Sunday 18 May 2014

BELGIQUE MANIFESTE CITOYEN DEBOUT LES BELGES



LE MANIFESTE CITOYEN

Préambule

Capture d’écran 2014-01-07 à 10.14.10 
Ces 100 dernières années ont été marquées par une amplification de l’asservissement de l’individu. La démocratie actuelle est un leurre. Les citoyens pensent avoir des droits mais ceux-ci sont en réalité cadenassés par le pouvoir en place qui défend des intérêts totalement étrangers au bien commun.
Pourtant, en tant qu’administré, le citoyen est en droit d’exiger du politique un véritable changement pouvant le conduire vers un monde éthique et fraternel.
Malheureusement, nos responsables politiques se renfermant dans la polarité gauche-droite, ne désirent pas apporter les solutions appropriées aux défis présents et à venir. Pire, ils sont aujourd’hui des créateurs de problèmes alors que leur rôle devrait être d’apporter des solutions durables et équitables. Leur manque de vision à long terme et leur soumission aux lobbys industriels ou bancaires mènent le pays droit dans le mur.
Nous estimons, de notre côté, que le Politique doit avoir pour tâche de mettre l’homme au centre de ses préoccupations dans le respect des convictions de chacun. Seul l’intérêt du citoyen doit compter !
L’Alternative est claire : le législateur doit se référer à l’éthique pour chaque décision adoptée et non aux lobbys ou aux intérêts économiques comme c’est actuellement le cas.
Ce Manifeste a pour ambition d’engager le Citoyen dans la voie qui lui garantit de vivre heureux et en harmonie dans la société belge.

1. Une Belgique démocratique et moderne

Capture d’écran 2013-12-17 à 10.07.03En respectant la volonté populaire, celle de l’attachement à notre pays, nous réclamons la pérennité de l’État BELGIQUE. Afin de mettre un terme définitif aux aspirations séparatistes de certains politiciens, nous souhaitons qu’un référendum soit organisé sur la question dans notre pays. Nul doute que les Belges décideront de rester unis. Nos élus pourront alors se consacrer à l’essentiel !
Debout Les Belges condamne la dérive fédéraliste qui s’est développée dans notre pays. Le modèle de l’État Unitaire basé sur nos 9 provinces historiques, simplifie la structure de l’État et évite des dépenses inutiles. Nous avons aujourd’hui trop de parlements, trop de politiciens, trop d’institutions. Nous gaspillons dès lors beaucoup trop d’argent dans ces structures inutiles au détriment des intérêts de nos concitoyens.
Parmi nos responsables politiques, certains, par repli identitaire, tentent d’imposer leur projet de démembrement de la Belgique. La raison appelle pourtant à l’Unité.
Les réformes successives de l’État nous ont conduits à des aberrations institutionnelles. En outre, les réformes de l’Etat n’ont rien apporté aux citoyens, seuls les politiciens en sortent vainqueurs.
Dans un souci de simplification et de proximité, il convient de supprimer les Communautés et les Régions. La Province doit reprendre sa place d’intermédiaire entre l’État et les Communes.
Nous plaidons pour la réunification de la Province du Brabant qui offrira à tous les Brabançons un meilleur vivre ensemble.
La fusion des 19 communes bruxelloises permettra à la Ville de Bruxelles de rayonner de toute sa splendeur comme Capitale Belge et Européenne. Cette fusion évitera les gaspillages, réduira les coûts de fonctionnement et permettra de mener des politiques plus globales et plus cohérentes.
Au niveau législatif, nous souhaitons que les citoyens reprennent leurs droits. La véritable Démocratie doit donner à tous ses Citoyens le droit de participer au vote et ne peut permettre aux partis politiques d’être financés par l’argent public.
Le droit au référendum (y compris d’initiative populaire – comme en Suisse) sur des sujets fondamentaux et après un véritable débat contradictoire, doit être inscrit dans la Constitution.
Capture d’écran 2014-01-29 à 19.47.22Nous pensons qu’une réelle démocratie ne peut s’installer dans une logique particratique. Ainsi, afin d’assurer la représentativité de l’institution, nous estimons que le Parlement doit, à l’avenir, se composer de citoyens tirés au sort et non d’élus de pères en fils. Cela impose de supprimer les partis politiques pour créer un système où des hommes et des femmes libres et indépendants voteront les lois sans influences extérieures, sans être enfermés dans une idéologie particulière mais en défendant uniquement l’intérêt du peuple. La politique ne serait plus un métier qu’on peut se refiler de père en fils. Ce système éviterait en outre le copinage et la corruption que nous connaissons plus particulièrement en Wallonie et à Bruxelles. Le Parlement citoyen nommerait les Ministres et le Chef de l’Etat. Le rôle du Roi ou le choix d’une République serait soumis à un référendum.
Enfin, il est temps de mettre un terme aux privilèges. En ce sens, nous souhaitons supprimer l’immunité parlementaire. Les élus doivent pouvoir rendre des comptes à la Justice comme tous les autres citoyens.

