We'll
see if any American so-called experts admit their mistake -- there's
certainly no media pressure forcing them to, that's for sure -- but
here's what just happened in the UK.
Mark Woolhouse is a professor of infectious disease epidemiology and a
member of the Scientific Pandemic Influenza Group on Behaviors that
advises the government.
And he's now saying the lockdowns were a terrible mistake.
"At the time I agreed with lockdown as a short-term emergency
response because we couldn’t think of anything better to do," he
confesses. It was a "panic measure."
He now calls it a "monumental mistake":
"I believe history will say trying to control COVID-19 through lockdown
was a monumental mistake on a global scale. The cure was worse than the
disease." He added: “I suspect right now more people are being harmed by the collateral effects of lockdown than by Covid-19."
This is why we can't listen exclusively to "public health officials,"
none of whom evaluate tradeoffs. They are convinced that whatever
happens to be their primary or exclusive concern at the time should also
be everyone else's primary or exclusive concern, and they set policy as
if this is simply uncontroversial.
(It's not even clear whether the policies they advocate even help in the
first place, but for the sake of argument we'll leave that aside.)
But there are significant side effects to the massive social engineering
that the white coats and clipboards have imposed on society, whether
those white coats deign to acknowledge them or not. "This," says
Woolhouse, "is why we need a broader range of people on the government
advisory board SAGE [Scientific Advisory Group for Emergencies] with
equal input from economists to assess the damage to incomes, jobs and livelihoods, educationalists to assess the damage to children and mental
health specialists to assess levels of depression and anxiety
especially among younger adults, as well as psychologists to assess the
effects of not being able to go to the theatre or a football match."
And here's what he thinks about the strategy of some American governors: "I would not dignify waiting for a vaccine with the term 'strategy.'" And then, finally:
“I never want to see national lockdown again. It was always a temporary
measure that simply delayed the stage of the epidemic we see now. It was
never going to change anything fundamentally, however low we drove down
the number of cases, and now we know more about the virus and how to
track it we should not be in this position again.
“We absolutely should never return to a position where children cannot play or go to school.
“I believe the harm lockdown is doing to our education,
health care
access, and broader aspects of
our economy and society will turn out to
be at least as great
as the harm done by COVID-19.”
Now that's an admission.
He adds that there was never any good reason to close the schools. I
agree with that from a public health standpoint, but from an ideological
standpoint it's in the schools where the naive confidence in the
Establishnment and its crazy demands and policies is born.
Most people leave the government's schools with a serious case of what I call educational malpractice.
If this is you, and you'd like to learn the history and economics they
didn't teach you, well, my dashboard university is just the thing:
Le vrai visage du COVID-19: une stratégie du choc pour imposer une société totalitaire ?
Par Dr Pascal Sacré
« La peur n’est que la foi inversée ; c’est la foi dans le mal au lieu du bien. » Florence Scovel Shinn
Après plusieurs mois de crise COVID-19, des éléments pertinents d’analyse de cette crise apparaissent plus clairement.
La pression énorme pour convaincre 7 milliards d’humains de la nécessité de se vacciner contre un virus [1] dont on a gonflé la mortalité [2] et qu’on dit omniprésent alors qu’il est en train de disparaître, voire a disparu.
Cela nous rappelle l’opération de 2009, avec la fausse pandémie H1N1 [3] :
mêmes tactiques, mêmes complicités (médiatiques, politiques,
gouvernementales), mêmes « experts », mêmes scénarios, mêmes narratives
avec un accent sur la peur, la culpabilité, la précipitation et toujours
la même odeur nauséabonde de cet argent omniprésent sous la forme de
profits immenses à l’horizon pour l’industrie productrice de vaccins.
C’est comme si l’épisode H1N1 de 2009 avait servi de répétition.
Cette fois, l’épisode COVID-19 de 2020 est en passe de transformer l’essai en succès.
La capacité énorme des populations à se soumettre à l’autorité.
Malgré des indices évidents de corruption, d’incompétence,
d’ignorance concernant des personnalités éminentes de la politique, de
la science, de la médecine, beaucoup de personnes continuent de leur
obéir.
