RE: Your email to the Prime Minister
Yahoo/ALEX JONES, RON PAUL, DBSMITH
emailconfirmation@pmo.gov.uk
To:bafremauxsoormally@yahoo.co.uk
Thu, 17 Aug 2006 at 23:42
Dear
MR FREMAUX-SOORMALLY
Thank you for your message to the Prime Minister which you sent through
the Downing Street website (www.number-10.gov.uk).
We need to confirm that we have your correct details and that the
message shown at the bottom of this email is from you.
Click on the link below to confirm your message.
If you did not send this message, please contact the Downing Street web
team at mailto:webmaster@pmo.gov.uk.
Once you have confirmed your email, your message will be passed to
Downing Street staff to read. Although the PM is unable to answer emails
personally, all your messages are read and the PM is given a report on the
issues raised, along with a selection of messages.
Thanks,
The Number 10 Web Team
Here is the text we received:
RE: Prime Minister
THE SUNDAY TIMES
1 PENNINGTON STREET, LONDON E98 1ST
YUBA BESSAOUD, REPORTER
TEL : 020 7782 5205 - FAX : 020 7782 5731
PORTABLE : 07880 505775
EMAIL : yuba.bessaoud@sunday-times.co.uk
Ce jeudi 18 août 2006
Cher Monsieur,
Suite à votre visite 'non annoncée' de ce jour, j'ai transmis vos
coordonnées à la rédaction du site Stcom.net, ainsi qu'à l'un de ses avocats et
Monsieur Mohammed Al Fayed, le concerné. J'étais informé d'avance que des
cercles terroristes sionistes britanniques, sur les ordres de l'agent israélien
Nicolas Sarkosy, ministre de l'intérieur de France, venu hier en visite
'd'Etat' pour sauver sa tête, car il est menacé d'être emprisonné le mois
prochain en France, ce septembre 2006, pour être directement impliqué dans les
attentats de Madrid et de Londres. Lisez donc l'article ci-dessous qui dévoile
le terrorisme des cercles sionistes britanniques, français, américains et
israéliens qui ont monté de toutes pièces la dernière mise en scène des 'bombes
liquides', afin d'éviter un mini coup d'état contre Tony Blair et d'affaiblir
le soutien britannique à Israël durant la dernière campagne libanaise.
Sachez que tout article diffamatoire contre le site Stcom.net sera
considéré comme une provocation des services britanniques qui manipulent les
médias au nom du Grand Israël et les masses ignorantes. Et que lorsque vous
aurez compris l'article que je joins à ce message, vous saurez combien sont
fragiles ces cercles pro-israéliens et leurs marionnettes à Londres ou à Paris.
Pourquoi n'enquêtez vous donc pas sur la société israélienne responsable de la
sécurité du métro de Londres, cette société se nomme ICTS, elle est
dirigée par Ezra Harel, très bon ami de Ehud Olmert, criminel de guerre et
Premier Ministre sioniste, et Menachem Atzmon, Ariel Sharon. C'est la même
société qui était responsable de la sécurité des aéroports d'ou sont partis les
deux avions du 11 septembre 2001.
Comment une société dirigée par des israéliens et des anciens des
services secrets sionistes, qui eux mêmes contrôlent le bureau de Dick Cheney,
celui de Tony Blair et ses maîtres dont Lord Lévy, peut avoir le contrôle de la
sécurité nationale sans jamais être inquiété par la suite.. Les mercenaires qui
ont effectué l'opération de Londres à la Russe, le 07 juillet 2005, viennent
des camps bosniaques, montés par le MI6 durant la guerre de Bosnie, ce sont les
mêmes qui ont massacré des innocents en Algérie en 1997.*
'KEE
BETACH'BULOT TA'ASE LECHA MILCHAMA : AVEC LE TERRORISME NOUS MÈNERONS DES
GUERRES.' Devise des services terroristes sionistes.
Sincères Salutations,
B.A.Frémaux-Soormally
Copies à:
Rédaction Stcom.net, La Voix Des
Opprimés
Maitre Alain
Forestier, Avocat,
Monsieur Mohammed
Al Fayed.
Pr Tariq Ramadan
Right Honorable
Tony Blair PM
Honorable Harry
Cohen MP
P.S. Je fais le nécessaire pour changer l'enregistrement de l'adresse
du site stcom.net ce jour-même. Ce site n'a jamais été hébergé chez moi.
Tout article diffamatoire concernant mes intérêts privés dans cette affaire
mèneront automatiquement à des poursuites judiciaires contre l'hebdomadaire
Sunday Times et ses sources au niveau étatique, notamment au niveau de Scotland
Yard.
* Mon
analyse, à moi, a découvert les vrais coupables: ELSEVIER (PETER POWER) au
service de Scotland Yard, MI5, MI6, OTAN, ONU, et Israël de l’Apartheid
(Sabataï Tzévite)! Dès le premier jour, j’avais soupçonné Peter Power et les medias
d’avoir é dans le coup des attentats du 7 juillet 2005 orchestrés par l’État et
Satanyahu!
To:bafremauxsoormally@yahoo.co.uk
Thu, 17 Aug 2006 at 23:42
Thank you for your message to the Prime Minister which you sent through
the Downing Street website (www.number-10.gov.uk).
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message shown at the bottom of this email is from you.
Click on the link below to confirm your message.
If you did not send this message, please contact the Downing Street web
team at mailto:webmaster@pmo.gov.uk.
Once you have confirmed your email, your message will be passed to
Downing Street staff to read. Although the PM is unable to answer emails
personally, all your messages are read and the PM is given a report on the
issues raised, along with a selection of messages.
Thanks,
The Number 10 Web Team
Here is the text we received:
RE: Prime Minister
THE SUNDAY TIMES
1 PENNINGTON STREET, LONDON E98 1ST
YUBA BESSAOUD, REPORTER
TEL : 020 7782 5205 - FAX : 020 7782 5731
PORTABLE : 07880 505775
EMAIL : yuba.bessaoud@sunday-times.co.uk
Ce jeudi 18 août 2006
Cher Monsieur,
Suite à votre visite 'non annoncée' de ce jour, j'ai transmis vos
coordonnées à la rédaction du site Stcom.net, ainsi qu'à l'un de ses avocats et
Monsieur Mohammed Al Fayed, le concerné. J'étais informé d'avance que des
cercles terroristes sionistes britanniques, sur les ordres de l'agent israélien
Nicolas Sarkosy, ministre de l'intérieur de France, venu hier en visite
'd'Etat' pour sauver sa tête, car il est menacé d'être emprisonné le mois
prochain en France, ce septembre 2006, pour être directement impliqué dans les
attentats de Madrid et de Londres. Lisez donc l'article ci-dessous qui dévoile
le terrorisme des cercles sionistes britanniques, français, américains et
israéliens qui ont monté de toutes pièces la dernière mise en scène des 'bombes
liquides', afin d'éviter un mini coup d'état contre Tony Blair et d'affaiblir
le soutien britannique à Israël durant la dernière campagne libanaise.