2. L’économie saine et productive

Capture d’écran 2013-11-12 à 19.50.41Le Citoyen doit reprendre en main l’Économie de son pays d’une manière responsable et éthique.
Nos banques ne devraient plus pratiquer l’usure ni se lancer dans des investissements hasardeux et spéculatifs. Une nouvelle dynamique serait alors créée dans notre économie. Il n’est pas acceptable de jouer avec l’argent des contribuables !
La propriété privée et l’épargne doivent être protégées et non servir de garanties aux créanciers de l’État. Lors de débats au Parlement, le Premier Ministre Di Rupo a fréquemment rappelé qu’il ne fallait pas s’inquiéter de l’explosion de la dette publique (près de 400 milliards d’euros) car l’épargne et le patrimoine immobilier des Belges dépassent largement le montant de la dette du pays. De tels propos sont inquiétants car ils signifient que nos élus estiment que votre patrimoine ne vous appartient pas mais qu’il appartient à l’Etat ! Incroyable mais vrai ! (http://www.youtube.com/watch?v=bSu-aB2Farw)
Puisqu’aujourd’hui l’argent injecté ne sert qu’à payer la charge des intérêts de la dette, il est faux de croire que la dette de l’État puisse diminuer un jour. La dette sert, aujourd’hui, de prétexte à nos dirigeants pour imposer toujours plus de sacrifices aux citoyens. Nous réclamons dés lors l’annulation pure et simple de la dette publique.
L’Etat n’a pas vocation à utiliser l’argent du contribuable pour sauver des banques privées. Le renflouement d’une banque ne peut, dès lors, se faire qu’après nationalisation complète de celle-ci et les responsables de la banqueroute doivent être pénalement poursuivis.
La fiscalité doit être équitable et les impôts doivent être réduits de manière significative (maximum 35% au lieu des 55% actuels).
L’argent public doit servir à la création de nouvelles entreprises et soutenir les PME et les artisans, véritables garants de la bonne santé de notre tissu économique.

3. Valoriser le travail

Meeting1Chaque personne doit pouvoir participer à la vie économique de la société. L’assistanat n’est pas la solution même si la limitation du chômage dans le temps telle que prévue par le législateur actuel pose plus de difficultés qu’il n’en résout. Nous privilégions la piste de la mise au travail au service de l’intérêt commun des demandeurs d’emploi de longue durée dans le respect des compétences de chacun.
Il faut encourager le travail et la création d’entreprises. Les plans pour l’emploi actuels (plan activa, etc…) sont des leurres qui ne profitent qu’aux employeurs, il convient de les supprimer. Il est important de revoir totalement le fonctionnement du Forem et d’Actiris. Ces institutions doivent adopter une posture plus dynamique. Les demandeurs d’emploi doivent pouvoir compter sur de vrais coachs dans leurs recherches. Ceci maximisera la réussite.
Enfin, nous devons encourager les indépendants et les PME.
Capture d’écran 2013-12-17 à 08.36.56Une simplification administrative accordera tout d’abord à chacun la liberté d’entreprendre. En outre, nous comptons aider les citoyens qui, au lieu de rester au chômage, décident de se lancer dans une activité indépendante ou la création d’une entreprise. Nous proposons d’offrir pendant un an à ces personnes un salaire de 1000 euros (environ ce qu’ils toucheraient au chômage) pour leur garantir une meilleure réussite. Un coach encadrerait la démarche afin d’éviter les effets d’aubaine. En cas de succès, ces nouveaux indépendants rembourseraient l’aide de l’Etat dans les 4 ans. En cas d’échec, aucun remboursement ne serait demandé. Voilà une véritable politique qui encourage le travail !
Un coup d’arrêt s’impose à toute forme de discriminations et d’inégalités entre les travailleurs.
Les discriminations et les inégalités basées sur le statut, le genre, la tenue vestimentaire, l’origine géographique, ethnique ou sociale, la conviction philosophique ou religieuse, l’âge ou l’handicap doivent être abolies.
Nous exigeons le maintien de l’âge de la retraite à 65 ans pour tous les travailleurs.