Malgré des recommandations confuses, contradictoires, inexpliquées,
injustifiables, beaucoup de personnes continuent de leur obéir.
Exemples :
1) Au cœur de l’épidémie, le port des masques n’est pas obligatoire et même déconseillé pour les gens bien portants.
2) Alors que l’épidémie s’éteint, les masques deviennent obligatoires partout pour tous.
1) Beaucoup de médecins généralistes d’autres pays et l’IHU
Méditerranée-Infection de Marseilles, l’un des plus grands centres
d’infectiologie du monde, le plus grand de France, a démontré que
l’hydroxychloroquine était efficace pour diminuer la contagiosité du
SRAS et le nombre de cas sévères de COVID-19[4] .
2) En Belgique, « on » dit que c’est un médicament dangereux et
inefficace et « on » empêche les médecins généralistes de le prescrire à
leurs patients.
Des contradictions, des mensonges, des fausses vérités…
Ainsi de suite…
Bien sûr, la peur et le conformisme peuvent expliquer cette obéissance fabriquée.
Nous connaissons les expériences de Solomon Asch et de Stanley Milgram [5].
Cette tendance à la soumission et à l’obéissance n’est pas répartie de la même façon au sein des populations.
Ainsi en Serbie :
« Cassée, la progression implacable de la terreur coronavirale.
Les Serbes récalcitrants se sont rebellés contre leur président
lorsqu’il leur a ordonné de retourner en résidence surveillée. Après
deux jours de batailles de rue avec des dizaines de policiers
hospitalisés, les robustes manifestants ont gagné ; les autorités ont capitulé et
ont renoncé à leurs plans de bouclage pour Belgrade. Les magasins, les
bistrots et les restaurants de Belgrade auront un couvre-feu en début de
soirée ; mais c’est beaucoup mieux que le bouclage complet qu’ils
avaient prévu. » [6]
Par contre, en Belgique :
« De manière incompréhensible alors que l’épidémie, hormis de petits foyers (clusters), disparaît peu à peu[7] , des mesures coercitives sont à nouveau imposées, voire élargies[8]
avec port obligatoire de masque partout, pour tout le monde, obligation
de donner ses coordonnées dans les restaurants et les bars à des fins
de tracking [9]… »
Tout cela n’est pas justifié.
Tout cela relance la peur, la terreur, et laisse craindre un retour
vers le confinement partiel ou total (assignation à résidence) alors
qu’aujourd’hui, on sait que cette mesure est inutile et délétère ! [10],[11]
Comme si la crise COVID-19 servait aux autorités de test grandeur nature pour évaluer le degré de soumission de leur peuple [12], et voir jusqu’où ils peuvent aller avant de rencontrer une opposition suffisante.
J’espère que le peuple belge, ce peuple le plus brave de la Gaule selon Jules César [13], aura le courage et la lucidité du peuple serbe et finira par se réveiller.
L’utilisation d’experts en faisant croire à un consensus qui n’existe pas
Les gouvernements forment des conseils composés d’experts pour justifier leurs mesures.
Pour le citoyen, pourquoi mettre en doute les mesures en question ?
Toutefois, on l’a bien démontré au sein d’organisations comme
l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), l’Agence Européenne du
Médicament (AEM), le comité COVID-19 en France (le CARE) ou en Belgique
(Sciensano-comité COVID-19), être expert ne veut pas dire être
indépendant, libre de tout conflit d’intérêt, voire même compétent [14],[15].
Chaque fois qu’un gouvernement dit : « il y a un consensus d’experts sur cette question », c’est en fait un mensonge.
Cela veut seulement dire que leurs experts se sont mis d’accord, telle une officine autosuffisante et auto-satisfaite sans débat contradictoire.
Dans le COVID-19, vous pouvez trouver sur tous les sujets présentés comme consensuels :
Masques
Hydroxychloroquine
Confinement
Tests utilisés
Traitements
Vaccination
… d’autres experts aussi valables sur le plan des diplômes, de la
réputation ou des activités exercées, dont les avis vont à l’encontre
des diktats officiels, avec des arguments honnêtes, des démonstrations
solides et des références multiples.
