algériens permit à une momie de rester
Président de l’Algérie et un commis de cuisine policière de devenir le
patron de la plus importante mosquée de France.
L’ingérence
des Services dans l’islam de France a un double visage franco-algérien :
Godard- Louanoughi. Mohammed Louanoughi, alias Si Abdallah, est
l’actuel directeur de l’Administration de la Mosquée de Paris. Il cumule
ce poste souverain avec celui qu’il garde en bandoulière depuis
plusieurs années : inspecteur des imams de la Grande Mosquée de Paris.
Son rôle dépasse le flicage des imams et l’installation de proches comme
imams pour percevoir des salaires officiels entre 3000 et 4500€. Il est
à la fois la canne du recteur Boubakeur et la crosse du pistolet de
ceux qui dirigent cette mosquée et le reste de l’Algérie. Impossible de
voir Dalil sans Louanoughi. Sur toutes les photos, c’est lui que tient
Dalil de sa main. Dès le début, ce sont les Services algériens qui lui
ont imposé leur homme de main. Ce policier originaire d’Akbou a été
envoyé, ou exfiltré, en 1994 en France comme garde du corps de
Boubakeur, il gravira toutes les marches et les grades des organigrammes
ténébreux des services comme ceux de la mosquée de Paris. Conséquence
de la déchéance de cette mosquée et du crépuscule de notre communauté,
il sort à la lumière comme intellectuel théologien ! C’est lui qui a
ouvert un séminaire pompeux intitulé « l’imamat et la prédication »,
organisé le 3 janvier 2013 dans la grande salle d’honneur de la mosquée
de Paris, avec le soutien du ministère des Affaires islamiques de
l’Arabie Saoudite. Il a même récité une intervention intitulée : « Les
enjeux liés à la formation des imams dans une société laïque ». C’est
lui qui est décrit comme terroriste islamiste des Services par
l’ex-colonel Mohamed Samraoui dans son livre « Chroniques des années de
sang », pp 232-233, paru en 2004 chez Denoël, en lui attribuant, entre
autre, l’attentat sanglant à la voiture piégée de Ryadh el Feth le 21
janvier 1993. En lui attribuant aussi un rôle important dans l’affaire
Chalabi. Ce pseudo-réseau terroriste qui devait commettre des attentats
en France et liquider des officiers qui gênaient le pouvoir de l’époque
comme le général Attayliya. Le procès Chalabi est l’Outreau de l’islam
de France avec un personnage clé qui a fait tant de mal à des milliers
de musulmans innocents et à leurs familles, le juge antiterroriste
Jean-Louis Bruguière. Digne héritier du colonialisme de Papon, ce juge
lance deux rafles le 8 novembre 1994 et le 20 juin 1995. 173 personnes
arrêtées, mises en examen et écrouées. 60 mois plus tard, le procès a
commencé, enfin, dans le gymnase des gardiens de la prison de
Fleury-Mérogis, réaménagé en tribunal théâtral pour juger 138 prévenus,
dont 27 écroués. 51 prévenus relaxés et sur les 87 condamnés, 39
l’étaient à des peines inférieures à deux ans. Et la tête du réseau,
Mohamed Chalabi, a été acquitté par la justice algérienne après son
extradition par la France le 9 novembre 2001. Cette affaire sera traitée
plus longuement dans une étude plus importante sur le rôle des services
algériens et français dans la manipulation du pseudo terrorisme
islamiste. Quant à Louanoughi, le vent est en train de tourner après
l’avalanche des têtes des Services pour qui il roulait. Arrêté à
plusieurs reprises par la police française pour diverses affaires, il a
été libéré à chaque fois par un simple coup de téléphone hiérarchique.