4. Innover l’enseignement

Capture d’écran 2014-02-02 à 16.19.51Le respect doit être la valeur fondamentale de la relation élève-enseignant. Cette relation est à reconstruire et passe par une revalorisation du statut des enseignants. Les parents se doivent également de montrer l’exemple en la matière.
Notre enseignement doit permettre à tout un chacun de trouver sa place dans notre société.
L’offre d’enseignement doit être gratuite et de qualité quelque soit la zone géographique concernée. Il doit être mis fin à la marchandisation du savoir.
Les rythmes scolaires doivent être adaptés de façon à permettre aux élèves d’avoir plus de temps pour des activités sportives et extra-scolaires.
Dans le primaire, l’école dispense entièrement les savoirs de base et les devoirs à domicile doivent être limités, les parents n’étant pas des enseignants.
Pour faciliter la transition primaire secondaire, l’élève doit avoir acquis des méthodes de travail efficaces pour faire face à la charge de travail supplémentaire en toute autonomie et ainsi éviter l’échec.
L’orientation vers la filière technique ou professionnelle, au deuxième degré du secondaire, ne doit plus être un second choix mais bien le résultat d’une décision libre et volontaire de l’élève.
Vu notre projet institutionnel, l’enseignement sera géré à deux niveaux de pouvoir : des pouvoirs organisateurs provinciaux autonomes pilotés par un pouvoir organisateur national. Chaque province doit avoir une autonomie partielle pour tenir compte de ses spécificités. Quant au pouvoir organisateur national, il mettra en place le socle commun des compétences et se chargera des contrôles externes (CEB, CESS).
Nos établissements scolaires sont des lieux public et donc représentatifs des diversités culturelles, philosophiques et religieuses de notre société. Ce sont des lieux qui se doivent d’être ouverts sur le monde et non refermés sur eux-mêmes. Les signes religieux quels qu’ils soient ne doivent plus être interdits à l’école.
Dans les cantines de nos établissements scolaires, le bio doit faire son entrée en privilégiant les produits de proximité. L’idéal serait que chacun puisse composer son repas librement sans qu’aucun mode alimentaire ne soit imposé à qui que ce soit.
L’enseignement ne doit pas se limiter au temps de l’obligation scolaire. En vue d’une réorientation et parce que l’évolution des connaissances et des technologies l’impose, l’apprentissage de nouveaux savoirs doit être accessible à toute personne.

5. Affirmer les droits sociaux

Actuellement, un vent d’ouest pousse nos décideurs politiques à prendre des mesures anti-sociales. Ces mauvaises décisions touchent les plus faibles d’entre nous.
Au contraire, dans des situations difficiles, nos mécanismes de solidarité devraient fonctionner de manière optimale. Il est ainsi primordial de revoir la limitation du chômage dans le temps décidée par nos responsables politiques.
Capture d’écran 2014-02-02 à 16.24.20Dans notre pays développé, il est inadmissible de mourir de froid ou de faim. Un logement et un revenu minimum doivent être assurés à toute personne en situation de précarité. Le nombre de banques alimentaires doit être multiplié et accessible à toutes les personnes dans le besoin.
Tout citoyen, quelle que soit sa situation sociale doit bénéficier d’un système de santé performant et efficace.
Nous souhaitons renforcer le rôle de la famille dans notre société par l’instauration d’un salaire parental pour l’homme ou la femme qui élève son enfant à la maison. En parallèle, il est important de revoir à la hausse le montant des allocations familiales par enfant à charge.
Au niveau de l’immigration, une meilleure gestion des demandes d’asile doit être mise en œuvre. Les centres d’accueil des réfugiés politiques et des sans-papiers se doivent d’être améliorés afin que ces personnes puissent séjourner dans des conditions plus respectueuses de la dignité humaine.
Notre pays doit favoriser l’immigration choisie et qualifiée mais il ne peut rester insensible à la détresse humaine. Afin de limiter l’immigration illégale en Europe, la Belgique se doit de peser de tout son poids sur la scène internationale pour mettre un terme aux opérations néo-colonialistes, sionistes et militaires aux 4 coins du monde.
Enfin, dans un objectif d’intégration, notre pays se doit de procéder, tous les 10 ans, à la régularisation des sans-papiers qui présentent des attaches durables dans notre pays et qui sont en mesure de participer à notre vie économique et sociale. Par contre, nous estimons que l’immigration ne peut être intéressée. Toute personne voulant venir en Belgique devra démontrer l’existence d’un contrat de travail car il n’est pas juste que les immigrés puissent immédiatement être à charge des citoyens belges en relevant du chômage ou du CPAS.
Capture d’écran 2014-02-02 à 16.32.45Tous les citoyens ont droit à une information objective et impartiale. Actuellement le discours médiatique n’est pas neutre et contribue à la division de nos concitoyens. Les médias doivent, sans délai, reprendre leur rôle d’information qu’ils ont abandonné au profit d’un rôle de propagande pour imposer la pensée unique.
Nous souhaitons affirmer la neutralité de notre pays et garantir la liberté de culte inscrite dans notre Constitution. A cette fin, nous souhaitons mettre un terme à la chasse actuelle aux signes religieux ostentatoires. Comment garantir la liberté de culte inscrite dans la Constitution si on empêche, sur leur lieu de travail, une femme catholique de porter une croix autour du cou ou une femme musulmane de porter le voile ? Ces interdictions sont en contradiction totale avec notre Constitution ! Il est impératif en outre de favoriser le bien vivre ensemble en multipliant les activités qui jettent des pont entre les différentes communautés de notre pays au lieu de favoriser, comme nos responsables politiques actuels, les replis identitaires.

