Tuesday 29 September 2009

LE GRAAL

LE GRAAL

ADRIANA EVANGELIZT

L'Avenir n'est que ce que vous en faites... vous avez certes le libre-arbitre pour vous mais les grandes lignes de votre destin sont tracées dans la carte des Etoiles.

Vos souffrances, vos peines, vos bonheurs, rien n'est laissé au hasard. Nous nommerons les moments les plus difficiles de votre existence... des épreuves. Elles se dressent sur votre route pour vous aider à vous dépasser et à devenir meilleurs...

Notre parcours ici-bas n'a qu'un seul but : RENDRE NOTRE ÂME PLUS LUMINEUSE.

Lorsque nous quittons cette Terre, nous n'emportons ni nos maisons, ni notre argent, ni ceux que nous aimons... animaux ou êtres chers. Nous n'emportons que notre Âme où est inscrit TOUT LE BIEN QUE NOUS AVONS FAIT MAIS TOUT LE MAL AUSSI... alors avant qu'il ne soit trop tard... changez votre façon de vivre et de penser.

DEVENEZ CE QUE VOUS ÊTES VRAIMENT... UN ÊTRE DE LUMIERE... tout vous sera compté MAIS DE VOTRE EXISTENCE D'AUJOURD'HUI DEPENDRA CELLE DE DEMAIN.

Dans la philosophie Hermétiste, la Réincarnation est le seul chemin possible vers la REDEMPTION.

Ne croire en rien est facile... croire en quelque chose qui peut aider l'humanité à évoluer est le secret de notre Evolution. Si vous partagez cette croyance... alors ENTREZ DANS MA DEMEURE...

Je ne suis pas venue amener la Paix mais l'Epée...

je suis venue rendre témoignage de la Vérité et pourfendre les mensonges...

Adriana EVANGELIZT
HERMETISTE 18/10/03

The Vestigial Organ Deception Has Once Again Been Refuted By Scientists

General / 2009-09-09
Türkçe

According to research findings published in the journal Evolutionary Biology, it has now been announced that the appendix, described by Darwin as an organ that had become vestigial during the evolutionary process, in fact performs important functions and Darwin made that suggestion based on ignorance and a lack of scientific knowledge.
Darwin imagined that the appendix had no function in the body. He therefore claimed that it was an evolutionary remnant since the organ had not been used in the process of evolution. Yet contemporary scientists have now refuted this claim of Darwin’s.
A team made up of researchers from Duke, Arizona and Arizona state universities discovered that the appendix safely harbors good bacteria, and that these do not leave it until required.
Dr. William Parker, a Duke University professor of surgical sciences and the research head, stated that “It is now time to correct the information in the text books. The appendix is still referred to as a ‘vestigial organ’ in many biology books.”
The fact that the appendix was a functional organ had already appeared in various scientific studies in previous years. But Darwin’s followers were unwilling to abandon the vestigial organ deception, which they had made the greatest supposed basis for their theory. New findings that gradually emerged once again revealed that Darwinists had been using false propaganda on the subject and deceiving people. Like all the other organs alleged to be vestigial, the appendix is in fact a completely functional organ.
William Parker’s statements on the subject:
Darwin suggested that the appendix was a remnant from the cecum, a larger organ in humans and other primates, that it had no function and that only a few species possessed one. Even today, Darwin’s followers insist on maintaining that deception. In addition to the significant discovery outlined above, William Parker has also revealed that Darwin was wrong in the following regard:
“First, several living species, including certain lemurs, several rodents and a type of flying squirrel, still have an appendix attached to a large cecum which is used in digestion. Second, Parker says the appendix is actually quite widespread in nature. "For example, when species are divided into groups called 'families', we find that more than 70 percent of all primate and rodent groups contain species with an appendix.”

Parker says that Darwin made these claims out of a lack of scientific knowledge:

"Darwin simply didn't have access to the information we have," explains Parker. "If Darwin had been aware of the species that have an appendix attached to a large cecum, and if he had known about the widespread nature of the appendix, he probably would not have thought of the appendix as a vestige of evolution."

Another point of which the scientists in question repudiate Darwin is the fact that appendix infection, or appendicitis, is not due to an incorrect appendix, as Darwin thought, but to cultural change slinked to industrialization and health conditions.
The theory of evolution is being repudiated over and over again with every passing day. The theory of evolution is an outdated 19th century claim. It is based, not on scientific data, but on Charles Darwin’s imagination and ancient Sumerian legends.
For detailed information, please read

Vestigial Organs Thesis, The

Reference: Evolution of the Human Appendix: A Biological 'Remnant' No More - http://www.sciencedaily.com/releases/2009/08/090820175901.htm

L'Algérie 10 ans après le putsch - 1100 exécutions Sommaires

L'Algérie 10 ans après le putsch
Les droits humains: Un bilan désastreux

1100 exécutions Sommaires

Liste non exhaustive établie par Dr. Salah-Eddine Sidhoum et Algeria-Watch

sur la base des informations rassemblées par Dr. Salah-Eddine Sidhoum, Me Mahmoud Khelili, Me Sofiane Chouiter, Me Mohamed Tahri, le CAMLDHDH

Publiée par Algeria-Watch, 11 janvier 2002, actualisé en avril 2003

Cette liste non exhaustive de personnes exécutées sommairement a pu être réalisée grâce au travail courageux d'une poignée de défenseurs des droits humains et à la détermination des familles des victimes qui malgré les intimidations, persécutions et menaces ont persévéré dans cette quête de vérité. Il est probable que des imprécisions et des erreurs aient été transmises, vu les conditions de travail sur le terrain extrêmement difficiles. Nous lançons un appel aux témoins et familles de victimes pour apporter des compléments d'informations et nous informer de cas d'exécutions extrajudiciaires que nous n'avons pas répertoriés.