Cette fois-ci, c’est une jeune femme, une intellectuelle résistante, qui
pourrait « nettoyer » la mosquée de l’appendice des Services. Hanan
Karimi est à la tête d’un collectif de femmes fidèles de la mosquée de
Paris qui ont déposé 3 plaintes contre des responsables de cette
mosquée, dont Louanoughi, qui les ont agresséesen causant plusieurs
jours d’ITT le 21 décembre 2013, parce qu’elles voulaient prier là où
elles priaient pendant plusieurs années, refusant d’être chassées au
sous-sol et de devoir passer à côté des toilettes des hommes. Mais,
peut-être, il sera une nouvelle fois repêché par les services
franco-algériens, surtout par son ami ou alter-égo Godard. Louanoughi
sera-t-il exfiltré dans l’autre sens comme ses ancêtres dans les
affaires Mécili et Ben Barka ?
Comme
Louanoughi, Godard est d’abord un flic. Celui que les médias appellent «
Monsieur Islam » est surnommé aussi le « Général Taoufiq ou le
Talleyrand de l’islam de France ». Il a commencé sa longue carrière dans
les Renseignements Généraux à la préfecture de police de Paris dans les
années 80, en griffonnant un amas de notes alarmistes, souvent
farfelues, sur la montée de l’islamisme, surtout sur l’affaire Chalabi.
C’est de ce grossier enfumage qu’il a tiré les marrons du feu pour
glaner les galons de commandant. C’est en se nourrissant de ce fumier
que Gilles Kepel a pondu son livre goebbelsien Les banlieues de l’islam.
Dans la jungle de l’islamophobie la plus crasse, les corbeaux croassent
des rapports, les intellectuels, journalistes et politiques les
répètent comme des cacatoès, pour paraphraser Cazeneuve, l’actuel
ministre de l’Intérieur. Marionnettiste et scénariste, Godard est le
metteur-en-scène de la tragicomédie de l’Islam de France, dont les
feuilletons font partie des Plus belles escroqueries du monde, pour
paraphraser l’autre Godard, le célèbre cinéaste. Notre Godard est un
ancien policier trotskyste arrivé en 1997 à Beauvau avec Chevènement,
c’est l’avènement de Bugeaud et des Bureaux Arabes. Excepté la gaulliste
Michèle Alliot-Marie qu’il a vainement expulsé, Godard a activement et «
lucrativement » collaboré avec 10 ministres d’Intérieur, malgré leurs
oppositions politiques et idéologiques, ce qui démontre l’opportunisme
machiavélique de ce personnage et le poids diabolique qu’ont les
Services à l’intérieur du Bureau des cultes. Plus fort qu’un chat,
Godard a eu 11 vies, car dans la nuit néocolonialiste, la désinformation
islamophobe est grisante. Avec son badge « Je suis marié avec une
Algérienne », sa carte de visite « Vous êtes dans le collimateur du
ministère de l’Intérieur ou des Services, mais je peux régler ça », sa
devise « J’ai des informations capitales sur vos concurrents musulmans
», Godard a réussi à infiltrer les plus grandes associations et
fédérations musulmanes. Avec ses diverses casquettes, il a réussi à
diversifier et fructifier ses multiples statuts : fonctionnaire et
entrepreneur, policier et enseignant, consultant et négociant… Car, dans
l’islam de France, c’est l’argent qui compte. Car le Bureau de culte ne
peut être imperméable à ce qu’on appelle les ripoux de la police.
D’ailleurs, plusieurs affaires nous rappellent la relation mafieuse
entre les Services et l’affairisme. L’affaire Khalifa dont la tante
Djaouida était salariée de la mosquée et bras droit du recteur Abbas.
L’affaire Bentébria qui a couté à la mosquée 100 millions de francs aux
Prud’hommes. Une partie de l’argent de l’islam de France, de la mosquée
de Paris au hallal, sert à rémunérer une partie des indicateurs et
agents des Services algériens ou français
Dalil Boubakeur Vs Beauvau : les amants ennemis.