6. L’Équité de la justice

Capture d’écran 2014-02-02 à 16.28.19Tous les citoyens doivent être égaux devant la loi. Les jugements doivent être rendus de manière équitable et ce, quelle que soit la situation sociale ou le rang des contrevenants.
Chaque citoyen doit avoir accès à la justice et à une défense efficace quels que soient ses revenus ou moyens financiers.
Il est du devoir du législateur de remédier à la lenteur de la justice et de la rendre accessible afin de donner à tous les administrés la possibilité de la saisir quand la situation le justifie.
Les jugements rendus dans les tribunaux ne peuvent léser les victimes qui doivent être au centre des préoccupations de la justice.
Les coupables doivent subir des peines proportionnelles à la gravité de leurs actes. Les viols et les agressions sexuelles sur majeurs ou mineurs doivent être plus sévèrement punis et les auteurs de crimes de sang ou de crimes envers les enfants doivent pouvoir être maintenus en prison jusqu’à leur décès pour protéger la société de leurs agissements.
La prison doit retrouver sa fonction principale. Ainsi, elle n’est pas un lieu de détente ni de villégiature mais un lieu de correction et de repentance. L’accent doit être mis sur la réinsertion et la formation des détenus. Pour les délits mineurs, les peines alternatives à la prison doivent être privilégiées. Enfin, la détention préventive doit être limitée au maximum et réservée aux délinquants qui constituent un danger pour la société.
Les juges exerçant dans nos tribunaux doivent être impartiaux et sélectionnés par leurs pairs suivant des critères objectifs et non sur base de critères politiques.
L’indépendance et la liberté de notre magistrature doivent être garanties et bétonnées dans notre constitution.

7. Assurer la sécurité matérielle et individuelle

Capture d’écran 2014-02-02 à 16.36.28Nous entendons offrir une sécurité accrue à la population en ré-affirmant l’autorité de notre police et en donnant les moyens à la justice d’être plus rapide, plus moderne et plus efficace.
Il convient de lutter contre le sentiment d’insécurité en instaurant dans les quartiers des comités citoyens de surveillance qui, non armés et se limitant à un rôle de référent, seront les relais des forces de l’ordre tant il est vrai qu’il est impossible de mettre un policier à chaque coin de rue.
Afin d’assurer la sécurité des citoyens nous estimons qu’il est du devoir des dirigeants d’octroyer les moyens nécessaires aux services de polices et de secours. Il serait par exemple temps que notre pays puisse se doter de services incendie professionnels.
Pour assurer la sécurité matérielle de tous les citoyens, nous devons abandonner la logique capitaliste et spéculative actuelle. Les biens des citoyens se doivent d’être protégés sans être, comme aujourd’hui, les jouets des dirigeants et des banques. Nous estimons donc qu’il convient d’interdire la spéculation bancaire et tendre vers la suppression de l’usure. Trop de citoyens perdent aujourd’hui leurs biens à cause de ces mécanismes ou d’une mauvaise information.
La protection matérielle des citoyens passe également par la suppression pure et simple des droits de succession perçus par l’Etat.

8. La Référence en écologie

Nous souhaitons défendre une écologie qui nous assure une indépendance énergétique et alimentaire.
Capture d’écran 2013-11-12 à 22.43.56Actuellement nous sommes dans une ère de gaspillages et de mal bouffe. En effet, nos décideurs politiques, sous l’influence de multinationales, ont favorisé des comportements individuels et collectifs qui ont des effets néfastes sur notre santé et notre environnement. Nous sacrifions notre planète au profit de multinationales pour lesquelles seul l’argent compte. Si nous laissons les mêmes comportements perdurer, notre planète court à sa perte.
Nos dirigeants doivent arrêter ce massacre. Alors que des millions de citoyens meurent de faim dans le monde, nos poubelles n’ont jamais été aussi remplies de nourriture en tout genre. Un changement de politique doit s’opérer mais une révolution des mentalités est également nécessaire chez les citoyens. Nous devons respecter notre environnement, opter pour les produits locaux et de saison et favoriser les commerces de proximité. L’écologie doit imprégner la vie de tous les citoyens. Pour limiter le gaspillage, il convient de taxer les grandes surfaces qui jettent les produits considérés comme impropres à la consommation (alors que ce n’est pas le cas) au lieu de les donner aux plus démunis.
En matière d’énergie, des politiques responsables doivent être mises en place. Il faut développer le photovoltaïque, l’éolien, la géothermie et d’autres sources d’énergies vertes. Pour ce qui est du nucléaire, nous nous positionnons en faveur d’une dénucléarisation totale du pays (y compris les ogives nucléaire américaine de Kleine Brogel) au profit d’énergies renouvelables déjà disponibles mais moins porteuses d’un point de vue économique.
Capture d’écran 2014-02-02 à 16.47.36Au niveau de l’agriculture, ce n’est pas aux grandes compagnies de distribution et aux multinationales de l’industrie agroalimentaire de déterminer les types de produits cultivés dans nos champs. Nos cultivateurs et nos éleveurs doivent être libres dans leurs choix de vie et de projets. Il est intolérable que nos agriculteurs deviennent les esclaves de Monsanto et les consommateurs leurs cobayes. Le législateur doit encourager le bio, la permaculture et la consommation des produits du terroir. Il doit également autoriser l’agriculteur à utiliser ses propres semences, cela enrichira nos variétés végétales.
Au niveau de la santé, les activités sportives seront soutenues et encouragées. Une médecine globale plus axée sur la prévention et moins soumise à l’industrie pharmaceutique doit être stimulée. La question de l’obligation vaccinale doit être remise en question et ne peut en aucun cas être cause de discrimination entre nos enfants.

