Monday 24 August 2020

WOOLHOUSE LYING WHEN HE ADMITS LOCKDOWN A MONUMENTAL MISTAKE - IT WAS A PLANNED MILITARY OPERATION!

 ZIONIST ISRAEL, JEW BILL GATES MAFIA, W.H.O., AND LEADING JEWS ARE BEHIND THIS MILITARY OPERATION, EUGENICS, 5G, AND FORCED VACCINATION PROGRAMME!

 Even in the United Kingdom of Judea it has become an offence or a crime to suggest ZIONIST ISRAEL is behind any wrong doing!

In the 1990s, they themselves announced ISIS was ISRAELI SECRET INTELLIGENCE SERVICE!!! 

COME ON, TOM WOODS, MORE ENGINEERED LIES!

WOOLHOUSE LYING WHEN HE ADMITS LOCKDOWN A MONUMENTAL  MISTAKE!

- IT WAS A PLANNED MILITARY OPERATION!  

AND IT SUCCEEDED BRILLIANTLY AS IT PROVED HOW STUPID WE ARE AND HOW EASY IT WAS TO TAKE OVER THE WHOLE WORLD!

Lockdown architect admits: "A monumental mistake"
Yahoo/Inbox
Tom Woods <tom@tomwoods.com>Unsubscribe
To:bafremauxsoormally@......
Mon, 24 Aug at 20:44
View in browser

We'll see if any American so-called experts admit their mistake -- there's certainly no media pressure forcing them to, that's for sure -- but here's what just happened in the UK.

Mark Woolhouse is a professor of infectious disease epidemiology and a member of the Scientific Pandemic Influenza Group on Behaviors that advises the government.

And he's now saying the lockdowns were a terrible mistake.

"At the time I agreed with lockdown as a short-term emergency response because we couldn’t think of anything better to do," he confesses. It was a "panic measure."

He now calls it a "monumental mistake":


"I believe history will say trying to control COVID-19 through lockdown was a monumental mistake on a global scale. The cure was worse than the disease.
He added: “I suspect right now more people are being harmed by the collateral effects of lockdown than by Covid-19."

This is why we can't listen exclusively to "public health officials," none of whom evaluate tradeoffs. They are convinced that whatever happens to be their primary or exclusive concern at the time should also be everyone else's primary or exclusive concern, and they set policy as if this is simply uncontroversial.

(It's not even clear whether the policies they advocate even help in the first place, but for the sake of argument we'll leave that aside.)

But there are significant side effects to the massive social engineering that the white coats and clipboards have imposed on society, whether those white coats deign to acknowledge them or not.


"This," says Woolhouse, "is why we need a broader range of people on the government advisory board SAGE [Scientific Advisory Group for Emergencies] with equal input from economists to assess the damage to incomes, jobs and livelihoods, educationalists to assess the damage to children and mental health specialists to assess levels of depression and anxiety especially among younger adults, as well as psychologists to assess the effects of not being able to go to the theatre or a football match."

And here's what he thinks about the strategy of some American governors: "
I would not dignify waiting for a vaccine with the term 'strategy.'"

And then, finally:

I never want to see national lockdown again. It was always a temporary measure that simply delayed the stage of the epidemic we see now. It was never going to change anything fundamentally, however low we drove down the number of cases, and now we know more about the virus and how to track it we should not be in this position again.

“We absolutely should never return to a position where children cannot play or go to school.

“I believe the harm lockdown is doing to our education,

  health care access, and broader aspects of 

our economy and society will turn out to be at least as great

  as the harm done by  COVID-19.”

Now that's an admission.

He adds that there was never any good reason to close the schools. I agree with that from a public health standpoint, but from an ideological standpoint it's in the schools where the naive confidence in the Establishnment and its crazy demands and policies is born.

Most people leave the government's schools with a serious case of what I call educational malpractice.

If this is you, and you'd like to learn the history and economics they didn't teach you, well, my dashboard university is just the thing:

 

http://www.LibertyClassroom.com

Tom Woods

P.S. Don't forget our secret coupon page.