Les Boubakeur, père et fils, règnent sur la mosquée de Paris depuis
plus de 42 ans. Seule la sinistre famille Assad, père et fils, peut se
réjouir d’une telle longévité à la tête d’une dictature arabe. Critiquer
la dictature des Assad n’est pas une insulte contre la Syrie. Critiquer
la forfaiture des Boubakeur n’est pas une insulte contre la mosquée de
Paris. D’ailleurs plusieurs imams et salariés irréprochables travaillent
pour cette mosquée et son excellent institut Ghazali. Contrairement à
Dalil qui est devenu recteur contre l’avis de son propre père. Il débute
son mandat par un conflit rancunier avec les socialistes. Il refuse le «
plan Dumas » de 1992 qui voulait créer un Institut Musulman de France
indépendant de la « Société des Habous » avec un budget annuel de
plusieurs millions d’euros. Pourtant, le gouvernement algérien soutenait
ce projet. Ici, comme dans d’autres cas, le recteur Boubakeur joue
contre le gouvernement algérien. Ses relations avec le ministre de
l’Intérieur Paul Quilès et le gouvernement socialiste sont très
mauvaises. Mais l’arrivée de Charles Pasqua à Beauvau va le soulager, le
sanctifier et le sanctuariser. Le terrorisme en Algérie et l’affairisme
avec l’Algérie vont unir les deux hommes dans une véritable lune de
miel. Mais le successeur de Pasqua à Beauvau, Jean-Louis Debré, refuse
l’imposture Boubakeur et récuse le monopole de mosquée de Paris dans le
prélèvement de la taxe halal. Il tente même de marginaliser Boubakeur en
créant le Haut Conseil des Musulmans en France avec Dahmane
Abderrahmane, Khalil Merroun et Mme Khali. Touché dans son orgueil,
touché dans sa rente, Dalil Boubakeur réagit en critiquant, dans les
colonnes médiatiques et dans les coulisses politiques, les lacunes du
ministre Debré dans la lutte contre l’islamisme et « les expulsions
insuffisantes d’imams ». Ici, comme dans d’autres cas, le recteur
Boubakeur joue contre le gouvernement français.
Quand
Chevènement arrive à Beauvau en juin 1997, il boude pendant presque deux
ans la mosquée de Paris. Il ne rentre en contact avec le recteur
Boubakeur que lorsqu’il lance l’Istichara, c’est-à-dire la Consultation
destinée à créer un Conseil chargé du culte musulman. Boubakeur
manifeste son hostilité en organisant un meeting couteux financé par
l’ambassade algérienne le 15 avril 2000 à la Mutualité. Une
démonstration de force qui n’impressionne pas un Chevènement décidé à
chasser Boubakeur car fragilisé par de fortes oppositions à l’intérieur
de la mosquée. Mais le recteur va être sauvé par les attentats du 11
septembre 2001 qui vont le propulser sur la scène médiatique comme
représentant de l’islam tolérant et modéré. Comme le dictateur déchu Ben
Ali, Boubakeur était présenté comme « rempart contre l’intégrisme ». Ce
qui est complètement faux ; mais dans le royaume des faux-semblants,
les pyromanes sont considérés comme des pompiers. Puis arrive Sarkozy
qui voulait parachuter Boubakeur comme président, à vie et à plein
temps, du CFCM pour le remplacer à la tête de la mosquée de Paris par le
sarkozyste Chemseddine Hafiz, un intime de l’ancien directeur de la
DST, Yves Bonnet. Mais Boubakeur résiste. Pour le consoler, Sarkozy
nomme Hafiz président de « Vivre l’Islam », l’association productrice de
l’émission dominicale sur l’islam sur France 2.Puis arrive Valls qui
voulait marginaliser Boubakeur, mais ce dernier l’a fait valser. Le 21
mai 2012 à Marseille, lors de la première sortie publique de Valls en
tant que ministre de l’intérieur, 5 jours seulement après sa nomination,
lors du Diner du CRIF évidemment, il s’en prend à l’UOIF et ne rend
hommage qu’à Moussaoui et Chalghoumi. Représailles. Le 29 mai, Boubakeur
instrumentalise l’UOIF en les invitant chez-lui à un déjeuner politisé
et très médiatisé. Chantage à Valls : tu es avec moi ou je serais avec
tes ennemis ! Valls, retourné comme une crêpe, se rend la semaine
suivante chez Boubakeur, entérineson statutdecaïd1erde
l’islam de France, retourne à cette moquée à plusieurs reprises, surtout
pour diner pendant le ramadan, en validant le retour de Boubakeur à la
tête du CFCM.