Sachez que tout article diffamatoire contre le site Stcom.net sera
considéré comme une provocation des services britanniques qui manipulent les
médias au nom du Grand Israël et les masses ignorantes. Et que lorsque vous
aurez compris l'article que je joins à ce message, vous saurez combien sont
fragiles ces cercles pro-israéliens et leurs marionnettes à Londres ou à Paris.
Pourquoi n'enquêtez vous donc pas sur la société israélienne responsable de la
sécurité du métro de Londres, cette société se nomme ICTS, elle est
dirigée par Ezra Harel, très bon ami de Ehud Olmert, criminel de guerre et
Premier Ministre sioniste, et Menachem Atzmon, Ariel Sharon. C'est la même
société qui était responsable de la sécurité des aéroports d'ou sont partis les
deux avions du 11 septembre 2001.
Comment une société dirigée par des israéliens et des anciens des
services secrets sionistes, qui eux mêmes contrôlent le bureau de Dick Cheney,
celui de Tony Blair et ses maîtres dont Lord Lévy, peut avoir le contrôle de la
sécurité nationale sans jamais être inquiété par la suite.. Les mercenaires qui
ont effectué l'opération de Londres à la Russe, le 07 juillet 2005, viennent
des camps bosniaques, montés par le MI6 durant la guerre de Bosnie, ce sont les
mêmes qui ont massacré des innocents en Algérie en 1997.*
'KEE
BETACH'BULOT TA'ASE LECHA MILCHAMA : AVEC LE TERRORISME NOUS MÈNERONS DES
GUERRES.' Devise des services terroristes sionistes.
Sincères Salutations,
B.A.Frémaux-Soormally
Copies à:
Rédaction Stcom.net, La Voix Des
Opprimés
Maitre Alain
Forestier, Avocat,
Monsieur Mohammed
Al Fayed.
Pr Tariq Ramadan
Right Honorable
Tony Blair PM
Honorable Harry
Cohen MP
P.S. Je fais le nécessaire pour changer l'enregistrement de l'adresse
du site stcom.net ce jour-même. Ce site n'a jamais été hébergé chez moi.
Tout article diffamatoire concernant mes intérêts privés dans cette affaire
mèneront automatiquement à des poursuites judiciaires contre l'hebdomadaire
Sunday Times et ses sources au niveau étatique, notamment au niveau de Scotland
Yard.
* Mon
analyse, à moi, a découvert les vrais coupables: ELSEVIER (PETER POWER) au
service de Scotland Yard, MI5, MI6, OTAN, ONU, et Israël de l’Apartheid
(Sabataï Tzévite)! Dès le premier jour, j’avais soupçonné Peter Power et les medias
d’avoir é dans le coup des attentats du 7 juillet 2005 orchestrés par l’État et
Satanyahu!
Le forcené signait ses lettres par : »La prochaine n’arrivera par la poste »
04/11/2008
Pourquoi la justice française refuse-t-elle systématiquement d’explorer de façon impérieuse la piste « Raphaël SCHOEMANN » ?
Douze balles réelles accompagnées de menaces de mort, sont adressées à
douze personnalités opposées à la politique israélienne par un défenseur
autoproclamé des Juifs qui s’avère détenir chez lui un véritable
arsenal guerrier. Il avait adressé à douze 2personnalités une balle de
22 Long Rifle accompagnée d’un bristol portant la mention : « La prochaine n’arrivera pas par la poste ». Lors de son arrestation, la police avait découvert à son domicile un véritable arsenal.
Qui
a toujours en mémoire les pérégrinations rocambolesques, les
performances nuisibles et les agissements pernicieux de RAPHAEL
SCHOEMANN, un sexagénaire obsédé, maniaque, malfaisant qui assouvissait
ses fantasmes meurtriers et passait aux actes en envoyant plus d’une dizaine de lettres de menaces de mort à des « cibles « ainsi sélectionnées sur Internet?Ce
forcené était apparemment très bien renseigné et avait l’adresse
personnelledes personnalités qu’il accusait d’être pro palestinien et
les menaçait de mort. Et pourtant, il bénéficiera de mansuétude et d’une
justice « acquise à sa cause » par un verdict clément scandaleux qui
aura le risque certain de faire des émules chez ses sympathisants
persuadés qu’ils bénéficieront de l’impunité dans une démocratie soumise
à rudes épreuves. Et par quelle alchimie, Schoemann qui a transgressé
les lois de la république française s’en est tiré à si bon compte grâce au laxisme aggravé de ses juges qui se sont soumis apparemment à sa « logique », à sa volonté, aux ordres des sionistes.
Qui,
encore aujourd’hui, peut prétendre ne pas se souvenir de l’affaire
Raphaël Schoemann qui a longtemps défrayé la chronique et qui sera gravé
à tout jamais dans tous les esprits et dans les annales du grand
banditisme et du terrorisme ? Qui ne se souvient pas de Shoeman,
prototype parfait et exemplaire du sioniste et nervis agissant pour le
compte de groupuscules extrémistes, usant à satiété d’un terrorisme
féroce qui légitimait son acte de
terrorisme par le fait que, selon ses dires aux juges, il aurait été un
bébé interné dans un camp de concentration nazi ?Shoemann, ce maniaque, parfaitement équilibré, selon les experts psychiatres qui
ne peut être catalogué comme irresponsable ou caractériel illustre la
méthode psychologique perverse inventée par les sionistes pour se
blanchir du génocide des Palestiniens et de s’abreuver de leur sang.
Un trublions comme Shoemann qui revendique au fond que le droit de menacer, de terroriser, d’assassiner, de spolier des individus et des masses d’individus lui soit reconnu est arrivé à ses fins puisque la justice française avait usé d’un verdict clément à son égard, verdict dangereux à l’égard de la démocratie française ou plusieurs observateurs ont interprété le jugement clément et scandaleux rendu à l’encontre de Shoemann comme un blanc Seing donné à un tueur en puissance, ne redoutant apparemment pas l’engrenage et les foudres de l’appareil judiciaire français. Il serait aberrant et irrationnel de penser que celui a bénéficié de la clémence incompréhensible de la cour de justice ne soit pas en mesure d’entraîner dans son sillage d’autres forcenés convaincus qu’il ne seront pas poursuivis par l’appareil judiciaire français. Il serait totalement biscornu et ahurissant de penser que le génocidaire et raciste spoliateur puisse arriver un jour à jouir en paix, avec honneur et considération, des fruits de son crime. Il ne faut pas que l’humanité connaisse cette régression et une dérive décadente d’une démocratie et d’une justice à deux vitesses qui a trop longtemps prévalu et qui continue à prévaloir.