Pour le citoyen, comment faire la part des choses ?
À diplôme égal, à expertise équivalente, un bon critère de discernement est de vérifier l’absence de conflit d’intérêt.
Beaucoup d’auteurs qualifiés avec des avis opposés à ceux de leurs
homologues gouvernementaux ne sont pas liés à l’industrie pharmaceutique
ni aux gouvernements qui, finalement, veulent faire passer une
idéologie, un programme politique et ont de plus en plus de comptes à
rendre à l’industrie.
Ces auteurs indépendants ont également plus à perdre qu’à gagner dans ce débat d’avis.
Qu’est-ce qui pourrait les pousser à prendre des risques sinon leur
honnêteté, leur conscience ? Ce n’est ni la gloire, ni l’espoir d’un
contrat dans le privé, ni l’argent, en tout cas.
La fabrication d’une fiction inspirée de faits réels et pour cela, utilisation d’une narrative qui finit par être répétée en boucle et crue sans plus être remise en question.
Le COVID-19 est une fiction basée sur des faits plausibles : un
virus, de vrais morts, une vraie maladie, une épidémie de maladies
respiratoires à laquelle sont ajoutés, au fur et à mesure, des
déformations de vérités ou de réalités, voire carrément, des mensonges
(Cf. ma série, COVID-19 : au plus près de la vérité).
Les coronavirus sont connus. Ils existent. Deux d’entre eux ont déjà menacé l’humanité d’épidémies meurtrières (SRAS, MERS).
Qu’importe si les faits ont montré que cette pandémie était fausse et
que les experts avaient déjà manipulé les chiffres, la pandémie H1N1 de
2009 a préparé le terrain à l’idée que ça ne pouvait que revenir et
qu’à nouveau, seule la vaccination pourrait nous sauver.
De vrais malades ont été hospitalisés et certains sont morts.
Tous ces éléments ont rendu l’histoire « COVID-19 » plausible.
La narrative COVID était lancée.
Pour pérenniser ensuite LA peur qui permette la mise en place d’une
stratégie du choc à l’échelle d’une population, il fallait des tests
présentés comme fiables, des chiffres de mortalité élevés, des indices
de contagiosité effrayants et des capacités hospitalières limitées.
Dans ce processus, la participation conformiste des médias fut essentielle.
Comme chaque fois, ils ont bien joué leur rôle, annonçant chaque jour
le nombre de morts et les attribuant au COVID-19 sans aucune
discrimination.
Aujourd’hui, ils entretiennent la peur de deuxièmes vagues, de
nouveau confinement en faisant passer, à tort, les cas de tests PCR
positifs pour de nouveaux cas de COVID-19.
La Suède et d’autres pays, ainsi que certains états aux USA, n’ont pas joué le jeu, ou ont suivi leur propre agenda.
Ils n’ont pas confiné, ils ont moins traumatisé, ils sont restés plus humains.
Ils sont la preuve supplémentaire que l’histoire COVID-19 telle
qu’elle a été instaurée dans les pays liberticides et coercitifs
(Belgique, France, Espagne, Canada…) est bien une fiction avec des
éléments réels, plongeant leurs populations dans un piège psychologique
redoutable.
Tous ces points sont des indices que l’histoire COVID-19 est une stratégie du choc et les stratégies du choc ne sont jamais utilisées pour le bien des populations, pour votre bien ou pour le mien !
La stratégie du choc psychologique est une réalité, étudiée par plusieurs auteurs et chercheurs, dont Naomi Klein [16], avec son livre paru en 2007, « La Stratégie du Choc : la montée d’un capitalisme du désastre ».
Le but est de réaliser une tabula rasa, une page blanche et sur cette page blanche, de reconstruire ce qu’on veut.
Comment ?
« À l’échelle d’une population entière, en réduisant à néant le
patrimoine d’un pays, ses structures sociales et économiques pour
pouvoir y construire une nouvelle société, un nouvel ordre après le
chaos planifié et contrôlé.