Boubakeur : meilleur politicien ou magicien musulman de France. Il
a gagné son rapport de force contre Chevènement et Quilès, puis contre
Bouteflika,Sarkozy et Valls, avant de devenir leur allié-serviteur.Il
aurait pu être le meilleur avocat de la communauté musulmane s’il était
un vrai musulman et s’il y avait une vraie communauté musulmane.
Paradoxalement, l’une des qualités de Boubakeur, c’est qu’il n’est pas,
contrairement à d’autres représentants musulmans, un vrai hypocrite,
puisqu’il ne fait pas semblant de faire la prière et ne se cache pas
pour boire à pleines dents ni pour manger en plein ramadan. Par contre,
les insultes homophobes dont il est la cible sont indignes des
musulmans ; elles sont plutôt le symptôme d’une communauté émasculée qui
ne trouve que le crachat pour réagir face à ceux qui la salissent et la
déshonorent. Le recteur Dalil Boubakeur partage avec l’Oubroudes Frère
la grandiloquence et le narcissisme, avec les représentants du maghzendu
CFCM la manigance et l’affairisme, avec Abou machin ou Abou Portant du
pseudo-salafisme l’intolérance et le clanisme. Mais il est surtout
meilleur comédien et meilleur assassin politique. Le feuilleton de sa
succession aiguise les appétits et les rumeurs, les complots et les
poignards. Son successeur doit être approuvé par les gouvernements
d’Alger et de Paris qui s’affrontent depuis 20 ans sur plusieurs sujets.
La mosquée de Paris est devenue un panier à crabes, un théâtre des
mille et une nuits, une caverne feutrée pour magouilles et coups bas.
Pour neutraliser ses ennemis, autres caïds du néocolonialisme comme
Abderrahmane Dahmane. Pour briser ce dernier, il a adressé une lettre
officielle de délation au président Sarkozy le 16 avril 2009,
consultable sur internet, puis il l’a piégé en organisant le spectacle
pathétique du 10 mars 2011 à la grande mosquée de Paris contre le débat
Islam et laïcité. Zakri y déchire sa carte UMP et Dahmane attaque Copé.
Le lendemain, il est limogé de l’Elysée.
Mohamed
Boubakeur, le frère de Dalil, six ans son cadet, pharmacien avec deux
doctorats, inspecteur général de santé publique à la retraite, dresse,
dans l’interview qu’il m’a accordée et sur le site du collectif Cheikh
Yassin, un portrait qui remet en cause la santé morale et mentale,
spirituelle mais pas intellectuelle des deux recteurs Boubakeur. La
seule différence entre les deux, c’est que le père Hamza était un
pratiquant et un savant, même s’il a usurpé sa célèbre «traduction du
Coran » qui est l’œuvre de 7 experts et théologiens. Le fis Dalil ne
connait ni l’arabe ni les sciences islamiques, mais maitriserait les
sciences occultes. D’ailleurs, comme l’a relevé son frère, sur le bureau
de Dalil à la mosquée, trône la série Les sciences occultes et
divinatoires, où on peut lire les titres des 3 derniers tomes, La magie,
Les sciences secrètes, Les médecines secrète. Pour certains, le secret
est une religion et l’intrigue une science. Le frère de Dalil le décrit
comme un clone du roi Louis XI qui bouillonnait avant d’accéder au trône
et qui, pour y rester, intriguait et utilisait les uns contre les
autres. Boubakeur mérite le titre accordé à ce roi : universelle aragne,
araignée universelle ou grande araignée tisseuse de toiles. Pour
l’Establishment, peu importe le génie de Boubakeur tant qu’il est exercé
pour diviser les musulmans ou diaboliser l’islam. En multipliant les
trahisons, les compromissions et les déclarations honteuses, comme celle
faitele 29 octobre 2001 à Libération : « Nous n’acceptons pas que le
talibanisme devienne l’islam de nos banlieues », Boubakeur s’est fait
accepter, irrévocablement, par l’Establishment comme une baraka du
néocolonialisme, comme le Moubarak de l’islam de France.