A B C D E F G H I K L M N O R S T Y Z

A

Abada Abdelkader, demeurant à Constantine a été arrêté à son domicile par des hommes armés en tenue militaire et tué à la Cité Daksi le 7 septembre 1994 selon le témoignage de sa famille. Autres personnes arrêtées en même temps et exécutées : Alloumi Abdelwaheb, Benmoussa Azouz, Ben Madher Djelloul, Chikhi Fateh et Oulbani Salim

Abane Ahmed, 26 ans, tué par des policiers en tenue de nindjas circulant à bord d'une voiture banalisée au quartier de Diar El Djemaa (Alger) le 13 février 1994 alors qu’il se trouvait dans un véhicule entrain de discuter avec des amis après la rupture du jeun, selon le témoignage de sa famille. Son nom apparaîtra dans la presse comme étant un «terroriste» tué au cours d’un accrochage. Les amis qui étaient avec lui dans le véhicule et également tués sont : Tayeb Yacine Lakhal, Boularès Farid et Azaz Tewfik

Abarar Noureddine, assassiné en 1994, à son domicile à Ouled Moussa (Boumerdès) par des militaires du campement du même village selon le témoignage de ses parents.

Abassi Abdelaziz, (Thénia): 22 juin 1997. Des prisonniers politiques sont transférés de la prison de Tizi-Ouzou vers la prison de Relizane dans des fourgons cellulaires dont l'un avait ses issues d'aération fermées. De nombreux prisonniers concernés par ce transfert étaient ciblés par l'administration pénitentiaire car jugés trop "subversifs ". A l’arrivée, 27 prisonniers des 66 sont décédés, asphyxiés. Autres détenus : Amouraz Smaïl (Aïn Taya) , Belhouane Ahcène (Khemis El Khechna), Benadjal Fodil (Zemmouri) , Benyahia Moussa (Boudouaou), Berkani Rachid (Hraoua) , Berriah Rédha (Henaoua) , Bouraï Djemaa (Zemmouri) , Bourouis Omar (Thénia) , Chaffaï Nacereddine (Hraoua) , Chena Rédha (Boudouaou) , Dif Ahmed (Bordj Ménaïel) , Fodil Mohamed (Dellys) , Habib Smaïl (Zemmouri) , Halouane Ahmed (Thénia) , Hamza Fateh (Khemis El Khechna), Hattab Mohamed (Aïn Taya), Ibset Abdenour (Thénia), Iza Boualem (Boudouaou), Kerchouche Abdelghani (Réghaïa), Naïli Kamel (Thénia), Radaoui Mohamed (Henaoua), Rouis Fodil (Zemmouri), Rouis Nacer (Zemmouri), Rouis Omar (Thénia), Senadji Smaïl (Kharouba), Yebsat Mohamed.

Abdallah Hocine, 29 ans, a été froidement abattu le 24 mars 1994 à Hennaya (Tlemcen). Autre citoyen exécuté au même moment : Benyahia Abderrahmane

Abdelali Djamal, 28 ans, demeurant au quartier La Glacière (Hussein-Dey) a été exécuté publiquement par des hommes armés en tenue de nindjas en plein marché du quartier le 11 août 1994 selon le témoignage de sa famille. Il était accompagné de Hafayed Mohamed, exécuté également. Tous deux furent présentés comme des « terroristes abattus après une course poursuite ».

Abdelali Hamdane, 18 ans, demeurant à El Merdja (Baraki) a été exécuté le mardi 3 mai 1994 dans son quartier par des hommes armés en tenue militaire. Son nom apparaîtra dans la presse comme étant un «terroriste recherché » abattu au cours d’un accrochage.

Abdelaziz Abderrahmane, 19 ans, demeurant à Dellys (Boumerdés) a été arrêté par des hommes armés en tenue militaire à son domicile. Il aurait été localisé par ses parents à la caserne des Salines puis au commissariat de Dellys. Il sera exécuté sommairement ainsi que deux autres citoyens (Bedjaoui Naïm et Maabout Djaffar) et les trois cadavres seront jetés au carrefour Ladjenna - Dellys en présence de témoins.

Abdelhafid Omar, né le 20 janvier 1970 à Oran, étudiant, habitant à Mohammadia, (El Harrach, Alger), arrêté le 1er février 1995 entre minuit et une heure du matin à Sétif où il s’était rendu chez un ami, par des policiers en uniforme utilisant des véhicules officiels. Aurait été transféré selon le témoignage de sa famille au commissariat de Bourouba (Alger) entre 1995 et 1996 (des codétenus rapportèrent cela à la famille) puis au centre de Châteauneuf (selon les dires de codétenus). Son père a été convoqué au commissariat de Mohamedia (El Harrach) pour interrogatoire sur la conduite de son fils. Aurait été aussi détenu à la prison d’El Harrach, sans que sa famille ne puisse le voir. Fin 97, des informations parvenues au père faisaient état de sa présence au centre de la SM de Blida, plus connu sous le nom de Haouch Chnou. Son nom a été évoqué dans le procès de la «mutinerie » de Serkadji, mais sans figurer dans l’arrêt de renvoi. La famille a appris son exécution près du stade du 5 juillet, mais cela n’a pas été confirmé.