 

Le vrai visage du COVID-19: une stratégie du choc pour imposer une société totalitaire ?

surveillance-20200731

Par Dr Pascal Sacré

« La peur n’est que la foi inversée ; c’est la foi dans le mal au lieu du bien. » Florence Scovel Shinn

Après plusieurs mois de crise COVID-19, des éléments pertinents d’analyse de cette crise apparaissent plus clairement.

  1. La pression énorme pour convaincre 7 milliards d’humains de la nécessité de se vacciner contre un virus [1] dont on a gonflé la mortalité [2] et qu’on dit omniprésent alors qu’il est en train de disparaître, voire a disparu.

Cela nous rappelle l’opération de 2009, avec la fausse pandémie H1N1 [3] : mêmes tactiques, mêmes complicités (médiatiques, politiques, gouvernementales), mêmes « experts », mêmes scénarios, mêmes narratives avec un accent sur la peur, la culpabilité, la précipitation et toujours la même odeur nauséabonde de cet argent omniprésent sous la forme de profits immenses à l’horizon pour l’industrie productrice de vaccins.

C’est comme si l’épisode H1N1 de 2009 avait servi de répétition.

Cette fois, l’épisode COVID-19 de 2020 est en passe de transformer l’essai en succès.


Tests de surveillance : Rassembler les données sur le COVID-19. Source : sph.umich.edu
  1. La capacité énorme des populations à se soumettre à l’autorité.

Malgré des indices évidents de corruption, d’incompétence, d’ignorance concernant des personnalités éminentes de la politique, de la science, de la médecine, beaucoup de personnes continuent de leur obéir.

Malgré des recommandations confuses, contradictoires, inexpliquées, injustifiables, beaucoup de personnes continuent de leur obéir.

Exemples :

  • 1) Au cœur de l’épidémie, le port des masques n’est pas obligatoire et même déconseillé pour les gens bien portants.
    2) Alors que l’épidémie s’éteint, les masques deviennent obligatoires partout pour tous.
  • 1) Beaucoup de médecins généralistes d’autres pays et l’IHU Méditerranée-Infection de Marseilles, l’un des plus grands centres d’infectiologie du monde, le plus grand de France, a démontré que l’hydroxychloroquine était efficace pour diminuer la contagiosité du SRAS et le nombre de cas sévères de COVID-19[4] .

2) En Belgique, « on » dit que c’est un médicament dangereux et inefficace et « on » empêche les médecins généralistes de le prescrire à leurs patients.

Des contradictions, des mensonges, des fausses vérités…

Ainsi de suite…

Bien sûr, la peur et le conformisme peuvent expliquer cette obéissance fabriquée.

Nous connaissons les expériences de Solomon Asch et de Stanley Milgram [5].

Cette tendance à la soumission et à l’obéissance n’est pas répartie de la même façon au sein des populations.

Ainsi en Serbie :

« Cassée, la progression implacable de la terreur coronavirale. Les Serbes récalcitrants se sont rebellés contre leur président lorsqu’il leur a ordonné de retourner en résidence surveillée. Après deux jours de batailles de rue avec des dizaines de policiers hospitalisés, les robustes manifestants ont gagné ; les autorités ont capitulé et ont renoncé à leurs plans de bouclage pour Belgrade. Les magasins, les bistrots et les restaurants de Belgrade auront un couvre-feu en début de soirée ; mais c’est beaucoup mieux que le bouclage complet qu’ils avaient prévu. » [6]

Par contre, en Belgique :

« De manière incompréhensible alors que l’épidémie, hormis de petits foyers (clusters), disparaît peu à peu[7] , des mesures coercitives sont à nouveau imposées, voire élargies[8] avec port obligatoire de masque partout, pour tout le monde, obligation de donner ses coordonnées dans les restaurants et les bars à des fins de tracking [9] … »

Tout cela n’est pas justifié.

Tout cela relance la peur, la terreur, et laisse craindre un retour vers le confinement partiel ou total (assignation à résidence) alors qu’aujourd’hui, on sait que cette mesure est inutile et délétère ! [10],[11]

Comme si la crise COVID-19 servait aux autorités de test grandeur nature pour évaluer le degré de soumission de leur peuple [12], et voir jusqu’où ils peuvent aller avant de rencontrer une opposition suffisante.

J’espère que le peuple belge, ce peuple le plus brave de la Gaule selon Jules César [13], aura le courage et la lucidité du peuple serbe et finira par se réveiller.