Caïds des services & Arabes de service Vs Résistance islamique.
Germaine Tillon, la célèbre anthropologue et résistante française qui
vient de rentrer au panthéon, l’amie du peuple algérien pendant sa
Révolution, a diagnostiqué la plus dangereuse politique coloniale dans
son livre Le harem et le cousin, la politique du bakchich et des caïds.
L’utilisation du bakchich et de la corruption pour construire des caïds
et détruire les musulmans de l’intérieur. La France de 2014 n’a pas
renouvelé sa vision des musulmans qu’on appelait avant les Algériens.
L’Establishment français, c’est-à-dire l’Etat et l’élite, regarde encore
les musulmans et les banlieues avec les œillères des Bureaux Arabes qui
ont été créés en 1844, quatorze années après l’envahissement de
l’Algérie, et dont le but était le renseignement, la pacification et la
définition d’une politique indigène, politique de la ville aurions-nous
pu dire de nos jours. Le premier Bureau Arabe fut dirigé par le général
Lamoricière quand il était capitaine des Zouaves, il deviendra ministre
de la Guerre puis Vice-président de l’Assemblée législative. Son chef
était le maréchal Bugeaud qui a mis en place la politique des grands
caïds comme méthode de pacification. Les caïds devaient s’enrichir et
avachir ; enrichir des chefs arabes qui enrichissent à leur tour leurs
clientèles via les bakchichs. C’est ainsi que ce terme a intégré le
dictionnaire français et que cette pratique a intégré la philosophie
politique française. 150 ans après, les grands caïds sont devenus des
grands frères de Sos racisme et autres associations de banlieue, des
dirigeants de mosquées et autres associations islamiques. La
pacification est devenue l’intronisation des escrocs et la paix civile
est devenue une neutralisation de l’islam. Le bakchich est devenu
l’abondance de subventions associatives ou la tolérance de la
corruption. C’est ce même maréchal Bugeaud qui a mis en place les «
enfumades », ce crime de guerre qui consiste à enfermer les indigènes,
dont des milliers de femmes et d’enfants dans des grottes puis les
asphyxier en répandant de la fumée. Leurs descendants vivant en France
sont enfermés dans des grottes mentales, enfumés par une partie de leurs
propres représentants religieux ou communautaires. L’Establishment
paternaliste se croit humaniste en faisant la promotion des musulmans
béni oui-oui, de l’islam des caïds et des marabouts. En réalité, Bugeaud
n’est pas mort, mais nos cœurs si. Une partie de notre communauté a
choisi l’indigénat volontaire, une autre la trahison pour être respectée
ou financée par l’Etat, une autre la gesticulation comme écran de fumée
à son hypocrisie. Et nous, que choisissons-nous ?
La Mosquée
de Paris doit cesser d’être une zone de non droit habitée par les
démons des Services. La libération pacifique de la mosquée de Paris
devrait être la Bastille civique des musulmans de France. Au-moins celle
de Drancy si nous sommes si faibles. Mais sommes-nous dignes de la
Révolution française de 1789 ? De la Révolution algérienne de 1954 ? De
la Révélation coranique qui libère les esprits ?