Une fois le peuple privé de ses points de repères, mis en état de choc et infantilisé, il se retrouve sans défenses et devient facilement manipulable.
Ce processus peut s’appliquer suite à une grave crise économique
ou politique, une catastrophe environnementale, un attentat, une guerre
ou une crise sanitaire. » [17]
La stratégie du choc a été appliquée par des moyens économiques à la
Grèce dans la foulée de la crise de 2008, entraînant des millions d’âmes
dans la misère avec la complicité de leurs politiciens. [18]
La stratégie du choc a été appliquée par des moyens de terrorisme aux
USA en 2001 et en France en 2015 avec l’instauration d’états d’urgence
et de lois d’exception qui n’ont plus jamais été supprimés [19].
La stratégie du choc est aujourd’hui appliquée par des moyens de
crise sanitaire, le COVID-19, à une partie du monde, dont mon pays, la
Belgique.
« La terreur induite à grande échelle dans une société entraîne
une sorte d’état d’hébétude, une situation où le contrôle peut
facilement être obtenu à partir d’une autorité extérieure.
Il faut développer un état d’esprit immature chez la population afin de la contrôler au mieux.
La société doit être infantilisée. »
Ces idées ont été étudiées et diffusées par l’Institut Tavistock à
Londres, créé au départ d’une clinique psychiatrique fondée en 1920,
spécialisée dans le contrôle psychologique et le chaos social organisé
[17].
Il est beaucoup plus facile de diriger une société par le contrôle mental que par le contrôle physique, au moyen de l’infantilisation, de la confusion, de la désinformation et de la peur.
N’est-ce pas ce qui est à l’œuvre, aujourd’hui ?
Les gens sont infantilisés…
On leur dit sur quel trottoir ils peuvent marcher, dans quel sens,
quand ils peuvent rentrer dans un magasin et où ils doivent se moucher.
La peur est omniprésente.
Ceux qui refusent les masques sont rançonnés, regardés de travers, exclus, insultés, haïs.
Des milliers de gens voient leur travail menacé, leur vie entière compromise sans possibilité de manifester, de s’opposer.
Les vieillards sont abandonnés.
Les jeunes sont emprisonnés dans un monde masqué et confiné.
Les adultes sont précarisés.
Les gens d’une même famille, séparés.
La réflexion est paralysée.
La contestation, sanctionnée.
Si cette thèse est juste, il est à prévoir que notre gouvernement par
« experts » et médias interposés, poursuive cette stratégie du choc et
nous annonce toujours plus d’infectés, de morts et de vagues de COVID,
quelle que soit la réalité des faits.
Les exemples de la Suède et de Belgrade sont des phares d’espoir dans cette perspective d’obscurité.
[13]Horum omnium fortissimi sunt Belgae, Wikipédia, « De tous ceux-là les plus courageux sont les Belges», souvent traduite littérairement en français par « De tous les peuples de la Gaule, les Belges sont les plus braves.
Je lance un thread pour rire un peu. Ça consiste
à balancer les mesures sanitaires les plus stupides à travers le monde.
Les endormis arriveront-ils à voir l'aspect #CoronaCircus de tout ça ?
MEXIQUE : "Parler, chanter et crier propage également le coronavirus Mettez le masque et utilisez-le correctement, c'est obligatoire" Du coup dans les transports mexicains il est interdit de parler
CANADA : "Essayez le «glory hole» pour des relations sexuelles plus sûres pendant le coronavirus" Non ce n'est pas une blague mais une recommandation du CDC. #BalanceTaMesureStupide#CoronaCircus
SERBIE : Diffusion d'un spot TV leur
recommandant de pratiquer la levrette plutôt que le missionnaire pour
éviter de se contaminer.
But you obviously don't need to be a medical doctor to smell a rat.
Longtime readers will recall that years ago I had a public exchange with
commentator Mark Levin on the subject of presidential war powers. He
was defending Barack Obama's right to intervene in Libya on his own
authority, and I was disputing that right.
That exchange got nastier than it needed to.
But forget all that.