Abdelkrim El Khier, 29 ans, demeurant à la cité Dussolier à Bourouba (Alger), a été exécuté sommairement par des hommes armés en tenue de policiers dans son quartier selon le témoignage de sa famille.

Abdellaoui Omar, 41 ans, père de 11 enfants, commerçant en fruits et légumes au marché de Boudouaou (Boumerdès) et demeurant au douar Berrahmoune (Corso, Boumerdés), arrêté à son domicile le 25 avril 1996 par des policiers de Boudouaou selon le témoignage de sa famille. Séquestré et torturé durant 17 jours au commissariat de Boudouaou avant d’être extrait de sa cellule pour être emmené vers une destination inconnue. Son cadavre sera découvert le lendemain à Tidjelabine (Boumerdés).

Abdelmadjid Mohamed, 30 ans. Lors d'une manifestation pacifique, organisée à la suite de l'arrestation d'un imam d'une mosquée de la ville de Batna, les forces de sécurité se déchaînèrent avec une rare violence contre les manifestants: encerclement de la ville par les soldats, utilisation d'armes de guerre (fusils d'assaut Kalachnikov, fusils mitrailleurs FMPK, balles traçantes et explosives). Des dizaines de citoyens furent exécutés, alors que des centaines d'autres furent arrêtées et torturées. Voici la liste des personnes tuées entre le 4 et le 15 février 1992, lors de ces événements tragiques : Rebbouh Omar, enseignant à l'Université de Batna et maire de la ville, Derghal Yamina, 60 ans Khellaf Abdennabi, 27 ans, Louchene Abdelmadjid, 18 ans, Chekabi Fawzi, 24 ans, Merzekane Lakhdar, 18 ans, Ibrahim Lotfi, 60 ans, Aouam Mahmoudi, 22 ans, Meddour Ammar, 22 ans, Yakhlaf Ibrahim, 18 ans, Achach Said, 15 ans, Deram Salim, 17 ans, Hamlaoui Lazhar, 11 ans, Benzeroual Samir, 20 ans, Benkezza Tarek, 14 ans, Bourenane Salim, 22 ans.

Abdennour Kaddour, universitaire, titulaire d’un magister en théologie, kidnappé par des civils armés à Alger le 7 mars 1997. Sauvagement torturé au centre de Châteauneuf puis exécuté sommairement. Sera présenté comme un « terroriste abattu lors d’un accrochage ».

Abderrahmani Boualem, âgé de 29 ans, demeurant à Sahel Bouberak (Boumerdès) a été arrêté par des hommes armés en tenue de gendarmes à Sidi Daoud le 30 mars 1994 selon le témoignage de sa famille. Son cadavre criblé de balles sera retrouvé le soir de son arrestation au centre du village. Avec Charef Abdelkader

Abderrahmani Saïd, 29 ans, demeurant au douar Touabet près de Dellys (Boumerdés) a été arrêté à son domicile en compagnie de son neveu, âgé de 18 ans, malade mental, par des hommes armés en tenue militaire et des policiers en mai 1996. Il sera exécuté sommairement ainsi que son neveu au commissariat de Dellys selon le témoignage de sa famille.

Abdi Fateh, né en 1965, animateur des Scouts Musulmans Algériens (SMA), arrêté en mars 1996 à son domicile, à Dellys (Boumerdés) en présence de sa mère et de ses sœurs. Il sera conduit au commissariat de police de Dellys selon le témoignage de ses parents. Onze détenus témoins de sa présence sur ces lieux sont prêts à témoigner. Il sera exécuté sommairement le 11 mai 1996 près de l’hôpital de Dellys. Deux magasins de stockage (alimentation générale et pièces détachées pour automobiles) appartenant à la famille seront pillés par des hommes armés en tenue de policiers et de militaires qui utiliseront les propres camions de la famille pour transférer la marchandise vers un lieu inconnu. Ces camions seront ensuite retrouvés vides et brûlés.

Abdou Mdouad, 19 ans, tué par balles par un policier le 1er décembre 2002 à Azzaba (Skikda) lors d'une manifestation de protestation.

Abdou Samir, 17 ans, est tué par un gendarme près de la mosquée Cheikh Bachir El Ibrahimi de Baraki, le vendredi 4 septembre 1992. La victime était assise en face de la mosquée lorsque les gendarmes ouvrirent le feu sur les fidèles qui manifestaient selon le témoignage de sa famille. Son corps sera ramené à la morgue de l’hôpital Salim Zemirli d’El Harrach.

Abed Belaïd, 65 ans, restaurateur et son fils demeurant à Djédioua (Relizane) ont été exécutés sommairement par le chef de la milice de ce village et sa bande en 1994.