Al-Khatabi Ben-Badis
Read more: The unorthodox priest who stands with the Jews | The Times of Israelhttp://www.timesofisrael.com/the-un-orthodox-priest-who-stands-with-the-jews/#ixzz32ZHiTzfI
Follow us: @timesofisrael on Twitter | timesofisrael on Facebook
WORLDWIDE PROTEST AGAINST ZIONIST ISRAEL
'We have an allegiance with the Jews; with the Muslims, there is no covenant'
The unorthodox priest who stands with the Jews
Greek Orthodox clergyman Father Gabriel Naddaf doesn’t just want Christians to serve in the IDF; he wants to forge a new, non-Arab identity for his flock
May 19, 2014, 12:13 pm
43
In January 2012, the army’s head
of military intelligence delivered an address about the Arab Spring –
the power of the masses, the prices of freedom. There was ample talk
about economics and Facebook and the rise of terror in the areas no
longer under government control. Maj. Gen. Aviv Kochavi, though, also
predicted that, regionally speaking, nationalism would wane as religion
waxed.
His
gaze, at the time, was fixed on Syria and Iraq – both broken countries.
But the prediction, to a certain extent, has proven true at home, too,
where an Arabic-speaking Christian clergyman, Father Gabriel Naddaf, a
Greek Orthodox priest, has done the unthinkable: He has issued a call
for Christian Arab citizens of Israel to reassess their Arab identity
and to consider themselves indigenous Christians, of Greek and Aramaic
origin, inextricably linked to the Jewish people and the Old Testament,
and to fortify that bond by serving in the Israeli army.
In late April, amid widespread condemnation
from Israel’s Arab minority, the IDF announced that, pursuant to
Naddaf’s request, it would begin inviting Christian Arabs to draft
boards in the Galilee in order to provide them with information about
the army. Col. Gil Ben-Sharon, the commander of the IDF’s recruitment
and draft unit, Meitav, said that “we won’t call them like all young
people, mandatorily,” but added that the Christian Arab citizens of
Israel “see themselves like all other citizens of Israel and want to do
the same as them.”
Since the founding of the state, Israel’s
Christian Arab citizens – today roughly 10 percent of Israel’s 1.5
million Arab citizens – have not been called to army service. Druze
communities, abiding by a pact made with the fledgling state, send their
sons to serve. Most willingly succumb to the draft. Bedouin Muslim
Arabs, some 400 per year, Ben-Sharon said, volunteer to serve in the
IDF. But the Christians, a minority within a minority, have excelled
scholastically and professionally in Israel while, either out of
ideological conviction or time-tested prudence, steadfastly maintaining
their Arab nationalism and Palestinian identity over what might be
considered shared Judeo-Christian theological roots.
“Why do the Druze serve? Why do the Bedouin
serve? But not the Christians?” Naddaf asked during a Times of Israel
interview. “Because they are scared.” And that, he suggested, had to
change. “It is time to say in a loud and clear voice: enough.”
Naddaf’s call and the army’s subsequent
response have created a maelstrom. MK Hanin Zoabi (Balad), a Muslim
former mayoral candidate in Naddaf’s hometown of Nazareth who rejects
all national service for Israel’s Arab citizens, penned him a letter
shortly after his call. “What you are doing is endangering the Christian
youth, when you separate him from his people and change him into an
enemy of his people and assist his true enemies,” she wrote, according
to a translation of the letter made available by Im Tirzu. “The Arab
Christians are not a neutral bridge,” she added, “…they are part of the
weave of our Arab Palestinian people… Our Palestinian people are the
ones under attack and what harms one sect harms us all.”
Her colleague MK Bassel Ghattas, an Arab of Christian heritage, reportedly vowed
[Hebrew], in an interview with the Arabic-language Al-Arab website, to
“chase down Father Naddaf and see to it that he is stripped of his
priestly garments.”
A Christian Arab woman from the Galilee town
of Rameh launched a Facebook page earlier this month titled “Fire Naddaf
From the Greek Orthodox Church.” She told The Times of Israel that
while there have been some violent threats on the page, which she has
edited out, most of the 6,300 people who have liked the page simply find
Naddaf’s message wrong-headed and dangerous. “We live within a
conflict, as a second-rate minority, within a nation that is occupying
our nation,” she said. “I can understand integrating into Israeli
society, but not through the army.” To do so, she added, would
constitute “very dangerous steps” that would sow “hatred between
neighbors.”