Levin's recent interview with Harvey Risch is to my mind the most valuable and important thing he's ever done.
Harvey Risch is a professor of epidemiology at the Yale School of Public
Health and Yale School of Medicine. He is associate editor of the Journal of the National Cancer Institute, editor of the International Journal of Cancer, and a member of the board of editors of the American Journal of Epidemiology.
Risch has been outspoken in defense of hydroxychloroquine, administered correctly, as a treatment for COVID-19.
Now I know what you're thinking: "all the experts" say it doesn't work, etc.
Well, not really.
Before we get to the Levin interview, here's an excerpt from an article Dr. Risch wrote last month (emphasis mine throughout):
As
professor of epidemiology at Yale School of Public Health, I have
authored over 300 peer-reviewed publications and currently hold senior
positions on the editorial boards of several leading journals. I
am usually accustomed to advocating for positions within the mainstream
of medicine, so have been flummoxed to find that, in the midst of a
crisis, I am fighting for a treatment that the data fully support but
which, for reasons having nothing to do with a correct understanding of
the science, has been pushed to the sidelines. As a result, tens of
thousands of patients with COVID-19 are dying unnecessarily. Fortunately, the situation can be reversed easily and quickly.
I am
referring, of course, to the medication hydroxychloroquine. When this
inexpensive oral medication is given very early in the course of
illness, before the virus has had time to multiply beyond control, it
has shown to be highly effective, especially when given in combination
with the antibiotics azithromycin or doxycycline and the nutritional
supplement zinc.
On May 27, I published an article in the American Journal of Epidemiology (AJE)
entitled, "Early Outpatient Treatment of Symptomatic, High-Risk
COVID-19 Patients that Should be Ramped-Up Immediately as Key to the
Pandemic Crisis." That article, published in the world's leading
epidemiology journal, analyzed five studies, demonstrating clear-cut and
significant benefits to treated patients, plus other very large studies
that showed the medication safety.
Physicians who have been using these medications in the face of
widespread skepticism have been truly heroic. They have done what the
science shows is best for their patients, often at great personal risk. I
myself know of two doctors who have saved the lives of hundreds of
patients with these medications, but are now fighting state medical
boards to save their licenses and reputations. The cases against them
are completely without scientific merit.
In his interview with Levin, Risch went even further:
"In fact, the science is so one-sided in supporting this result that
it's stronger than anything else I've ever studied in my entire career.
The evidence in favor of hydroxychloroquine benefit in high-risk
patients treated early as outpatients is stronger than anything else
I've ever studied."
Risch goes on to recall that Dr. Anthony Fauci, who has resolutely
denied any benefit from hydroxychloroquine, was similarly obstructionist
(the similarity is almost eerie) in 1987, in the face of the AIDS
epidemic.
At that time, there was a drug (Bactrim) that worked better than AZT and
was very inexpensive, and which had an excellent record of treating the
particular kind of pneumonia that was then the leading killer of people
with AIDS. But the testimonies of countless frontline AIDS physicians
meant nothing to Fauci, who -- in defiance of the scientific consensus
-- discouraged its use. As many as 17,000 people died unnecessarily. You
need to hear Dr. Risch, a mild-mannered academic, tell the story.
Incidentally, if the organized LGBT movement weren't in the tank for the
Democrats, they'd be screaming with outrage right now, alerting
Americans that Fauci is today doing to COVID patients what he had done
to AIDS patients in 1987. But they'd rather stick it to Trump than stand
up for themselves or for other suffering Americans.
(Interestingly, even Huffpost criticized Fauci for this back in
2014: "Dr. Anthony Fauci is rewriting history. He is doing so to
disguise his shameful role in delaying promotion of an AIDS treatment
that would have prevented tens of thousands of deaths in the first years
of the epidemic." Of course, this was back when Fauci hadn't yet become
sainted and untouchable; Huffpost would never have the courage to
publish such a thing today.)
And then, if you value and enjoy what I'm doing, and would appreciate
some pro-reality folks in your life, come maintain your sanity inside
the Tom Woods Show Elite, otherwise known as the reality-based
community:
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