Abeli Noureddine, demeurant au village Essahel dans la commune de Bourkika (Tipaza) a été arrêté lors d’un ratissage le 13 août 1994. Un communiqué de presse annonçait le 17 août que ce citoyen avait été «abattu au cours d’un accrochage ». En même temps que lui furent arrêtés une cinquantaine de personnes dont certaines furent aussi exécutées : Hemaidi Laïd, Rebahi Benaïcha, Rokhma Abdelhalim, Rokhma Benaïcha, Rokhma El Houari, Rokhma Laïd, Rokhma Omar, Rokhma Redouane, Semcha Karim et Semcha Zoubir.

Ablachi Slimane, demeurant à Hameur El Aïn (Tipaza) a été arrêté à son domicile par des policiers et des agents de la SM lors d’un ratissage. Une semaine plus tard son corps a été rejeté par les vagues au niveau de la plage de Fouka-Marine. Ce jour là 4 personnes ont été arrêtées, trois cadavres ont été découverts : Hadj Ali Abdelkader Tahir Abdelkrim et Ablachi Slimane.

Achi Mohamed, kidnappé le 17 octobre 1994 à Constantine et exécuté par des policiers en civil. Autres personnes exécutées : Bezahrichi Abdelwahab, Fergani Amar

Achour Ahmed, habitant à la rue de l'Ecole à Oued Ouchaiah (Alger), a été exécuté sur le pas de sa porte début mai 1994 par des policiers qui le suspectaient d'être un "terroriste" selon le témoignage de sa famille.

Achour Mohamed Salah, 42 ans, exécuté après son arrestation près de son domicile à Constantine en mai 1994 par des hommes armés en tenue de policiers selon le témoignage de sa famille.

Achour Sofiane, né le 31 juillet 1972 à Alger, prisonnier de droit commun, en détention préventive à la prison de Serkadji, a été exécuté sommairement le 21 février 1995 dans sa cellule lors du carnage du Ramadhan.

Achour Tewfik, domicilié à Blida a été exécuté le 3 juin 1994 par des parachutistes selon le témoignage de sa famille. Autre citoyen exécuté : Berkane Mohamed.

Achouri Ahmed, 45 ans, demeurant à Boufarik (Blida), a été exécuté sommairement par la milice de Haouch Gros de Boufarik le 7 mai 1995. Ont été tués en même temps : Bensassa Belkacem, Bensous Tahar, son épouse Bensous Saïda (née Djabri), Saïdoune Abdeslam et Zouabri Mohamed

Adara Fouad, 28 ans, demeurant à Sidi Aïch, tué d'une balle dans la tête par un policier en civil, alors qu'il était attablé dans un café le 26 juin 2001. (Révoltes du printemps 2001).

Adjerid Tahar, demeurant à Ouled Moussa (Boumerdès) a été exécuté sommairement en 1993, le jour de l’Aïd El Adha devant son épouse et ses enfants selon le témoignage de sa famille.

Adjroud Zahir, 23 ans, demeurant à Hussein Dey (Alger), a été arrêté en 1995 par des hommes armés en tenue de policiers. Sa famille l’aurait localisé au commissariat de Bourouba. Après des tortures atroces, il aurait été achevé par un officier selon des témoins détenus.

Aggoun Mohamed, 25 ans, demeurant à Ain Defla a été exécuté sommairement durant une nuit de Ramadhan (mars 1994) par les forces spéciales de l’armée en même temps que trois autres membres de sa famille : Il s'agit de Selmaoui Kamal, Selmaoui Samir, Selmaoui Mohamed.

Aggoun Nassir 27 ans, demeurant à Harbil (Sétif) a été kidnappé par des hommes armés en tenue de policiers selon le témoignage de ses proches. Son cadavre sera découvert 30 jours plus tard à la sortie de la ville de Sétif.

Aghadir Ahcène, 20 ans, originaire de Tizi Bouchène, tué le 27 avril 2001 à Azazga (Tizi-Ouzou) de trois balles au thorax et à l'abdomen. (Révoltes du printemps 2001).

Agri Ali, 31 ans, marié et père de 3 enfants, tué par balles le vendredi 25 mai 2001 par les brigades anti-émeutes, près de la daïra de Tazmalt (Bejaïa). (Révoltes du printemps 2001).

Ahlouche Tewfik, né le 6 décembre 1965 à Alger, demeurant à El Madania (Alger) prisonnier politique condamné à mort par le tribunal d'exception d'Alger et détenu à la prison de Serkadji a été exécuté sommairement dans sa cellule lors du carnage du 21 février 1995.

Ahmane Mourad, 33 ans, tué le 28 avril 2001 d'une balle dans la tête à Tizi Rached par un gendarme dénommé Nabil. (Révoltes du printemps 2001).

Aïchi Tewfik, prisonnier politique détenu à la prison de Serkadji, a été exécuté sommairement le 22 février 1995 dans sa cellule lors du carnage du Ramadhan.

Aïli Merzak, 30 ans, enseignant, demeurant à Ouled Aïssa (Baghlia - Dellys) a été arrêté à son domicile le 16 avril 1996 par des hommes armés en tenue militaire selon le témoignage de sa famille. Son cadavre ainsi que celui du citoyen Rahli Mohamed, seront retrouvés, quelques jours plus tard, à l’entrée du village.