The Greek Orthodox Church in Jerusalem – an
opaque institution with considerable influence in Israel on account of
its vast land holdings, including the land on which the Prime Minister’s
Residence rests – has remained on the fence. Some of the church’s
ambivalence is self-evident in Patriarch Theophilos III’s official
title: His Most Godly Beatitude, the Patriarch of the Holy City of
Jerusalem and all Palestine, Syria, Arabia, beyond the Jordan River,
Cana of Galilee, and Holy Zion.
Theophilos’ spokesman, Issa Missleh,
reportedly a Palestinian from Beit Sahur, released a statement on
Israeli Independence Day earlier this month stating that Naddaf
“represents no one other than himself,” and that, consequently, and on
account of his “meddling” in political affairs, Theophilos III has
“decided to dismiss him from his position as head of the church in
Yafia.”
Naddaf, backed by a signed letter from MK Miri
Regev (Likud), the head of the Knesset Interior and Environment
Committee, who claimed to have received assurances from the patriarch
that Missleh’s statement was “not correct,” denies that he has been
dismissed, and has filed suit against Missleh.
But Naddaf is not in denial. He knows that his
life is in danger. He has been called a traitor. His car tires have
been slashed; bloody rags have been left outside his apartment building.
He is regularly threatened over the telephone and, last year, his son
was attacked outside his home by a youth wielding an iron club. The
streets of Nazareth, his hometown, are closed to him. “You can’t just be
right, you also have to be smart,” he said when explaining the
rationale that bars him from walking outdoors.
Speaking from his apartment in Nazareth a week
before Pope Francis’ arrival in Israel, along with Lebanon’s Maronite
Patriarch Beshara Rai — who has taken heat in Lebanon for his decision
to set foot on the soil of the Zionist entity, a move his predecessor
avoided when Pope John Paul II visited – Naddaf acknowledged that his
voice, as head of the Forum for Drafting the Christian Community,
remains in a distinct minority. But buoyed by a threefold rise in the
number of Christian servicemen in the IDF over the past year (still only
totaling 100-150 individuals), he is certain of two things: that no one
else will lead this crusade and that his community stands at a historic
crossroads that will not again present itself.
A soft-spoken rebel
Naddaf was born in Nazareth 40 years ago.
Then, as now, the town of Jesus’ birth was majority Muslim. There were,
he said, weekly demonstrations “to show that the government is not
okay,” but he was never drawn to them. Instead, to his parents’ dismay,
he found himself constantly drawn to the church and the Italian monks
who taught at his high school. When one of them came to Naddaf’s father,
a commercial painter, and told him that his son should join the clergy,
he sent him away.
At age 22, though, Naddaf gave up his plans of
becoming a lawyer or a police officer and was appointed a priest by the
Greek Orthodox Patriarch in Jerusalem at the time, Diodoros I. Five
years later, the new patriarch, Irenaeus I, made Naddaf his spokesman.
And it was at around that time that he began, quietly, agitating for
change. “All we learnt in the religious classes is that Jesus was born
in Bethlehem with the goats and how he was crucified and that is it. But
there is history…[not] just when born, when died, how many miracles
performed, who were his apostles, end of story.”
He said that he discussed with Irenaeus I his
belief that “Israel is the land of the Jews, the only land they have,”
and that the church ought to be more firm in asserting that. The
patriarch, he said, told him that raising the issue “will cause lots of
noise” and that he shouldn’t “deal with this now.”
Naddaf then admittedly glossed over the
ensuing war between Irenaeus I and his successor Theophilos III: the
battle over the sale of church lands in East Jerusalem and the exile of
Irenaeus I to a nook of an Old City church in Jerusalem, from which he declared to The New York Times
in 2011 that his predicament was entirely the fault of Theophilos III,
the current patriarch, “to whom ecclesiastical history will ascribe the
name traitor!” Instead he said merely that Theophilos III, who replaced
Irenaeus in 2005 and is considered far more aligned with the Palestinian
cause, appointed “a different spokesperson” and made Naddaf the head of
a church in Nazareth and a judge on the Christian religious court.