Shoemann
est une caractéristique problématique de celui qui parvient à pouvoir
jouir du profit de son crime tout en gardant la tête haute, et même
plus, qui arrivait à se faire plaindre, et dans le cas des sionistes,
toujours encore plus, se faire passer eux pour les victimes de ceux
qu’ils génocident et spolient sans discontinuité. Comment
de sinistres individus, à l’instar du tristement célèbre Shoemann
puissent revendiquer et exiger le droit de menacer, de terroriser,
d’assassiner, de spolier des individus et des masses d’individus, les
Palestiniens n’étant probablement et certainement que les premiers ? On se rappelle que Shoemann
avait été condamné à 10 mois avec sursis pour ses courriers contenant
des balles perforantes et tout un arsenal de guerre prêt à être utilisé
et qui ont été envoyés à des personnalités défendant la cause
palestinienne.
Il
faut que le plus possible de ses victimes, qui ont reçu ses balles et
ses menaces de mort, poursuivent jusqu’à leurs extrémités toutes les
voies de la procédure, tant au niveau national qu’international, depuis
la Cour de cassation française, la Cour européenne des droits de
l’homme, le Comité des droits de l’homme de l’ONU, la Cour pénale
internationale de La Haye, et par tout autre moyen légal qu’il nous
faudra imaginer afin que le parcours de ceux qui seraient tenté
d’initier les piètres exploits de SCHOEMANN ne puisent pas s’en sortir à
si bon compte..
On se souvient quele
tribunal correctionnel de Paris avait condamné Raphaël Schoemann, 65
ans, à 10 mois d’emprisonnement avec sursis et une mise à l’épreuve de
trois ans pour avoir envoyé en 2003 des lettres de menaces à une dizaine
de personnalités qu’il estimait proches de la cause palestinienne.
Dans
le cadre de la mise à l’épreuve, Raphaël Schoemann devait ne pas
posséder d’armes et ne pas contacter ses victimes. Il avait annoncé
qu’il ne ferait pas appel, le prévenu ayant réalisé en son for intérieur
la gravité de son crime et de surcroît avait anticipé sur le jugement
que les magistrats auraient réservé à son égard.
– UNE BALLE PAR LETTRE ET DES MENACES DE MORT PROFÉRÉES PAR ÉCRIT
On
se souvient que lors de son interpellation, un véritable arsenal avait
été retrouvé à son domicile, y compris un silencieux et un système
laser.
Raphaël Schoemann devait par ailleurs verser un euro symbolique de dommages et intérêts à chacune des victimes, parmi lesquelles l’ancien porte-parole de la Confédération paysanne, José Bové,lajuriste internationale Monique Chemiller-Gendreau, le député européen et dirigeant des Verts Alain Lipietz, au cinéaste Eyal Sivan et à d’autres personnes qui ont manifesté leur soutien à la cause palestinienne comme l’avocate Isabelle Coutant-Peyre. Tous avaient reçu une lettre contenant une balle réelle et une fiche Bristol avec l’inscription: « la prochaine n’arrivera pas par la poste ».
Raphaël Schoemann devait par ailleurs verser un euro symbolique de dommages et intérêts à chacune des victimes, parmi lesquelles l’ancien porte-parole de la Confédération paysanne, José Bové,lajuriste internationale Monique Chemiller-Gendreau, le député européen et dirigeant des Verts Alain Lipietz, au cinéaste Eyal Sivan et à d’autres personnes qui ont manifesté leur soutien à la cause palestinienne comme l’avocate Isabelle Coutant-Peyre. Tous avaient reçu une lettre contenant une balle réelle et une fiche Bristol avec l’inscription: « la prochaine n’arrivera pas par la poste ».
L’homme,
qui se disait être « un ancien déporté », avait été interpellé en
janvier 2004 grâce à un e-mail avec un « gros mot en arabe » qu’il avait
envoyé à l’une des victimes.
Vive déception des parties civiles :
Les parties civiles, qui avaient réclamé à juste titre 10.000 euros de
dédommagement chacune, se sont dit scandalisées par le jugement. « Il
est toujours difficile de s’étonner de l’absence de condamnation à une
peine de prison », avait souligné Me Coutant-Peyre « Avec un tel
arsenal, quand vous êtes basque ou corse ou musulman vous avez Sarko qui
parade avec la découverte d’une cellule d’Al-Qaïda », s’était insurgé
Gilles Munier, secrétaire général des amitiés franco irakiennes.
Le
5 mars 2003, le parquet de Paris avait ouvert une enquête préliminaire
sur des menaces de mort reçues par l’avocate parisienne Isabelle
Coutant-Peyre, compagne du révolutionnaire vénézuélien Carlos, et
d’autres personnes. L’avocate, qui a souvent publiquement manifesté son
soutien à la cause palestinienne, avait immédiatement écrit au ministre
de l’Intérieur pour lui demander de « faire assurer (s)a protection et
celle de (s)a famille ».
Raphaël Schoemann n’a été condamné qu’à 1 euro
pour ses menaces et la possession d’armes de guerre ce qui avait fait
dire à Gilles Munier : « La justice française est-elle à géométrie
variable ? »
Raphaël Schoemann, 65 ans, coupable
de « menace de mort matérialisée par écrit, image ou autre objet,
détention sans autorisation d’arme ou munition de catégorie 1 ou 4 »
avait été condamné par la 10ème Chambre correctionnelle de Paris à 10
mois de prison avec sursis et à verser … 1 euro symbolique de dommages et intérêts à ses « cibles ». Il avait adressé à douze
personnalités une balle de 22 Long Rifle accompagnée d’un bristol
portant la mention : « La prochaine n’arrivera pas par la poste ». Lors de son arrestation, la police avait découvert à son domicile un véritable arsenal.
Ce
verdict était scandaleux. Il faisait douter manifestement du sens des
responsabilités de la justice française et de son indépendance à l’égard
de certains lobbies, en l’occurrence du lobby israélien.
«
la prochaine n’arrivera pas par la poste ». Comment Raphaël Schoemann
fabrique des lettres de menace de mort, les expédie à ses destinataires
et fait accuser les autres à sa place, les autres qu’ils auraient
souhaité liquider à l’aide d’une balle de révolver pour ensuite faire
accuser toujours les autres ayant manifesté leur soutien à la cause
palestinienne de ses forfaits immondes et abjects conçus toujours dans
le même modus opérandi par ce forcené fanatique pro-israélien qui s’est
moqué des institutions françaises tout en mettant en déroute l’appareil
judiciaire français à géométrie variable « acquis à sa cause » ?