  1. L’utilisation d’experts en faisant croire à un consensus qui n’existe pas

Les gouvernements forment des conseils composés d’experts pour justifier leurs mesures.

Pour le citoyen, pourquoi mettre en doute les mesures en question ?

Toutefois, on l’a bien démontré au sein d’organisations comme l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), l’Agence Européenne du Médicament (AEM), le comité COVID-19 en France (le CARE) ou en Belgique (Sciensano-comité COVID-19), être expert ne veut pas dire être indépendant, libre de tout conflit d’intérêt, voire même compétent [14],[15].

Chaque fois qu’un gouvernement dit : « il y a un consensus d’experts sur cette question », c’est en fait un mensonge.

Cela veut seulement dire que leurs experts se sont mis d’accord, telle une officine autosuffisante et auto-satisfaite sans débat contradictoire.

Dans le COVID-19, vous pouvez trouver sur tous les sujets présentés comme consensuels :

  • Masques
  • Hydroxychloroquine
  • Confinement
  • Tests utilisés
  • Traitements
  • Vaccination

… d’autres experts aussi valables sur le plan des diplômes, de la réputation ou des activités exercées, dont les avis vont à l’encontre des diktats officiels, avec des arguments honnêtes, des démonstrations solides et des références multiples.

Pour le citoyen, comment faire la part des choses ?

À diplôme égal, à expertise équivalente, un bon critère de discernement est de vérifier l’absence de conflit d’intérêt.

Beaucoup d’auteurs qualifiés avec des avis opposés à ceux de leurs homologues gouvernementaux ne sont pas liés à l’industrie pharmaceutique ni aux gouvernements qui, finalement, veulent faire passer une idéologie, un programme politique et ont de plus en plus de comptes à rendre à l’industrie.

Ces auteurs indépendants ont également plus à perdre qu’à gagner dans ce débat d’avis.

Qu’est-ce qui pourrait les pousser à prendre des risques sinon leur honnêteté, leur conscience ? Ce n’est ni la gloire, ni l’espoir d’un contrat dans le privé, ni l’argent, en tout cas.

  1. La fabrication d’une fiction inspirée de faits réels et pour cela, utilisation d’une narrative qui finit par être répétée en boucle et crue sans plus être remise en question.

Le COVID-19 est une fiction basée sur des faits plausibles : un virus, de vrais morts, une vraie maladie, une épidémie de maladies respiratoires à laquelle sont ajoutés, au fur et à mesure, des déformations de vérités ou de réalités, voire carrément, des mensonges (Cf. ma série, COVID-19 : au plus près de la vérité).

Les coronavirus sont connus. Ils existent. Deux d’entre eux ont déjà menacé l’humanité d’épidémies meurtrières (SRAS, MERS).

Qu’importe si les faits ont montré que cette pandémie était fausse et que les experts avaient déjà manipulé les chiffres, la pandémie H1N1 de 2009 a préparé le terrain à l’idée que ça ne pouvait que revenir et qu’à nouveau, seule la vaccination pourrait nous sauver.

De vrais malades ont été hospitalisés et certains sont morts.

Tous ces éléments ont rendu l’histoire « COVID-19 » plausible.

La narrative COVID était lancée.

Pour pérenniser ensuite LA peur qui permette la mise en place d’une stratégie du choc à l’échelle d’une population, il fallait des tests présentés comme fiables, des chiffres de mortalité élevés, des indices de contagiosité effrayants et des capacités hospitalières limitées.

Dans ce processus, la participation conformiste des médias fut essentielle.

Comme chaque fois, ils ont bien joué leur rôle, annonçant chaque jour le nombre de morts et les attribuant au COVID-19 sans aucune discrimination.

Aujourd’hui, ils entretiennent la peur de deuxièmes vagues, de nouveau confinement en faisant passer, à tort, les cas de tests PCR positifs pour de nouveaux cas de COVID-19.

La Suède et d’autres pays, ainsi que certains états aux USA, n’ont pas joué le jeu, ou ont suivi leur propre agenda.


Stockholm durant la « pandémie Covid-19 »Source : Quartz

Ils n’ont pas confiné, ils ont moins traumatisé, ils sont restés plus humains.