9. Construire l’Europe des Citoyens

Le projet européen était noble au départ puisqu’il a permis d’établir un axe franco-allemand, vecteur de paix durable en Europe.
Notre Belgique, membre du Benelux, a toujours été une grande artisane de la construction européenne.
Capture d’écran 2014-02-02 à 16.51.08Malheureusement, les technocrates européens, sans légitimité démocratique, ont dénaturé ce projet. Au lieu de travailler dans l’intérêt des citoyens européens, ils se sont mis au service de lobbys et de créanciers sans scrupules. L’Europe est devenue une organisation non démocratique aux accents totalitaires.
La maison Europe est une construction supranationale dont les Etats membres ont des histoires, des économies, des législations et des démographies différentes. A cause de ces disparités et de l’absence d’uniformisation, l’Europe actuelle est malade. En effet, ces disparités sont créatrices de concurrence au sein-même de l’Union. Notre pays est touché de plein fouet par cette concurrence. Nous ne pouvons plus conserver l’Union européenne telle qu’elle existe aujourd’hui.
Capture d’écran 2014-02-02 à 16.51.28Doit-on abandonner le projet européen pour autant? Oui, si l’Europe persiste à être une organisation purement économique créatrice de misère et de régressions sociales pour un pays comme la Belgique et qu’aucune harmonisation complète des législations couplée à une uniformisation positive des salaires ne sont possibles. Non, si nous transformons cette Europe de l’argent en une Europe sociale qui respecte notre identité et notre souveraineté nationale. Il est en effet impossible de bâtir un espace harmonieux et pérenne uniquement sur des critères économiques.
Cette seconde option semble impossible aujourd’hui vu l’état d’esprit de ceux qui nous dirigent et pour lesquels seuls comptent l’argent et les puissants lobbys qu’ils représentent et c’est pourquoi nous proposons une sortie de l’Europe actuelle et de l’Euro.
Pour parvenir à construire une Europe du citoyen, un espace convivial, libéré des lobbys en tout genre, où des peuples de différentes cultures se rencontrent et dialoguent sur un même pied d’égalité, pour mieux se connaitre, il convient de mettre en œuvre les valeurs humanistes de liberté, de justice, de paix et de respect.
Ensuite les problèmes économiques peuvent se résoudre en grande partie en mettant fin à l’usure au niveau de l’Europe. Ce qui diminuera sensiblement la dette de nos pays et du même coup éloignera les spéculateurs.
Notre pays doit retrouver ses pouvoirs régaliens dont l’indépendance financière. Les banques nationales doivent retrouver leur rôle. Les banques nationales mettront en place des politiques financières appropriées à chaque Etat. Une sortie de l’Europe et de l’Euro ne doit pas être redoutée si l’Europe sociale est incapable de remplacer l’Europe du fric !
Capture d’écran 2013-12-09 à 17.40.18Pour créer une Europe éthique, nous devons, également, parvenir à construire une Europe émancipée, libérée de la tutelle de l’oncle Sam, du traité trans-atlantique, et trop calquée sur le modèle américain, l’allié du sionisme international. Une Europe indépendante, avec son propre projet politique qui se basera sur la recherche de la justice et de l’équilibre entre ses citoyens et dans ses relations avec les autres Etats du monde devra s’engager avec force dans la lutte contre le sionisme et les manipulations internationales, oeuvrant ainsi pour la paix dans un monde multipolaire et libre.
S’il est impossible de construire une Europe sur ces bases, mieux vaut abandonner le projet européen car celui-ci n’aura que des conséquences négatives à long terme.
Enfin, il n’est plus acceptable que notre pays suive les diktats des Etats-Unis qui se considèrent comme les maîtres du monde en s’octroyant le droit de créer des régimes, d’en dissoudre d’autres par la force armée ou d’opprimer certains peuples à cause des richesses de leur pays. Il convient donc de se retirer de toutes les organisations internationales troubles comme l’ONU ou l’OTAN. Il convient en outre de mettre un terme à l’ingérence belge en Afrique centrale (Congo, Rwanda, etc…) mais aussi de lutter contre le sionisme qui est un des plus grands fléaux mondiaux.

VOIR AUSSI LE MANIFESTE MUSULMAN DE GRANDE BRETAGNE




Muslim Parliament Manifesto

From Daryl's Encyclopaedia

THE MUSLIM MANIFESTO - a strategy for survival
Dr Kalim Siddiqui (RA) Former Director of The Muslim Institute

Dr Kalim Siddiqui former leader of Majlis al-Shura fi Britanya (Muslim Parliament)


Inrocks : Quenelle dans le Fion de Cochon


L’un des premiers gestes de Manuel Valls en tant que Premier ministre fut de recevoir un certain Matthieu Pigasse pour « parler de l’avenir » [Le Parisien]

Quand on sait que l’une des dernières actions de ce haut financier fut de « conseiller le gouvernement grec dans le processus de restructuration de sa dette », on peut craindre le pire !
Portrait haut en couleurs d’un de ces authentiques hommes de pouvoir dont l’influence sur nos vies est certainement plus grande que celle d’hommes politiques qui apparaissent, plus que jamais, comme de vulgaires employés de banque… littéralement.