Et
le 17 janvier 2007, en récidivant par l’envoi de lettre accompagné de
balles de révolver, comparaissait à la 10ème chambre d’Appel du Palais
de justice de Paris Raphaël Schoemann, auteur de menaces de mort
matérialisées par l’envoi de 12 lettres anonymes accompagnées de balles
de 22 long rifle, et détenteur à son domicile d’un arsenal d’armes,
dont certaines parfaitement interdites en France. La justice française est-t-elle à géométrie variable ?– Affaire des douze personnalités menacées de mort par un fanatique pro-israélien :
La
série des douze menaces de mort envoyées par Raphaël Schoemann aura
donc été une non affaire, un non événement, un simple fait divers : ni
tempête médiatique, ni mobilisation générale pour la liberté
d’expression, ni montée en généralité et interpellation du « Judaïsme »
ou du « Sionisme ». Aucun quotidien n’aura jugé utile de poser en « Une »
la question « Peut-on encore critiquer Israël ? » (alors que Libération et beaucoup d’autres médias ont titré « Peut-on encore critiquer l’Islam ? » à l’occasion de l’affaire Redeker.
Ce
qu’il y a lieu de retenir, c’est le laxisme de l’appareil judiciaire
français qui a failli à son devoir face à douze balles réelles
accompagnées de menaces de mort qui ont été adressées à douze
personnalités opposées à la politique israélienne par un défenseur
auto-proclamé des Juifs et qui s’avérait détenir chez lui un véritable
arsenal guerrier prêt à être utilisé en toutes circonstances: tout le
monde laisse la police enquêter et la Justice trancher, en gardant la
tête froide, lisait-on dans les dépêches.
La
liste complète des personnes ayant reçu les menaces de mort de Raphaël
Shoemann, un forcené qui avait bénéficié de la clémence du tribunal par
un verdict scandaleux est la suivante : Eyal Sivan, Isabelle
Coutant-Peyre, Ginette Hess-Skandrani, Maria Poumier, Lucien Bitterlin,
Monique Chemiller-Gendreau, Alain Lipietz, Gilles Munier, José Bové,
Annie Coussemant, Mondher Sfar, Jean-Claude Willem , Gilles Munier,
Maria Poumier, Ginette Skandrani ou Mondher Sfar
SHOEMANN A AVOUE AVOIR « PARTICIPE ACTIVEMENT » A LA CONDAMNATION DE SMAIN BEDROUNI !
La revue hebdomadaire « Actualité-Juive » du 22/03/03 avait publié sa longue lettre (SHOEMANN) qui démarrait comme suit : « Dans votre article du n°972 du 8/03/07 relatif à la condamnation de Smaïn Bedrouni (à laquelle j’ai participé activement en mettant la police sur la piste de stcom.net) (…)
Enfin
pour ceux qui ne seraient pas au courant de l’affaire, Shoemann avait
été condamné en juin 2006 pour l’envoi de balles par courrier à diverses
personnes se situant variablement dans la mouvance dite
pro-palestinienne et peu importait la position sociale, professionnelle
de ces personnalités qui étaient devenus des cibles à abattre pour le
seul motif d’avoir agi, même verbalement, contre la mouvance
israélienne.
Or,
Smain Bedrouni a été accusé un peu plus tard des même faits pour ne pas
dire des faits similaires reproduisant à l’identique, le même scénario
inversé, avec une balle adressée par courrier à la Licra et au Mrap, ce
qui a fait dire à Jean-Yves Camus, au parti pris manifeste et afin de
dédouaner de toute responsabilité les sinistres exploits du trublion
SHOEMANN et qui rapporte l’affaire dans « Actualité-Juive » du 8/03/07
ce qui suit, à la fin de son papier :
«
Détail et qui a son importance : dans leur rédaction et leur mise en
scène (une balle réelle dans l’enveloppe), les menaces adressés par S.
Bedrouni sont exactement semblables à celles pour lesquelles un Juif de
la région parisienne avait été condamné en juin 2006. Sauf que dans ce
cas-là les cibles étaient des militants de la cause palestinienne. Dont
Isabelle Coutant-Peyre. ». L’allusion est on ne peut plus claire, mais
elle peut toute aussi bien être inversée !
On se souvient
qu’une peine de douze mois de prison avec sursis (jugement de 2006) avec
une mise à l’épreuve de deux ans avait été requise contre un homme de
65 ans, Raphaël Schoemann, jugé par le tribunal correctionnel de Paris
pour avoir envoyé en 2003 des lettres de menaces à une dizaine de
personnalités qu’il estimait proches de la cause palestinienne. Le
jugement a été mis en délibéré au 22 juin.
Palmarès édifiant et indétrônable :
Au cours de l’année 2003, Raphaël Schoemann a envoyé des lettres
anonymes à une dizaine de personnes, notamment l’ancien porte-parole de
la Confédération paysanne José Bové, le Vert Alain Lipietz ou l’avocate
Isabelle Coutant-Peyre, contenant une balle réelle et une fiche Bristol
avec l’inscription: « la prochaine n’arrivera pas par la poste ».
L’homme qui dit être « un ancien déporté » a été interpellé en janvier
2004 grâce à un e-mail avec un « gros mot en arabe » qu’il avait envoyé à
l’une des victimes et pourrait récidiver compte tenu de sa
détermination accrue à trucider tout ce qui s’opposerait à ISRAEL, à sa
politique et à son gouvernement.
Devant le magistrat
instructeur, lequel l’a mis en cause oralement dès la première audition,
il (Smaïn BEDROUNI) a sollicité la communication de pièces qui lui ont
été refusées et il a signalé au magistrat qu’une affaire tout à fait
similaire était connue de notoriété publique et qu’il serait fondé pour
respecter ses droits, de confronter les éléments de cette affaire avec
ceux de l’autre. Pourquoi la justice refuse d’explorer la piste de «
l’affaire SCHOEMANN » qui présente des coïncidences en cascade (douze
balles réelles accompagnées de menaces de mort, sont adressées à douze
personnalités opposées à la politique israélienne par un défenseur
autoproclamé des Juifs qui s’avère détenir chez lui un véritable arsenal
guerrier) alors que le même élément singulier (un seul et non douze)
aurait été retenu à l’encontre du prévenu, en l’occurrence le bouc
émissaire connu sous le nom de Smaïn BEDROUNI. La justice refuse de
faire le rapprochement avec l’affaire SCHOEMANN qui est pourtant
l’expert en la matière dans ce genre d’incartade qu’on attribue
abusivement au prévenu.