Ils sont la preuve supplémentaire que l’histoire COVID-19 telle qu’elle a été instaurée dans les pays liberticides et coercitifs (Belgique, France, Espagne, Canada…) est bien une fiction avec des éléments réels, plongeant leurs populations dans un piège psychologique redoutable.

Tous ces points sont des indices que l’histoire COVID-19 est une stratégie du choc et les stratégies du choc ne sont jamais utilisées pour le bien des populations, pour votre bien ou pour le mien !

La stratégie du choc psychologique est une réalité, étudiée par plusieurs auteurs et chercheurs, dont Naomi Klein [16], avec son livre paru en 2007, « La Stratégie du Choc : la montée d’un capitalisme du désastre ».

Le but est de réaliser une tabula rasa, une page blanche et sur cette page blanche, de reconstruire ce qu’on veut.

Comment ?

« À l’échelle d’une population entière, en réduisant à néant le patrimoine d’un pays, ses structures sociales et économiques pour pouvoir y construire une nouvelle société, un nouvel ordre après le chaos planifié et contrôlé. 

Une fois le peuple privé de ses points de repères, mis en état de choc et infantilisé, il se retrouve sans défenses et devient facilement manipulable.

Ce processus peut s’appliquer suite à une grave crise économique ou politique, une catastrophe environnementale, un attentat, une guerre ou une crise sanitaire. » [17]

La stratégie du choc a été appliquée par des moyens économiques à la Grèce dans la foulée de la crise de 2008, entraînant des millions d’âmes dans la misère avec la complicité de leurs politiciens. [18]

La stratégie du choc a été appliquée par des moyens de terrorisme aux USA en 2001 et en France en 2015 avec l’instauration d’états d’urgence et de lois d’exception qui n’ont plus jamais été supprimés [19].

La stratégie du choc est aujourd’hui appliquée par des moyens de crise sanitaire, le COVID-19, à une partie du monde, dont mon pays, la Belgique.

« La terreur induite à grande échelle dans une société entraîne une sorte d’état d’hébétude, une situation où le contrôle peut facilement être obtenu à partir d’une autorité extérieure.

Il faut développer un état d’esprit immature chez la population afin de la contrôler au mieux.

La société doit être infantilisée. »

Ces idées ont été étudiées et diffusées par l’Institut Tavistock à Londres, créé au départ d’une clinique psychiatrique fondée en 1920, spécialisée dans le contrôle psychologique et le chaos social organisé [17].

Il est beaucoup plus facile de diriger une société par le contrôle mental que par le contrôle physique, au moyen de l’infantilisation, de la confusion, de la désinformation et de la peur.

N’est-ce pas ce qui est à l’œuvre, aujourd’hui ?

Les gens sont infantilisés…

On leur dit sur quel trottoir ils peuvent marcher, dans quel sens, quand ils peuvent rentrer dans un magasin et où ils doivent se moucher.

La peur est omniprésente.

Ceux qui refusent les masques sont rançonnés, regardés de travers, exclus, insultés, haïs.

Des milliers de gens voient leur travail menacé, leur vie entière compromise sans possibilité de manifester, de s’opposer.

Les vieillards sont abandonnés.

Les jeunes sont emprisonnés dans un monde masqué et confiné.

Les adultes sont précarisés.

Les gens d’une même famille, séparés.

La réflexion est paralysée.

La contestation, sanctionnée.

Si cette thèse est juste, il est à prévoir que notre gouvernement par « experts » et médias interposés, poursuive cette stratégie du choc et nous annonce toujours plus d’infectés, de morts et de vagues de COVID, quelle que soit la réalité des faits.

Les exemples de la Suède et de Belgrade sont des phares d’espoir dans cette perspective d’obscurité.