Ce que Wiki dit :
– Ancien administrateur civil du ministère de l’Économie et des Finances
– Directeur général délégué puis vice-président de la Banque Lazard en Europe
– Propriétaire et président du magazine Les Inrockuptibles
– Actionnaire du journal Le Monde et du Huffington Post
Comme toujours, la fiche officielle Wikipédia France se montre fade et dresse l’inventaire des différentes opérations financières menées par le golden boy.
Et comme toujours, le plus intéressant est ailleurs…
(merci à la Librairie FACTA et Faits & Documents pour les infos exclusives)

Biographie
Matthieu Pigasse est né pendant les événements de mai 1968 à Clichy, dans une famille de gauche (la famille fêtera l’élection de Mitterrand en 1981 et son grand-père paternel fut député SFIO) et reçu une éducation protestante (adolescence chez les Éclaireurs Unionistes, scouts parpaillots donc ‘bien pensants’…)
Technocratie et Haute Finance

Diplômé de Sciences Po puis de l’ENA en 1994 (promotion Saint-Exupéry) Matthieu Pigasse effectue son premier stage à New York auprès de Thierry de la Villehuchet. Pas de chance, c’est là une bien mauvaise école : ce trader français se suicide à l’âge de 65 ans après la banqueroute de sa société qui avait « perdu » 1,4 milliard de dollars au cours du scandale de l’Affaire Bernard Madoff
Matthieu Pigasse rejoint ensuite le ministère des Finances et devient, en 1997, conseiller auprès de Dominique Strauss-Kahn jusqu’au départ de celui-ci (scandale de la MNEF, affaire Méry) puis directeur adjoint du cabinet de Laurent Fabius.
Des amitiés jamais reniées, même après les accusations de viol du patron du FMI :
« Je reste proche de Dominique […] c’est un immense gâchis.
Pour lui, pour les siens, pour nous. »
Au retour de la droite au pouvoir, Matthieu Pigasse part dans le privé, en 2002, comme associé-gérant à la Banque LAZARD, sur les conseils d’Alain Minc (plagiaire, économiste foireux proche de Nicolas Sarkozy, mais aussi ancien président du conseil de surveillance du Monde et membre du club Le Siècle : autant d’éléments à garder en mémoire pour la suite…)
C’est Matthieu Pigasse qui introduit cette grande banque d’affaires mondiale sur le marché en trouvant un investisseur institutionnel de référence.
L’opération assure un colossal enrichissement de tous les associés (des centaines de millions de dollars) [F&D]
En 2009, Le Point note ainsi que Matthieu Pigasse, qui avait toujours assuré qu’il ne vendrait jamais ses stock-options tant qu’il serait chez Lazard, a vendu pour 2,5 millions de dollars rien que pour 2006…
Refusant d’être catalogué comme un vulgaire jouisseur, il se voit en révolutionnaire argenté. Il affirme lutter contre les conservatismes, les rentes, les situations acquises et les privilèges… mais il refuse de donner le montant du bonus qu’il a touché chez Lazard [!]
Il déclare, avec l’aisance de ceux qui en ont, que pour lui, l’argent n’a pas de valeur et que, de toute façon, il ne possède rien et n’est pas du tout matérialiste.
[Le Figaro – 07/2010]
Un sens de la chutzpah qui devient de l’art quand Matthieu Pigasse évoque l’affaire Pulvar-Inrocks-Montebourg:

« Une polémique sans aucun fondement »… Ben voyons !

Les médias dans le sang
La famille Pigasse, c’est avant tout la presse : son père Jean-Daniel (directeur de La Manche libre après avoir été rédacteur à la Dépêche de la Manche), son grand père Albert (fondateur de la collection Le Masque, il introduisit en France les romans d’Agatha Christie), son oncle Jean-Paul (directeur de la rédaction de L’Express), son frère Nicolas (cofondateur du magazine people Public), sa sœur aînée Virginie (a travaillé au magazine Globe après être passé par Carbone 14) ainsi que les quelques 80 cousins germains de la famille Pigasse recensés parmi les journalistes (les plus connus : Sylvain Augier, Christophe Jean-Pierre…)


Un univers (et un réseau) vers lequel reviendra donc tout naturellement Matthieu Pigasse :
• En 2005, il organise la vente de Libération à Édouard de Rothschild, actionnaire concurrente de Lazard : point de fâcherie quand il s’agit de faire un p’tit billet !
• Actif dans d’autres médias, il conseille Murdoch sur Eurosport et finance le site Rue 89 – pour ceux qui croyaient que ce site « d’information » était indépendant (voir le chapitre Young Leaders)
• En 2009, il achète pour 3,5 millions € 77,5 % du capital de l’hebdomadaire Les Inrockuptibles, dont il préside le conseil d’administration.
Selon le Nouvel Observateur (juillet 2009) c’est Matthieu Pigasse, alors proche de Ségolène Royal « qui souhaite donner une dimension plus sociétale et politique » au magazine, et déclarera en 2010 en faire un « instrument d’opposition à Sarkozy ».
Cet outil de propagande assumée (et qui fera bien sûr partie de la meute anti-Dieudonné) illustrera parfaitement cette nouvelle direction :