Dans cette correspondance portant le numéro 0880428 datée du 28 Août 2008 (RAPPORT) il est écrit :
Alors
qu’aujourd’hui, Smain Bedrouni doit affronter seul, sans aide
juridictionnelle, voire sans être assisté d’un avocat hors pair les
méandres, les pesanteurs bureaucratiques de la machine implacable
administrative française et les instances judiciaires françaises pour
des faits dont sa culpabilité n’a jamais été établi et encore moins
prouvé. Par contre, celui qui a son actif un beau palmarès triomphant,
en l’occurrence le sieur Raphael SHOEMAN ne sera curieusement jamais
interpellé par la justice française à géométrie variable et condamné
pour des faits irréfutables dûment établi. Et pourquoi donc l’avocate
Isabelle Coutant-Peyre s’est-elle « dessaisie » de l’affaire de son
client ? L’affaire de Marc MACHIN condamné injustement (et qui a déjà
purgé une peine de six ans de prison), présente dans tous les esprits
démonte à plus d’un titre les dysfonctionnements d’un système qui se
veut indépendant et impartial. Pendant que le véritable auteur des
lettres de menaces de mort, en l’occurrence Raphaël SHOEMAN mène la
Dolce vitae, la justice a orienté ses investigations dans une impasse et
s’est curieusement focalisé sur « un homme à abattre », un homme
qu’elle a déjà condamné à l’avance sans qu’aucune preuve ait établi de
façon péremptoire la culpabilité du prévenu.
Et
là, ou le bât blesse, c’est que Shoemann, le véritable instigateur des
faits qui ont injustement été reprochés à Smain Bedrouni et qui a avoué
avoir « participé activement » à la condamnation de Smaïn
Bedrouni a laissé les instances judiciaires françaises dans une
indifférence manifeste incompréhensible, des instances qui ont manifesté
étrangement un laxisme exacerbé et démesuré vis-à-vis du principal
instigateur qui a d’ailleurs démontré à de multiples reprises sa forte
capacité de nuisance notamment en adressant des menaces de mort par
lettre dans laquelle était inséré une balle de révolver. Les méfaits et
incartades du sinistre pro-israélien qui a son terrain de prédilection
envers les personnalités pour lesquels il n’a jamais partagé leur
idéologie, notamment leur position pro palestinienne s’est fait remarqué
par des méthodes expéditives radicales que la justice française n’est
pas censé ignorer. Alors pourquoi cet acharnement du TGI a vouloir se
focaliser abusivement sur la personne de Smain BEDROUNI pour des faits
qu’on devrait attribuer, sans l’ombre d’un doute et sans prendre le
risque de se méprendre, à Raphaël SHOEMAN qui a fait ses preuves dans
l’art de menacer, qui excelle remarquablement dans la manipulation et
qui représente un danger attesté et avéré pour la France et ses
institutions. Il n’est pourtant pas à exclure que la justice française,
parfaitement consciente des agissements nuisibles de Raphaël SHOEMAN ait
déjà signé le verdict à l’encontre d’un prévenu « imaginaire » auquel
on lui reproche des faits que déjà, dans le passé, Raphaël SHOEMAN
s’était tristement illustré par des faits similaire à l’encontre de
plusieurs personnes et qui bénéficie du laxisme des autorités
françaises, voire de la protection et de la connivence d’une institution
qui a décidé de s’en prendre injustement au Sieur BEDOUNI pour des
faits que la justice française a du mal à établir sa culpabilité, et si
culpabilité il doit y avoir absolument , et comme la fin justifie les
moyens, faudra-t-il produire et fabriquer des preuves pour confondre
Smain BEDROUNI dans des chefs d’inculpation qui lui sont reprochés et ou
il n’a rien à voir de prés ou de loin. Le TGI de PARIS aura besoin de
se forger une conviction indiscutable avec des preuves irréfutables
qu’il n’ont jamais été produites, hormis des galipettes, et ne pas
passer sous les silences les méfaits gravissimes de Raphael SHOEMAN qui a
d’ailleurs reconnu avoir « participé activement à la condamnation de Smaïn BEDROUNI ».
Il est vrai que SHOEMAN est arrivé aux buts qu’il s’est assigné et
qu’il n’a jamais été inquiété par les instances judiciaires françaises
et encore moins fait l’objet d’une interpellation avec comparution, Rue
du Palais (Quai des orfèvres), sis à PARIS. La fin justifiant les
moyens, SHOEMAN pourra encore faire des siennes, menacer de mort des
gens qui ne pensent pas comme lui et mettre à exécution ses « contrats
». SHOEMAN, le pro-israélien qui jouit d’une impunité totale dans ses
incartades et atteinte à la vie d’autrui ira vite en besogne en
envoyant encore des lettres de menaces à une ou vraisemblablement à
plusieurs personnalités qu’il estimera proches de la cause palestinienne
et de faire du territoire Français, son chef lieu de son combat qu’il
continuera toujours à poursuivre, une base arrière retranché afin de
défier la justice française et faire de la France un DOM-TOM d’ISRAEL.
Tout comme l’assassin revient toujours sur les lieux de son crime. Et que dire des gens pour le moins naïfs qui martèlent que SHOEMANN s’est repenti et qu’il s’est rangé. Tout
individu animé de bon sens (Le bon sens est la chose la mieux partagé
dans le monde selon Descartes) demeurera pantois et sidéré du fait que
Raphaël SHOEMANN n’a jamais payé pour ses multiples forfaits et comment
il peut les attribuer avec une facilité déconcertante à des tierces
personnes et pourquoi la police et l’appareil judiciaire français n’ont
pas diligenté d’enquête à l’encontre d’un « forcené » qui doit avoir
peut-être la bénédiction et de qui ?. Mieux encore, la BARAKA.
Il
n’est pas superflu de préciser que lors de l’interpellation de Raphael
SHOEMANN, un véritable arsenal avait été retrouvé à son domicile, y
compris un silencieux et un système de visé laser. Il n’est pas non plus
superflu de souligner expressément que les accusations portés à
l’encontre de Smaïn BEDROUNI ne font pas état d’un tel trésor de guerre
et d’armes sophistiqués prohibées que la police aurait retrouvé au
domicile de celui qui porte effectivement le chapeau de Shoemann ce
forcené qui a bénéficié de l’indulgence de ses magistrats.Il
n’est pas non plus à exclure que la justice française qui s’est
ridiculisé oriente dans un autre sens ses investigations afin de savoir
si SMAIN BEDROUNI dissimule chez lui des A.D.M. (Armes de destruction
massives). A titre préventif, ne serait-il pas judicieux de mettre un
terme aux méfaits de SCHOEMANN avant qu’il ne franchisse le Rubicon en
renouvelant ses exploits relevant d’un âge révolu. Il est vrai qu’avec
les piètres performances et remontrances de Schoemann, la France a frôlé
de peu un massacre, du genre de la tuerie de Nanterre.