Aïn Guerrad Ali, 23 ans, employé de banque, demeurant à Chekfa (Jijel), a été kidnappé par des militaires lors d’une rafle. Son cadavre sera retrouvé à Belhadef (Mila). Seront retrouvés également les cadavres d’autres personnes, éparpillés dans le village : Lhileh Mohamed Tayeb, Bouhlal Amine, Boufenghour Tayeb, Boulefred Kamal, Bousaadoune Abderrachid, Kebrita Mohamed, Allouache Rabah, 23 ans ; Mimi Abdelkader, Boussouar Ali.

Aingradj Ali, 20 ans, demeurant à Ksar Bokhari (Médéa), a été exécuté après son enlèvement le 1er mai 1993 par des civils armés qui appartiendraient selon les témoignages de sa famille à la sécurité militaire.

Aïssani Hammou, dit Fodhil, 40 ans, demeurant à Constantine a été arrêté selon sa famille le 5 septembre 1994 par des militaires, puis exécuté le 07 septembre 1994 a Baarouia (El-Khroub).

Aïssaoui Farid, commerçant demeurant à N’Gaous (Batna), a été brûlé vif dans son magasin en 1996 par des miliciens de la localité en représailles à la montée de son frère au maquis selon le témoignage de sa famille.

Aïssat Moussa, né le 2 novembre 1954, célibataire, marchand ambulant, demeurant à Cherarba (El Harrach, Alger), a été arrêté (sous les yeux de son père) par une patrouille militaire le 17 août 1994 aux environs de 19h 30 sur un terrain vague (appartenant à la famille Zouaoui), situé près de l’école des frères Zouaoui. Il a été entraîné, selon le témoignage de son père, vers un champ agricole dit El Haddad et exécuté sommairement par les militaires armés de kalachnikovs. Selon le même témoignage, d’autres citoyens du quartier auraient subi le même sort et parmi eux, le citoyen Berbéche Ammar, enseignant et le muezzin Si Abdallah. Vingt citoyens présents sont prêts à témoigner devant une commission d’enquête.

Aïssou Farouk, âgé de 23 ans, a été éxécuté sommairement le 20 septembre 1993 à 22h au lieu dit Chateau rouge aux Eucalyptus (Alger) par une patrouille de militaires et des témoins auraient vu ces mêmes militaires le jeter dans le jardin de l'hôpital d'El-Harrach devant des malades horrifiés.

Aït Aba née Aït Ouslimane Nadia, 30 ans, enseignante à Sidi Ali Ouyahia (Aïn El Hammam), tuée le 28 avril 2001 par des gendarmes à Aïn El Hammam alors qu'elle était au domicile d'une amie, situé au 5e étage d'un immeuble. Un jeune citoyen qui participait à son évacuation sera tué par les gendarmes (Naït Amara Omar).

Aït Bellouk Mohamed Islam, né le 29 septembre 1966, demeurant à Kouba (Alger) prisonnier politique condamné à mort par le tribunal d'exception d'Alger et détenu à la prison de Serkadji, a été exécuté dans sa cellule le 21 février 1995 lors du carnage survenu dans cette prison.

Aït Djaout, 68 ans et son épouse, âgée de 60 ans ont été tués par des militaires le 2 janvier 1995 à un barrage dressé à Kouba (Alger), alors qu’ils circulaient dans leur véhicule. Leur fils a été grièvement blessé. Le chauffeur n’aurait pas aperçu le barrage dressé par les militaires.

Aït Idir Rachid, 18 ans, lycéen demeurant à Tizi-Ouzou, a été tué par des policiers le 27 juin 1998, suite aux émeutes provoquées par l’assassinat de Matoub Lounès.

Akkak Youcef, arrêté le 5 avril 1994 à Belouizdad (Alger) par des policiers. Ses parents témoignent qu’il aurait été sauvagement torturé : enfoncement de la boite crânienne et fracture du bras puis étranglement. Son cadavre sera découvert par la gendarmerie à la forêt de Bouchaoui.

Akkal Yahia, demeurant à Télagh (Sidi Bel Abbes), arrêté en octobre 1997 à son domicile par des policiers cagoulés («nindjas ») venus de la ville de Sig, en représailles à la destruction d’une usine par un groupe armé. Mort sous la torture dans les sous-sols de la daïra de Sig (ex-résidence Colonna, w. Mascara) selon le témoignage de sa famille. Enterré dans une fosse commune au cimetière de Télagh. Parmi les autres cadavres identifiés, figurent : Akkal Yahia, Djillali Ferhat, Djillali Sissani, Hadj Guendouz, Mokrane Mostepha, Ould Mohamed Bendjema, Youcef Sayah

Akkouche Abderrahmane, 19 ans, demeurant à Tadmaït (Tizi-Ouzou), tué par balles le lundi 28 mai 2001 par des gendarmes. (Révoltes du printemps 2001).

Akkouche Nourreddine, 33 ans, agriculteur, demeurant au douar Berrahmoune (Corso. Boumerdès), arrêté à son domicile le 25 avril 1996 par des hommes armés se réclamant de la police de Boudouaou. Séquestré et torturé durant 17 jours au commissariat de Boudouaou avant d’être extrait de sa cellule selon le témoignage de ses parents pour être emmené vers une destination inconnue. Son cadavre sera découvert le lendemain à Tidjelabine (Boumerdés).