———————–

[1] Coronavirus: l’OMS tente de mobiliser politiques et acteurs économiques en vue d’ »un vaccin pour tous » sur la planète

[2] « Le chiffre de la mortalité due au coronavirus est un faux chiffre » selon le Dr. Lass

[3] Grippe H1N1, exemple de manipulation internationale, AIMSIB, 22 octobre 2018

[4] Bulletin d’information scientifique de l’IHU, Pr Philippe Parola, directeur de service de soins et d’unité de recherche à l’IHU Méditerranée Infection

[5] PSY-OP COVID-19 : assignés à résidence !, Dr Pascal Sacré, mondialisation.ca, 11 mai 2020

[6] Belgrade libérée, par Israel Shamir, maondialisation.ca, 13 juillet 2020

[7] La virulence du Covid-19 est-elle en train de diminuer ?, par Christophe De Brouwer, Contrepoints.org, 21 juillet 2020

[8] Les décisions du Conseil National de Sécurité. Les décisions ont été communiquées aux Belges à 13h30 lors d’une conférence de presse ce 24 juillet 2020

[9] Voici à quoi ressemble le formulaire-type pour l’enregistrement des clients horeca

[10] COVID-19 : au plus près de la vérité. Confinement, Dr Pascal Sacré, mondialisation.ca, 22 juillet 2020

[11] Confinement strict, surcharge hospitalière et surmortalité, PDF, mai 2020

[12] Opération COVID-19: Tester le degré de soumission des peuples, Dr Pascal Sacré, mondialisation.ca, 26 avril 2020

[13] Horum omnium fortissimi sunt Belgae, Wikipédia,  « De tous ceux-là les plus courageux sont les Belges», souvent traduite littérairement en français par « De tous les peuples de la Gaule, les Belges sont les plus braves.

[14] Politique et corruption à l’OMS, Dr Pascal Sacré, mondialisation.ca, 12 janvier 2010, réédité le 14 avril 2020

[15] Et les conflits d’intérêts, on en parle ?, 5 mai 2020.

[16] La Stratégie du choc : la montée d’un capitalisme du désastre (titre original : The Shock Doctrine: The Rise of Disaster Capitalism) est un essai socio-politique altermondialiste publié en 2007 par la journaliste canadienne Naomi Klein. Wikipédia

[17] MK Abus rituels et Contrôle Mental, Alexandre Lebreton, éditions Omnia Veritas, 2016

[18] Stratégie du choc : comment le FMI et l’Union Européenne bradent la Grèce aux plus offrants, Agnès Rousseaux, Bastamag, 20 juin 2013

[19] Quand la fin justifie les moyens : stratégie du choc et état d’urgence, 29 novembre 2016

-source:https://www.mondialisation.ca/le-vrai-visage-du-covid-19-une-strategie-du-choc-pour-imposer-une-societe-totalitaire/5647816

Source : Réseau International

 

 

 

Je lance un thread pour rire un peu. Ça consiste à balancer les mesures sanitaires les plus stupides à travers le monde. Les endormis arriveront-ils à voir l'aspect #CoronaCircus de tout ça ?

#BalanceTaMesureStupide
MEXIQUE : "Parler, chanter et crier propage également le coronavirus
Mettez le masque et utilisez-le correctement, c'est obligatoire"
Du coup dans les transports mexicains il est interdit de parler 🤦‍♀️

#BalanceTaMesureStupide #MasqueObligatoire
CANADA : "Essayez le «glory hole» pour des relations sexuelles plus sûres pendant le coronavirus"
Non ce n'est pas une blague mais une recommandation du CDC.
#BalanceTaMesureStupide #CoronaCircus
SERBIE : Diffusion d'un spot TV leur recommandant de pratiquer la levrette plutôt que le missionnaire pour éviter de se contaminer. 🤦‍♀️

#BalanceTaMesureStupide
ALLEMAGNE : "Un café allemand dit aux clients de porter des nouilles de piscine pour renforcer la distanciation sociale"
BRUXELLES : "Le port du masque est obligatoire entre chaque bouchée" 🤦‍♀️🤦‍♀️

Peut-on faire plus stupide ?

#BalanceTaMesureStupide #CoronaCircus
You can follow @KatnissC777.
Tip: mention @twtextapp on a Twitter thread with the keyword “unroll” to get a link to it.

 

Dr. Fauci: More evil than you thought
Yahoo/Inbox
Tom Woods <tom@tomwoods.com>Unsubscribe
To:bafremauxsoormally@
Wed, 26 Aug at 01:16
View in browser

It's true: I'm a Ph.D., and not a medical doctor.

But you obviously don't need to be a medical doctor to smell a rat.