Dans une correspondance référencée portant le numéro 0880428 datée du 28 Août 2008, Il est clair que Smain BEDROUNI est l’objet d’une manipulation grotesque et grossière tendant à lui accréditer des actes qui lui sont reprochés et dont on veut lui faire porter incontestablement le chapeau. La justice, au lieu de se focaliser sur le ou les chefs d’inculpation s’est orientée sur une autre voie, à savoir la personnalité du requérant considérée du point de vue de ses engagements politique ou spirituels, sans autre élément de preuve et sa vie privée. Pourquoi cette « diversion » contraire au code judiciaire, si ce n’est que la justice, dans l’impossibilité de produire des preuves irréfutables s’est contentée de brosser un portrait « sulfureux » du prévenu pour étayer ses accusations (Méthode déplorable), sans rapport avec les faits qui lui sont reprochés. Cette diversion du TGI est un aveu même de l’institution judiciaire qui a déjà condamné BEDROUNI et sans preuves formelles dûment établies mais qui semble faire les frais de l’instruction bâclée du dossier relatif à l’affaire SCHOEMANN qui n’a pas eu à répondre d’autres méfaits, à savoir la détention d’armes guerre interdite par la loi et d’autres faits répréhensibles dont SCHOEMAN n’a pas été inquiété, notamment pour introduction sur le territoire national de tout un arsenal d’armes de guerre.. Raphaël Schoemann n’est condamné qu’à 1 euro pour ses menaces et la possession d’armes de guerre (C’est à se demander comment SCHOEMANN a pu introduire sur le territoire national tout un arsenal de guerre, toute une artillerie de cette envergure ?) ! Pourquoi la Justice ne respecte pas le principe d’égalité de traitement et se borne à des spéculations dans un dossier vierge ou aucun élément à charge ne peut être retenu à l’encontre du prévenu ? Pourquoi la justice qui a failli à sa mission s’acharne sur un prévenu ou elle n’a pu produire aucun élément à charge à l’encontre du prévenu qui s’est pourvu en cassation.. Pourquoi cette « diversion » contraire au code judiciaire, si ce n’est que la justice, dans l’impossibilité de produire des preuves irréfutables s’est contentée de brosser un portrait du prévenu pour étayer ses accusations (Méthode déplorable), sans rapport avec les faits qui lui sont reprochés. Cette diversion du TGI est un aveu même de l’institution judiciaire qui a déjà condamné BEDROUNI et sans preuves formelles dûment établies mais qui semble faire les frais de l’instruction bâclée du dossier relatif à l’affaire SCHOEMANN qui n’a pas eu à répondre d’autres méfaits, à savoir la détention d’armes guerre interdite par la loi et d’autres faits répréhensibles dont SCHOEMAN n’a pas été inquiété, notamment pour introduction sur le territoire national de tout un arsenal d’armes de guerre..Raphaël Schoemann n’est condamné qu’à 1 euro pour ses menaces et la possession d’armes de guerre (C’est à se demander comment SCHOEMANN a pu introduire sur le territoire national tout un arsenal de guerre, toute une artillerie de cette envergure ?) !
D’autre part, les faits reprochés à Smain BEDROUNI sont particulièrement similaires à celui de Raphael SCHOEMANN qui a bénéficié d’un verdict clément scandaleux pouvant faire des émules puisque le dit verdit est loin de correspondre aux divers méfaits commis par un « terroriste » chevronné.
– LE SEUL ARGUMENT (QUI S’AVERE NE PAS EN ÊTRE UN) RETENU PAR LA JUSTICE A L’ENCONTRE DU PRÉVENU (SMAIN BEDROUNI) ET PAS LA MOINDRE PRÉSOMPTION
Durant toute la procédure, la présomption d’innocence à l’encontre de BEDROUNI n’a pas été respectée car il est totalement étranger aux faits pour lesquels il a le sentiment cruel d’avoir été bien injustement condamné dans une affaire qui présente beaucoup de similitudes avec l’affaire RAPHAEL SCHOEMAN.Dans une correspondance référencée portant le numéro 0880428 datée du 28 Août 2008, Il est clair que Smain BEDROUNI est l’objet d’une manipulation grotesque et grossière tendant à lui accréditer des actes qui lui sont reprochés et dont on veut lui faire porter incontestablement le chapeau. La justice, au lieu de se focaliser sur le ou les chefs d’inculpation s’est orientée sur une autre voie, à savoir la personnalité du requérant considérée du point de vue de ses engagements politique ou spirituels, sans autre élément de preuve et sa vie privée. Pourquoi cette « diversion » contraire au code judiciaire, si ce n’est que la justice, dans l’impossibilité de produire des preuves irréfutables s’est contentée de brosser un portrait « sulfureux » du prévenu pour étayer ses accusations (Méthode déplorable), sans rapport avec les faits qui lui sont reprochés. Cette diversion du TGI est un aveu même de l’institution judiciaire qui a déjà condamné BEDROUNI et sans preuves formelles dûment établies mais qui semble faire les frais de l’instruction bâclée du dossier relatif à l’affaire SCHOEMANN qui n’a pas eu à répondre d’autres méfaits, à savoir la détention d’armes guerre interdite par la loi et d’autres faits répréhensibles dont SCHOEMAN n’a pas été inquiété, notamment pour introduction sur le territoire national de tout un arsenal d’armes de guerre.. Raphaël Schoemann n’est condamné qu’à 1 euro pour ses menaces et la possession d’armes de guerre (C’est à se demander comment SCHOEMANN a pu introduire sur le territoire national tout un arsenal de guerre, toute une artillerie de cette envergure ?) ! Pourquoi la Justice ne respecte pas le principe d’égalité de traitement et se borne à des spéculations dans un dossier vierge ou aucun élément à charge ne peut être retenu à l’encontre du prévenu ? Pourquoi la justice qui a failli à sa mission s’acharne sur un prévenu ou elle n’a pu produire aucun élément à charge à l’encontre du prévenu qui s’est pourvu en cassation.. Pourquoi cette « diversion » contraire au code judiciaire, si ce n’est que la justice, dans l’impossibilité de produire des preuves irréfutables s’est contentée de brosser un portrait du prévenu pour étayer ses accusations (Méthode déplorable), sans rapport avec les faits qui lui sont reprochés. Cette diversion du TGI est un aveu même de l’institution judiciaire qui a déjà condamné BEDROUNI et sans preuves formelles dûment établies mais qui semble faire les frais de l’instruction bâclée du dossier relatif à l’affaire SCHOEMANN qui n’a pas eu à répondre d’autres méfaits, à savoir la détention d’armes guerre interdite par la loi et d’autres faits répréhensibles dont SCHOEMAN n’a pas été inquiété, notamment pour introduction sur le territoire national de tout un arsenal d’armes de guerre..Raphaël Schoemann n’est condamné qu’à 1 euro pour ses menaces et la possession d’armes de guerre (C’est à se demander comment SCHOEMANN a pu introduire sur le territoire national tout un arsenal de guerre, toute une artillerie de cette envergure ?) !