• En juin 2010, Matthieu Pigasse prend le contrôle du quotidien Le Monde avec Pierre Bergé et Xavier Niel [lien]

• En novembre 2011 : projet de lancement du Huffington Post version française, avec déjà l’idée d’en donner la direction à son amie Anne Sinclair, 3ème ex-femme de Dominique Strauss-Kahn (et également membre du Siècle… parrainée, quel hasard, par Alain Minc).
En janvier 2012, Paul Ackermann est prévu comme rédacteur en chef du site : c’est un ancien du Figaro.fr, de 20mn… et du Bondy Blog (pour ceux qui se faisaient des illusions sur la nature profonde de ce blog…)

Gay friendly & Good business
• En février 2012, Matthieu Pigasse apparaît comme financier de la chaîne homosexuelle PINK TV aux côtés notamment de son collègue Xavier Niel. Pas de bol : dès avril, faute d’audience, la chaîne câblée vire carrément au porno intégral. Son fondateur, Pascal Houzelot, a toutefois réussi à obtenir l’une des rares fréquences parmi les chaînes TNT gratuites (quel chance !). Il se trouve que c’est lui qui a présenté à Matthieu Pigasse ses futurs associés au sein du Monde : Pierre Bergé et Xavier Niel (le trio rachètera ensuite pour trois fois rien le Nouvel Obs)
Le monde est bien fait… et petit !



Un an plus tard, visiblement intéressé par les médias gays, Matthieu Pigasse tentera de reprendre le magazine TETU, mais c’est Jean-Jacques Augier qui l’emportera (celui-ci est un des mandataires financiers pour l’élection présidentielle de Flamby… et impliqué dans le scandale Offshore Leaks)
• Juin 2012 : Matthieu Pigasse tente d’entrer au capital de Libé, grâce notamment à l’arrivée à l’Élysée comme conseiller de Flamby d’un certain David Kessler… qui se trouve être ancien directeur général des Inrocks ! Forcément…
Cependant, le projet sera rapidement abandonné, Libé étant au bord de la cessation de paiement et les principaux actionnaires refusant de renflouer une fois de plus… après tout, autant laisser le contribuable payer l’addition de la presse subventionnée, non ?
Du côté des Inrocks, la situation n’est guère plus brillante : la gestion de Matthieu Pigasse s’avère calamiteuse. En janvier 2013, l’hebdomadaire sera déficitaire pour la 3e année consécutive (2,5 millions € de déficit) et sa diffusion aura chuté de plus de 7 % !

Et ce, là aussi, malgré la perfusion du contribuable :

• En octobre 2012, Anne Hommel, ancienne conseillère en com’ de DSK quand il était patron du FMI, gère désormais l’image de Matthieu Pigasse.


Il y avait visiblement urgence : la direction de la Banque Lazard vient de « recadrer » son vice-président suite à la polémique Montebourg/Moscovici (scandale de la Banque publique d’investissement)
Il lui a été demandé « d’être plus discret » en matière politique…
Au contraire, c’est le moment d’en parler !

Banquier, mais « de gauche » !
Libération annonce en février 2009 que Matthieu Pigasse est membre du Parti Socialiste. [F&D]
Il est également membre du conseil d’administration de la Fondation Jean-Jaurès, réservoir de pensée du PS, ainsi que de la fondation pro-européenne Europa Nova.
Autant de cénacles mondialistes bien fréquentés : « gauche caviar » confine au pléonasme et « financier socialiste » n’est pas un oxymore.
Matthieu Pigasse est également administrateur du théâtre du Châtelet… nommé à ce poste par Bertrand Delanoë.
Embrayage toujours : pour célébrer les 30 ans de l’élection de François Mitterrand, il organise avec Pierre Bergé un concert place de la Bastille à Paris [lien]
Une petite fête à laquelle n’aura sans doute pas participé le monde ouvrier, sacrifié sans complexe lors du saccage industriel mis en œuvre par « tonton » Mitterrand… une broutille !


Le Monde des Réseaux
Avec Pierre Bergé, il nomme à la direction du Monde un certain Erik Izraelewicz (décédé depuis) grand défenseur du capitalisme libéral et financier, du mondialisme et de l’€uro.