Longtime readers will recall that years ago I had a public exchange with commentator Mark Levin on the subject of presidential war powers. He was defending Barack Obama's right to intervene in Libya on his own authority, and I was disputing that right.

That exchange got nastier than it needed to.

But forget all that.

Levin's recent interview with Harvey Risch is to my mind the most valuable and important thing he's ever done.

Harvey Risch is a professor of epidemiology at the Yale School of Public Health and Yale School of Medicine. He is associate editor of the Journal of the National Cancer Institute, editor of the International Journal of Cancer, and a member of the board of editors of the American Journal of Epidemiology.

Risch has been outspoken in defense of hydroxychloroquine, administered correctly, as a treatment for COVID-19.

Now I know what you're thinking: "all the experts" say it doesn't work, etc.

Well, not really.

Before we get to the Levin interview, here's an excerpt from an article Dr. Risch wrote last month (emphasis mine throughout):


As professor of epidemiology at Yale School of Public Health, I have authored over 300 peer-reviewed publications and currently hold senior positions on the editorial boards of several leading journals. I am usually accustomed to advocating for positions within the mainstream of medicine, so have been flummoxed to find that, in the midst of a crisis, I am fighting for a treatment that the data fully support but which, for reasons having nothing to do with a correct understanding of the science, has been pushed to the sidelines. As a result, tens of thousands of patients with COVID-19 are dying unnecessarily. Fortunately, the situation can be reversed easily and quickly.

I am referring, of course, to the medication hydroxychloroquine. When this inexpensive oral medication is given very early in the course of illness, before the virus has had time to multiply beyond control, it has shown to be highly effective, especially when given in combination with the antibiotics azithromycin or doxycycline and the nutritional supplement zinc.

On May 27, I published an article in the American Journal of Epidemiology (AJE) entitled, "Early Outpatient Treatment of Symptomatic, High-Risk COVID-19 Patients that Should be Ramped-Up Immediately as Key to the Pandemic Crisis." That article, published in the world's leading epidemiology journal, analyzed five studies, demonstrating clear-cut and significant benefits to treated patients, plus other very large studies that showed the medication safety.

Physicians who have been using these medications in the face of widespread skepticism have been truly heroic. They have done what the science shows is best for their patients, often at great personal risk. I myself know of two doctors who have saved the lives of hundreds of patients with these medications, but are now fighting state medical boards to save their licenses and reputations. The cases against them are completely without scientific merit.


In his interview with Levin, Risch went even further:

"In fact, the science is so one-sided in supporting this result that it's stronger than anything else I've ever studied in my entire career. The evidence in favor of hydroxychloroquine benefit in high-risk patients treated early as outpatients is stronger than anything else I've ever studied."

Risch goes on to recall that Dr. Anthony Fauci, who has resolutely denied any benefit from hydroxychloroquine, was similarly obstructionist (the similarity is almost eerie) in 1987, in the face of the AIDS epidemic.

At that time, there was a drug (Bactrim) that worked better than AZT and was very inexpensive, and which had an excellent record of treating the particular kind of pneumonia that was then the leading killer of people with AIDS. But the testimonies of countless frontline AIDS physicians meant nothing to Fauci, who -- in defiance of the scientific consensus -- discouraged its use. As many as 17,000 people died unnecessarily. You need to hear Dr. Risch, a mild-mannered academic, tell the story.

Incidentally, if the organized LGBT movement weren't in the tank for the Democrats, they'd be screaming with outrage right now, alerting Americans that Fauci is today doing to COVID patients what he had done to AIDS patients in 1987. But they'd rather stick it to Trump than stand up for themselves or for other suffering Americans.

(Interestingly, even Huffpost criticized Fauci for this back in 2014: "Dr. Anthony Fauci is rewriting history. He is doing so to disguise his shameful role in delaying promotion of an AIDS treatment that would have prevented tens of thousands of deaths in the first years of the epidemic." Of course, this was back when Fauci hadn't yet become sainted and untouchable; Huffpost would never have the courage to publish such a thing today.)

Click on the video to watch:



And then, if you value and enjoy what I'm doing, and would appreciate some pro-reality folks in your life, come maintain your sanity inside the Tom Woods Show Elite, otherwise known as the reality-based community:

 

http://www.SupportingListeners.com
 

Tom Woods


 

No comments:

Post a Comment