D’autre part, les faits reprochés à Smain BEDROUNI sont particulièrement similaires à celui de Raphael SCHOEMANN qui a bénéficié d’un verdict clément scandaleux pouvant faire des émules puisque le dit verdit est loin de correspondre aux divers méfaits commis par un « terroriste » chevronné.
Heureusement
que ce forcené a été appréhendé car dans le cas échéant, il n’aurait
pas hésité à ensanglanter la France. Bref, cet homme qui voulait prendre
la relève de Jacques MESRINE, l’ennemi public N°1, abattu sans
sommation en 1979, porte de Clignancourt par les policiers du
commissaire Broussard a vu son parcours s’arrêter net. Le verdict
prononcé à l’encontre de SCHOEMAN est aux antipodes de la démocratie, de
ses valeurs inaliénables qui ont été bafoués et du code pénal qui a
subi de graves entorses. Comment expliquer que la justice cherche
désespérément un bouc émissaire qu’elle a choisi afin qu’il paye pour
les forfaits commis par le fanatique sexagénaire du nom de Raphael
Schoemann ? Comment expliquer que la justice n’ait jusqu’à présent
produit la moindre accusation étayée dans le fond comme dans la forme à
l’encontre de BEDROUNI ? La justice française semble, et ce serait une
certitude se focaliser exclusivement sur la personnalité du prévenu, de
ses opinions politiques, de son passé sans commune mesure avec la
réalité et les faits imaginaires qui lui sont reprochés. Il est patent
de constater que la cour a déjà condamné Smain Bedrouni sans jamais
pouvoir apporter des preuves irréfutables aux chefs d’inculpation qui
lui ont été notifié. A défaut de pouvoir produire des preuves, la cour a
tergiversé et spéculé en mettant en exergue la personnalité exclusive
de BEDROUNI. Le requérant a d’ailleurs exposé qu’à aucun moment de la
procédure il ne lui a été permis d’accéder aux pièces de l’information
et il n’a pas même bénéficié de l’assistance de son conseil, pourtant
désigné et constitué et figurant aux pièces du dossier, notamment dans
les conclusions des parties civiles, à savoir Maître Isabelle
COUTANT-PEYRE, avocat au Barreau de Paris, laquelle n’a pas même été
tenue informée des dates d’audience, et ce, aussi bien en première
instance que devant la Cour d’Appel. Dysfonctionnement délibéré de
l’appareil judiciaire ou volonté extrême de nuire au prévenu en
l’envoyant à l’échafaud ?.
Or le principe de l’effectivité
du droit à un avocat est une constante de la jurisprudence et le
requérant s’est donc trouvé privé de moyens réels et légitimes de
défense. Lorsqu’il a été informé de cette seconde affaire qui a défrayé
la chronique et l’actualité (Affaire Schoemann), le requérant a
sollicité du magistrat instructeur de tenir compte de celle-ci qui
présentait des caractéristiques similaires, ce qu’a refusé le dit
magistrat, tout comme cela a été écarté devant le Tribunal de Grande
Instance puis devant la Cour d’Appel.
Appel de ce jugement a été relevé par le prévenu, le procureur de la République et les deux associations parties civiles ».
Il y a lieu d’ordonner une contre expertise pour conforter une expertise douteuse qui ne peut pas établir formellement que deux ou trois mots écrits sur une lettre correspondent au prévenu. Comment des graphologues (à supposer qu’ils en soient) assermentées et agrées(?) par la cour suprême peuvent-ils identifier, par deux expertises en écritures successives, le prévenu, comme étant l’auteur de deux ou trois mots et que leur jugement soit irrévocable et recevable devant une cour de justice ? Il y a lieu de faire la différence entre écrits litigieux (qui peuvent sous entendre que des pages incriminés auraient été expédiés au MRAP et la LICRA, ce qui est loin d’être le cas) et deux ou trois mots griffonnés menaçants. Toute la nuance que la justice a volontairement éludée est pourtant là dans toute son étendue. D’autre part, il est aisément facile d’imiter une signature, voire des écrits ou quelques mots et de les attribuer à une autre personne qu’on désire voir voué aux gémonies. Comme SCHOEMANN a clairement dit qu’il y était pour quelque chose dans les déboires judiciaires du prévenu, comment expliquer que la justice refuse d’explorer cette piste (Raphaël Shoeman), à croire qu’elle est frappé de tétanie, d’amnésie et que sa vigilance aurait été anesthésié. Et puis le prévenu peut exiger de la cour qu’elle désigne des graphologues privés (experts ne dépendant pas de la justice) pour effectuer une contre expertise.
D’ailleurs, comment expliquer que la justice soit « convaincu » de l’authentification des dits écritures qu’on attribue abusivement, à tort et à travers à Smaïn BEDROUNI alors que les expertises ont porté sur des éléments photocopiés ou pré imprimés et n’ont jamais visé les écritures émanant de SHOEMANN sur lequel pèse d’énormes présomptions, voire plus (pour peu que la justice daigne bien explorer la piste « Raphael SCHOEMANN) ?
Il est reproché au prévenu de s’être trouvé dans la région d’Aubusson, lieu d’envoi des lettres ( La cour peut-elle en apporter la preuve ? Il est très facile de jeter l’opprobre, l’ARBITRAIRE et le dévolu sur le prévenu qui a résidé un certain temps dans la Creuze pour lui coller toutes les affaires de ce département français). Et quand bien même, il aurait séjourné dans la région d’Aubusson, il ne serait visiblement pas le seul, le premier et/ou le dernier.
Il y a lieu d’ordonner une contre expertise pour conforter une expertise douteuse qui ne peut pas établir formellement que deux ou trois mots écrits sur une lettre correspondent au prévenu. Comment des graphologues (à supposer qu’ils en soient) assermentées et agrées(?) par la cour suprême peuvent-ils identifier, par deux expertises en écritures successives, le prévenu, comme étant l’auteur de deux ou trois mots et que leur jugement soit irrévocable et recevable devant une cour de justice ? Il y a lieu de faire la différence entre écrits litigieux (qui peuvent sous entendre que des pages incriminés auraient été expédiés au MRAP et la LICRA, ce qui est loin d’être le cas) et deux ou trois mots griffonnés menaçants. Toute la nuance que la justice a volontairement éludée est pourtant là dans toute son étendue. D’autre part, il est aisément facile d’imiter une signature, voire des écrits ou quelques mots et de les attribuer à une autre personne qu’on désire voir voué aux gémonies. Comme SCHOEMANN a clairement dit qu’il y était pour quelque chose dans les déboires judiciaires du prévenu, comment expliquer que la justice refuse d’explorer cette piste (Raphaël Shoeman), à croire qu’elle est frappé de tétanie, d’amnésie et que sa vigilance aurait été anesthésié. Et puis le prévenu peut exiger de la cour qu’elle désigne des graphologues privés (experts ne dépendant pas de la justice) pour effectuer une contre expertise.