Akrine Yacine, 25 ans a été exécuté le 30 mars 1994 par des hommes armés en tenue militaire à la cité militaire de Bordj El Bahri (Alger) selon le témoignage de sa famille. En Même temps que Goumiri Mustapha.

Akrour Rachid, en détention préventive à la prison de Serkadji, a été exécuté sommairement le 21 février 1995 dans sa cellule lors du carnage survenu dans cette prison.

Ali Rached Ahmed, exécuté début juin 1994 par des militaires à Chlef.

Alkama Djamel, 19 ans, tué le 28 avril 2001 à Larbaâ Nath Irathen (Tizi-Ouzou). (Révoltes du printemps 2001).

Allag Ali, né le 5 décembre 1965, marié et père de 3 enfants, enlevé en mars 1995 de son lieu de travail (Entreprise intercommunale des travaux de construction) à Tablat (Médéa) par des miliciens et transféré vers le commissariat de police où il sera séquestré et sauvagement torturé selon le témoignage de sa famille. Il sera confronté à son frère qui sera arrêté à son tour puis relâché. Il sera emmené avec six autres prisonniers vers le village de Fedj Houdine par un groupe de militaires, de policiers et de miliciens. Avant d’arriver à cette localité, ce citoyen et ses six compagnons seront descendus à terre et fusillés. Leurs cadavres seront enterrés en un lieu secret. Témoignage du père en date du 20 juin 2000.

Allal M'hamed, âgé de 32 ans a été exécuté sommairement par des hommes armés en tenue militaire, en patrouille sur la route de Bougara (Blida) le mardi 7 juin 1994 selon le témoignage de sa famille. Il était suspecté de soutenir les "terroristes".

Allali Nadir, 34 ans, employé de la société Onalait est exécuté sommairement le 24 septembre 1994 à Birkhadem (Alger) par des gendarmes à sa descente du bus. Il sera présenté dans la presse comme étant un «terroriste » abattu à la suite d’un accrochage. Ont été tués en même temps Lahlouh Younès et Mazouz Nabil

Allam Aziz et Kessar Touati ont été arrêtés le 29 novembre 1994 par une patrouille de militaires au lieu dit Aïn Kessara. Ils ont été exécutés et présentés dans la presse comme étant de “ dangereux terroristes ”.

Alliche Ahmed, dit H’mida, né 14 novembre 1967, domicilié aux Eucalyptus handicapé physique, aide-comptable à l’hôpital Belfort (El Harrach) a été convoqué par la gendarmerie de Baraki en 1992 où il s’était rendu avec son père Messaoud. Il sera séquestré à ce niveau durant plusieurs mois. Son père lui rendra visite à 5 reprises, puis sera transféré à la gendarmerie de Dar El Beida. Son cadavre sera retrouvé à la décharge publique de Oued Smar en 1993. Il apparaîtra dans la presse comme un «dangereux terroriste » abattu lors d’un accrochage. Son corps sera ramené à la morgue de l’hôpital Zemirli d’El Harrach où le Dr Sidhoum, chirurgien avait pu constater la lésion mortelle. Le malheureux présentait un orifice sternal d’entrée de la balle de 1 cm, béant et un orifice de sortie dorsal gauche. La victime avait les poignets attachés avec du fil métallique et présentait des séquelles de polio avec une sévère monoplégie du membre inférieur gauche.

Alliche Mohamed, marié et père de 4 enfants, demeurant près de Chebli (Blida), a été victime en 1994 selon le témoignage de sa famille d’une véritable embuscade près de son domicile alors qu’il revenait du travail à bord de son véhicule de type Mazda. En effet, alors qu’il s'approchait de son domicile, des hommes en tenue de policiers et portant des cagoules, ouvrirent le feu sur son véhicule qui prit feu. La victime mourra carbonisée. Ces mêmes hommes armés en tenue de policiers et cagoulés pénétreront alors au domicile de la victime et expulseront tous les occupants. Ils voleront le mobilier et de l’argent. En partant ces hommes armés emmèneront avec eux le jeune Alliche Abdelhamid qui sera séquestré au centre de Châteauneuf durant 38 jours et torturé. Selon la famille, ces hommes armés en tenue de policiers prendront avec eux un véhicule Renault de type Express d’une valeur de 950 000 dinars appartenant au père de la victime, un téléviseur, une machine à coudre, un ventilateur ainsi que des bijoux en or. Le père soulignera qu’une somme de 350 000 DA sera volée par ces mêmes personnes. Il déposera plainte devant toutes les institutions de l’Etat. Toutes resteront muettes.

Allili Mohamed, 45 ans, exécuté sommairement à Arib (Ain Defla) au mois de mars 1994 par les services de sécurité

Allouache Ahmed, 54 ans, demeurant au douar Hazama, Lakhdaria (Bouira), arrêté le 22 juillet 1994 par des militaires. Il aurait été localisé dans un premier temps au centre de torture COPAWI de Lakhdaria avec son fils Mohamed, arrêté en même temps que lui. Selon le témoignage du sous-lieutenant Habib Souaïdia (Algeria-Interface 05 avril 2001), lui et son fils auraient été arrêtés par les officiers de la DRS Belkbiche Abdelkader dit Abdelhak et Ramdane Khaled, accompagnés du lieutenant Bouziane Mounir des forces spéciales. Ils auraient été arrêtés, torturés pendant 15 jours et exécutés sur ordre verbal du colonel Chengriha, en présence des officiers Benaiche et Ben Ahmed tous deux responsables de l'unité 25 du régiment de reconnaissance à Lakhdaria.