Naddaf likens the Arabic-speaking Christians in Israel, the minority of the minority, to the Jews of the Diaspora
There, he said, his focus was on change of a
different sort: removing the ancient furniture in the religious courts,
putting in a computerized system, and appointing a female office
manager. The married father of two also pushed for changes in female
reproductive rights. “This is not like 2000 years ago,” he said of
abortions. “There are cases that we can look at and allow it.”
These calls, he said, helped peg him as “the
one who is seen as always causing troubles,” but his reputation as such
rippled outside church circles only in October 2012. That was when he
and two other clergymen, at the behest of a Christian Arab officer
acquaintance, Maj. Ehab Shaliyan, issued the call to serve in the IDF.
“The next day I was lynched in the Arab
press,” he said. The threats began pouring in. The two other clergymen
stood by his side for a total of 24 hours before backtracking. “All
honor to you,” he said. “You lasted for one day.”
‘Enough with the lies’
Speaking casually about the reasons for his
call to service, Naddaf called the army “the melting pot” of Israeli
society and “the ticket” to full integration. He talked about Christian
mothers having to pay the same price as Jewish mothers and the need to
equitably “share the burden” of service. But his quest goes well beyond
integration.
Naddaf wants to carve out a new identity and a
separate community. He believes that in the coming years he can rally
50,000 Arabic-speaking Christians in Israel to align themselves with the
Jewish people and with Israel. The first order of business on the path
toward that new identity, he said, was “breaking the fear” that has
gripped the community. He likened the Arabic-speaking Christians in
Israel, the minority of the minority, to the Jews of the Diaspora: good
grades, pretty good jobs, few troubles. “Hostages,” he said, adding,
“the only time they feel free to identify as Christians is when they are
castigating me.”
Once that has been accomplished, the community
could examine the facts honestly, he said. Jesus spoke Aramaic. He
believed in the Old Testament. The only difference between Judaism and
Christianity is that Christianity sees the visions of the prophets as
having been realized during the lifetime of Jesus, he said. His
teachings revolve simply around the question of “what is more important:
the person or the [observance of] Shabbat.”
In fact, he defined his religion as Jewish,
his faith as Christian, and his citizenship as Israeli. Christians, he
said, “have a bond with the Jews. We have an allegiance with the Jewish
people; with the Muslims we are neighbors. There is no covenant there.
None at all.”
This was brought into focus by the Arab
Spring. Two hours north from Nazareth, he said, extremists are eager to
kill Jews and Christians alike. “If the devils there would come in, you
would be on Saturday and we would be on Sunday,” he said.
Ever since the day when Maj. Shaliyan
approached him and said ‘Father, enough with the lies,” he said, he has
felt that “God sent me on this mission. And that he still holds me for
this mission.”
In his apartment, pointing to a screen that
provides surveillance footage from several positions around his
apartment, he said he is certain that no one “ever, ever… will replace
me and take this sort of action in the State of Israel.”
Which, in the under-policed Arab sector in
Israel, could be ample reason to try to kill him, he acknowledged. “What
can I do?” he said. “Whatever happens, happens. I’m not one of those
people. I prefer to die like this rather than go back.”
Read more: The unorthodox priest who stands with the Jews | The Times of Israelhttp://www.timesofisrael.com/the-un-orthodox-priest-who-stands-with-the-jews/#ixzz32ZHiTzfI
Follow us: @timesofisrael on Twitter | timesofisrael on Facebook
WORLDWIDE PROTEST AGAINST ZIONIST ISRAEL
Missing is Riyad, Jeddah, Dubai, Masqat
From,
Humayun
Worldwide Protests Against Zionist Israeli Attacks on GazaChicagoNazareth (Photo:Activestills.org)Nablus (Photo:Activestills.org)Montreal, Canada. Photo courtesy of Under theOlive Tree which airs on CKUT 90.3 FM everyThursday from 11am – 12 noon. Learn more at http://www.mixcloud.com/UnderTheOliveTree/
No comments:
Post a Comment