D’ailleurs, comment expliquer que la justice soit « convaincu » de l’authentification des dits écritures qu’on attribue abusivement, à tort et à travers à Smaïn BEDROUNI alors que les expertises ont porté sur des éléments photocopiés ou pré imprimés et n’ont jamais visé les écritures émanant de SHOEMANN sur lequel pèse d’énormes présomptions, voire plus (pour peu que la justice daigne bien explorer la piste « Raphael SCHOEMANN) ?
Il est reproché au prévenu de s’être trouvé dans la région d’Aubusson, lieu d’envoi des lettres ( La cour peut-elle en apporter la preuve ? Il est très facile de jeter l’opprobre, l’ARBITRAIRE et le dévolu sur le prévenu qui a résidé un certain temps dans la Creuze pour lui coller toutes les affaires de ce département français). Et quand bien même, il aurait séjourné dans la région d’Aubusson, il ne serait visiblement pas le seul, le premier et/ou le dernier.
En conclusion, le dossier est vide (et manifestement il n’y a aucun élément à charge à l’encontre de BEDROUNI) et le pourvoi en cassation formulé et introduit par le prévenu contre l’arrêt rendu par la cour d’Appel de PARIS en date du 19/12/2007 et le mémoire personnel qu’il a transmis à la cour de cassation (reçu le 18/01/2008 par la cour) seront-ils susceptibles de blanchir le prévenu de faits anodin qui lui sont reprochés. Compte tenu de ces éléments d’information et d’appréciation pourront telles avoir gain de cause pour le prévenu qui ne bénéficie ni de l’aide juridictionnelle, ni même d’un avocat.
Le seul reproche qu’on pourrait faire à BEDROUNI qui a été une victime toute désigné d’une mystification et d’une parodie de justice est qu’il ne dispose pas d’un ou de deux avocats dans une affaire qui sent la manipulation avec des relents de vendetta ou la justice l’a déjà envoyé en pâture et à la vindicte afin de satisfaire les appétits des magistrats et à la mouvance sioniste qui gangrène les institutions françaises, notamment celui du ministère de la justice.
Pourquoi la justice française refuse-elle systématiquement d’explorer de façon impérieuse la piste « RAPHAEL SCHOEMANN » ? Pour quelles raison obscures et occultes, les magistrats refusent-ils systématiquement d’explorer de façon impérieuse la piste « Raphaël SCHOEMANN » ? Et est-il vrai qu’en France on ne condamne pas un militant de la L.D.J. (Ligue de Défense Juive) pour racisme car cela relève du domaine réservé de l’intouchable ?
Souleiman
Le 4 Novembre 2008
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Notez
Israel armes interdites ( crimes de guerre )
Les armes au phosphore blanc ne sont autorisées selon les conventions de Genève que pour éclairer un champ de bataille et en aucun cas ne peuvent être utilisées en zone habitée et/ou sur des civiles.
Combien de crimes de guerre encore avant une réaction de l'ONU et des Nations dites "démocratiques et droitdelhommiste", du Tribunal Pénal International, ou de tout autre organisme capable de réagir aux crimes de guerre!
Honte a ceux qui supportent Israel.
absmd
Les armes au phosphore blanc ne sont autorisées selon les conventions de Genève que pour éclairer un champ de bataille et en aucun cas ne peuvent être utilisées en zone habitée et/ou sur des civiles.
Combien de crimes de guerre encore avant une réaction de l'ONU et des Nations dites "démocratiques et droitdelhommiste", du Tribunal Pénal International, ou de tout autre organisme capable de réagir aux crimes de guerre!
Honte a ceux qui supportent Israel.
absmd
Dimanche 18 Janvier 2009
ALTERINFO
Inna lillahi wa inna ilaihi rajiun
ReplyDeleteIl n’est surtout pas question de blâmer uniquement les criminels juifs, les Sionistes, les Chrétiens, l’ONU, les Communistes, les Socialistes, et les Hindouistes sionistes, mais, AVANT TOUT, il faut condamner la complicité de plus d’un milliard de Musulmans de cette planète maudite, et surtout des Musulmans vivant en occident qui savent ou devraient savoir la vérité sur ces crimes qui ne cesseront pas tant que NOUS ne les faisons pas cesser. C’est avec leurs impôts que l’occident finance Apartheid Israël.
On ne peut reprocher à Satan de faire son sale travail, mais on DOIT reprocher aux Musulmans et aux Musulmanes de ne pas faire le leur ! Il y a SIX MILLIONS DE MUSULMANS en France qui ont peur de perdre leur travail, leur confort, et qui sont des serviteurs (esclaves) de la France avant DIEU et le Saint Prophète, paix et bénédiction sur lui, et il y a des millieurs de collaborateurs volontaires des Kuffar comme le Satanique Chevalier Boubakeur !
Dans leur ensemble, les Musulmans souffrent d’un cancer visiblement incurable, mais dont tous les symptômes (ainsi que le traitement et le prognostique) sont archi connus : polythéisme, ignorance, bassesse, égoïsme, ingratitude, amnésie, hypocrisie, lâcheté, et matérialisme. Mais, pour cela il faut UN CŒUR, et DU COURAGE !
Ghyslaine ROC
Ce dimanche 12 avril 6009
107ème Jour du Nouvel Holocauste de Ghazza, en Palestine occupée.
Devant le magistrat instructeur, lequel l’a mis en cause oralement dès la première audition, il (Smaïn BEDROUNI) a sollicité la communication de pièces qui lui ont été refusées et il a signalé au magistrat qu’une affaire tout à fait similaire était connue de notoriété publique et qu’il serait fondé pour respecter ses droits, de confronter les éléments de cette affaire avec ceux de l’autre. Pourquoi la justice refuse d’explorer la piste de « l’affaire SCHOEMANN » qui présente des coïncidences en cascade (douze balles réelles accompagnées de menaces de mort, sont adressées à douze personnalités opposées à la politique israélienne par un défenseur autoproclamé des Juifs qui s’avère détenir chez lui un véritable arsenal guerrier) alors que le même élément singulier (un seul et non douze) aurait été retenu à l’encontre du prévenu, en l’occurrence le bouc émissaire connu sous le nom de Smaïn BEDROUNI. La justice refuse de faire le rapprochement avec l’affaire SCHOEMANN qui est pourtant l’expert en la matière dans ce genre d’incartade qu’on attribue abusivement au prévenu.
ReplyDelete