Familier du Forum économique de Davos et membre du BilderbergErik Izraelewicz est comme Matthieu Pigasse, membre du Club le Siècle et passé par la French American Foundation.
Un monde de réseaux opaque (pour ne pas dire occulte) difficilement assumé quand on affirme être de gauche :
« Je n’appartiens à aucun réseau, à aucune association, à aucun club… »
— Matthieu Pigasse, People, avril 2012
Un gros bobard :
French American Foundation
Matthieu Pigasse fut Young Leader en 2005.
La liste des personnalités françaises, dûment sélectionnées et formées par les bons soins américains, montre à elle seule la puissance et la réussite de ce réseau [lien Atlantico] sponsorisé entre autres par la Banque Lazard (!) :
François Hollande, Arnaud Montebourg, Pierre Moscovici, Najat Vallaud-Belkacem, Marisol Touraine, Fleur Pellerin, Aquilino Morelle et Olivier Ferrand (feu président du laboratoire d’idées socialiste Terra Nova).
Alain Juppé, Nathalie Kosciusko-Morizet, Valérie Pécresse, Laurent Wauquiez, Jeannette Bougrab, Alain Minc
Et parmi le monde des médias : Emmanuel Carcassonne (éditions Grasset puis Stock), Laurent Joffrin (directeur du Nouvel Obs), Emmanuel Chain (M6), Jean-Marie Colombani (ancien directeur du Monde), David Fontaine (journaliste au Canard enchainé), Catherine Sueur (numéro 2 de Radio France), Stéphane Fouks (proche de Manuel Valls) ainsi que David Kessler et Pascal Riché (rédacteur en chef de Rue 89).
Le Siècle
Matthieu Pigasse a réussi à intégrer le très sélect club Le Siècle depuis peu.
Un gage de réussite : ce n’est jamais que le club le plus puissant de France qui réunit depuis plus de 60 ans les principaux dirigeants industriels, économiques, politiques, médiatiques et syndicaux (tous les détails sur ce réseaux révélés par Faits & Documents)

Les Gracques
En 2007, Matthieu Pigasse est impliqué dans le groupe de hauts fonctionnaires connu sous le pseudonyme « les Gracques » : c’est lui qui signera les statuts de l’association déposés en préfecture (n’assumant toujours pas, il niera en avoir été membre dans le Nouvel Obs en janvier 2010).
Parmi la vingtaine de membres, plusieurs journaux ont noté les noms de Jean-Pierre Jouyet, Denis Olivennes, Bernard Spitz… tous également membre du Siècle.

Les Gracques se définissent comme « un groupe de réflexion et de pression » (en anglais : lobby) qui souhaite une « rénovation de la gauche française autour de valeurs sociales-libérales » (oxymore !) et se disent « pro-européens et internationalistes ».
L’idéologie mondialiste à laquelle adhère pleinement Matthieu Pigasse :
« Plusieurs exemples attestent de la montée des réflexes protectionnistes […]
les Français, pour soutenir l’automobile, ce que je comprends, créent une distorsion de concurrence avec les autres constructeurs européens.
Toutes ces tentations nationalistes sont dangereuses. »

Paris-Match, février 2009
« L’Europe et l’€uro sont en danger […] selon le patron de Lazard France, il est impératif que le couple franco-allemand réagisse en lançant un emprunt conjoint » 
Le Point, avril 2012
« On a besoin d’immigration car c’est évidemment un facteur de diversité et de richesse, mais également pour des raisons économiques. »
RMC, mars 2012 (parole de financier !)
Vie privée : « même les koalas hésitent à faire ça ! »
En juin 2009, la presse people (dont la revue de son propre frère !) fait état d’une liaison avec la journaliste Marie Drucker et s’amuse du fait qu’elle fut plaquée la veille de son mariage :

Ce que la presse ne dit pas, c’est qu’une certaine Alix Étournaud est déjà enceinte du 3ème enfant de Matthieu Pigasse !
C’est cette dernière qui dévoilera cette sordide histoire dans une vraie-fausse autobiographie parue en décembre 2010 [sources 1 et 2]

Ce vaudeville (qui se terminera bien, le père ayant finalement épousé la mère de ses enfants) bien que croustillant fut étouffé même par les torchons pourtant avides de vendre du papier : Closer n’eut ainsi pas le courage de livrer le nom du « flamboyant banquier d’affaires âgé de 41 ans » [lien]
Cette même presse qui n’hésita pas en revanche à balancer les parties de jambes en l’air du président de la République ! [lien Turlutte à Flamby]
Des anecdotes qui ont le mérite de montrer qui est détenteur du vrai pouvoir.
Dans la série C’est qui, l’patron ?, la réponse est désormais très claire.
Quenelle de conclusion
Pour finir avec un peu de légèreté et en musique, notons que Matthieu Pigasse se pique de passion pour le punk rock.
Sans rire et sans complexe, le richissime financier se permet de donner la leçon dans le très ‘destroy’ Challenges.
L’occasion de tomber sur quelques perles :
« Sur la scène française, Manu Chao est lui aussi un descendant des Clash par l’authenticité de son engagement, son statut de citoyen du monde et son énergie inépuisable.»
Joe Strummer, qui chantait Bank Robber doit se retourner dans sa tombe !
« La reprise du My Way de Claude François et Frank Sinatra par Sid Vicious, l’ex-bassiste des Sex Pistols, en est une des interprétations les plus déchirantes.»
Le public jugera par lui-même d’une telle ânerie : vidéo
Quant aux Sex Pistols que Matthieu Pigasse cite comme référence, comment ne pas faire partager cet autre extrait du film La Grande Escroquerie du Rock’n’roll (ci-dessous) ?


Cette pantalonnade met en scène le (vrai) truand Ronnie Biggs et un (faux ?) nazi réfugié au Brésil, et tous de chanter Belsen was a gas : une chanson humoristique sur le camp de concentration de Bergen Belsen ! [lien]
Top à la déconne, Matthieu… avec ce clip, ça va zouker chez Lazard !

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