Allouache Lounés, 27 ans, demeurant au douar Berrahmoune (Corso. Boumerdès) a été arrêté le 25 avril 1996 à son domicile par des hommes armés se réclamant de la police de Boudouaou selon le témoignage de sa famille. Il sera séquestré puis torturé durant 17 jours au commissariat de Boudouaou selon le témoignage de sa famille avant d’être extrait de sa cellule la nuit du 11 mai 1996 pour être emmené vers une destination inconnue. Son cadavre sera retrouvé le lendemain matin à Tidjelabine.

Allouache Mohamed, né le 29 Septembre 1961, marié et père de 5 enfants, employé dans une entreprise de bâtiment de Lakhdaria (Bouira), enlevé le 22 juillet 1994 à 7 h à son domicile à Hazama (Lakhdaria) ainsi que son père Ahmed par des militaires lors d'un ratissage dans le quartier. Une perquisition a été effectuée lors de l'enlèvement. Il aurait été localisé dans un premier temps au centre de torture COPAWI de Lakhdaria avec son père Ahmed. Selon le témoignage du sous-lieutenant Habib Souaïdia (Algeria-Interface 05 avril 2001), les deux auraient été arrêtés par les officiers de la DRS Belkbiche Abdelkader dit Abdelhak et Ramdane Khaled, accompagnés du lieutenant Bouziane Mounir des forces spéciales. Ils auraient été arrêtés, torturés pendant 15 jours et exécutés sur ordre verbal du colonel Chengriha, en présence des officiers Benaiche et Ben Ahmed tous deux responsables de l'unité 25 du régiment de reconnaissance à Lakhdaria. Lettres à l'ONDH, médiateur, ministres de la Justice et de la Défense.

Allouache Rabah, 23 ans, demeurant à Chekfa (Jijel), a été kidnappé par des militaires lors d’une rafle. Son cadavre sera retrouvé à Belhadef (Mila). Seront retrouvés également les cadavres d’autre personnes, éparpillés dans le village : Lhileh Mohamed Tayeb, Bouhlal Amine, Boufenghour Tayeb, Boulefred Kamal, Bousaadoune Abderrachid, Kebrita Mohamed, Aïn Guerrad Ali, Mimi Abdelkader et Boussouar Ali.

Alloumi Abdelwaheb, demeurant à Constantine a été arrêté à son domicile et tué à la Cité Daksi, Constantine le 7 septembre 1994 par des hommes armés en tenue militaire selon le témoignage de sa famille. Autres personnes arrêtées en même temps et exécutées: Abada Abdelkader, Benmoussa Azouz, Ben Madher Djelloul, Chikhi Fateh et Oulbani Salim

Alouane Hocine, 22 ans, tué le 28 avril 2001 à Mekla (Tizi-Ouzou). (Révoltes du printemps 2001).

Amar Saïd, demeurant à Berrouaghia (Médéa) a été arrêté le 13 mars 1994 lors d’un ratissage. Son cadavre sera retrouvé mutilé à la périphérie de la ville selon le témoignage de sa famille.

Amara Khatir, demeurant à Bordj Bou Arreridj, a été kidnappé avec d’autres personnes lors d’une rafle des services de sécurité le 24 novembre 1994. Son corps mutilé (certains étaient égorgés, d’autres criblés de balles) a été retrouvé à Zemourah. Autres personnes retrouvées : Azoug Nacir, Belhadj Mohamed, Benkhanouf Aïssa, Boualem Rédha, Chikouche Smaïl, Debbiche Abdelhak, Guedoudj Hacène, Harchaoui Djamal, Rahmani Lahmidi et Saadaoui Hafnaoui

Amari Abdelkader, 55 ans, enlevé de nuit en avril 1995 par des miliciens en présence de leur chef et DEC de Relizane. Retrouvé mort à la périphérie de la ville.

Ameur Smaïl, demeurant aux Eucalyptus (Alger), a été arrêté et exécuté par des militaires cagoulés le 4 novembre 1994. Autres personnes exécutées : Farhi Mohamed, Hidouci Abdenour, Ladaoui Hocine et Mokhtari Mohamed

Amghar Tahar, 29 ans, tué le 27 avril 2001 d'une balle dans la tête à Fréha (Tizi-Ouzou). (Révoltes du printemps 2001).

Amichi Djamal, 19 ans, a été exécuté sommairement par des hommes armés cagoulés en tenue de policiers le 13 mai 1994 à Climat de France (Alger) selon le témoignage de sa famille. Autre personne exécutée : Makhloufi Benyoucef.

Amini Karim, jeune citoyen de Maatkas (Tizi-Ouzou), est tué par balle par un commerçant du village le 8 octobre 2002 suite à une manifestation organisée pour protester contre les "élections" communales.

Amiréche Abdelmadjid, né le 23 novembre 1960 à Jijel, marié et père de 7 enfants, fils de Ahmed et de Chatouh Aldjia, demeurant à la cité des frères Kantouche, Constantine, cuisinier de profession. Arrêté le 25 juillet 1993 à 9 heures sur son lieu de travail par les services de sécurité. Exécuté sommairement et enterré au cimetière central de Constantine par les services de police.

Amiri Rabah, demeurant à Dellys (Boumerdés), a été arrêté le 1er avril 1994. Il sera exécuté sommairement par des militaires le 15 avril 1994 sur la route de Dellys selon le témoignage de sa famille. Son cadavre sera laissé sur le bord de la route.

Ammi Kouider, né le 19 août 1971 à Hussein-Dey (Alger), demeurant à El Harrach, prisonnier politique en détention préventive à la prison de Serkadji, a été exécuté sommairement le 21 février 1995 dans sa cellule lors du carnage survenu dans cette prison.

Amouraz Smaïl, (Aïn Taya) : 22 juin 1997. Des prisonniers politiques sont transférés de la prison de Tizi-Ouzou vers la prison de Relizane dans des fourgons cellulaires dont l'un avait ses issues d'aération fermées. De nombreux prisonniers concernés par ce transfert étaient ciblés par l'administration pénitentiaire car jugés trop "subversifs ". A l’arrivée, 27 prisonniers des 66 sont décédés, asphyxiés. Autres détenus : Abassi Abdelaziz (Thénia) - Belhouane Ahcène (Khemis El Khechna), Benadjal Fodil (Zemmouri) , Benyahia Moussa (Boudouaou), Berkani Rachid (Hraoua) , Berriah Rédha (Henaoua) , Bouraï Djemaa (Zemmouri) , Bourouis Omar (Thénia) , Chaffaï Nacereddine (Hraoua) , Chena Rédha (Boudouaou) , Dif Ahmed (Bordj Ménaïel) , Fodil Mohamed (Dellys) , Habib Smaïl (Zemmouri) , Halouane Ahmed (Thénia) , Hamza Fateh (Khemis El Khechna), Hattab Mohamed (Aïn Taya), Ibset Abdenour (Thénia), Iza Boualem (Boudouaou), Kerchouche Abdelghani (Réghaïa), Naïli Kamel (Thénia), Radaoui Mohamed (Henaoua), Rouis Fodil (Zemmouri), Rouis Nacer (Zemmouri), Rouis Omar (Thénia), Senadji Smaïl (Kharouba), Yebsat Mohamed.

Amrani Redouane, né 15 novembre 1972, a été arrêté à son domicile à Larbaâ (Blida) le 15 janvier 1994 suite à un ratissage selon le témoignage de sa famille. Son corps sera retrouvé le soir criblé de balles. Arrêté et exécuté en même temps que : Guenane Azzeddine, Kadem Mohamed, Médjadni Farouk, Medjadni Mohamed, Kerkar Allal, Azzouz Mohamed, Belaroussi Tayeb, Djaâdani Halim et Sellami Mahfoud

Amrouche Mohamed, 27 ans, demeurant à Meftah (Blida), arrêté par la gendarmerie selon le témoignage de sa famille, mort sous la torture. Section du sexe et éventration.

Annab Ahmed, né le 21 septembre 1953, originaire de Sidi Naâmane (Constantine), marié et père de 7 enfants, agriculteur, arrêté le 26 août 1994 par la SM puis exécuté sommairement selon le témoignage de sa famille. D’autres personnes avaient été arrêtées en même temps que lui, quelques unes seront libérées. Son cadavre sera jeté à la cité des frères Abbas à Constantine. Dès que la famille a appris sa mort, le frère s’est rendu à la morgue. On lui a exigé une somme exorbitante qu’il ne pouvait payer. Il a renoncé à récupérer le cadavre qui a été enterré le 12 septembre 1994 au cimetière central de Constantine par la police sous la désignation de X - Algérien. Acte de décès n° 3848 du 17 septembre 1994 délivré par la commune de Constantine.

Annab El Hachemi, 46 ans, demeurant à Sidi Naâmane (Constantine), arrêté le 26 août 1994, exécuté sommairement le 17 septembre 1994 selon le témoignage de sa famille. Enterré le 12 septembre 1994 au cimetière central de Constantine par la police.

Annani Ahmed, demeurant à Oued Rhiou (Relizane) a été arrêté puis exécuté sommairement par des hommes armés en tenue militaire en mai 1994 selon le témoignage de sa famille. Exécutés au même moment les citoyens : Bouziane Ouadah, Ghali Salah, Larak Abdelkader.

Aouam Mahmoudi, 22 ans. Lors d'une manifestation pacifique, organisée à la suite de l'arrestation d'un imam d'une mosquée de la ville de Batna, les forces de sécurité se déchaînèrent avec une rare violence contre les manifestants: encerclement de la ville par les soldats, utilisation d'armes de guerre (fusils d'assaut Kalachnikov, fusils mitrailleurs FMPK, balles traçantes et explosives). Des dizaines de citoyens furent exécutés, alors que des centaines d'autres furent arrêtées et torturées. Voici la liste des personnes tuées entre le 4 et le 15 février 1992, lors de ces événements tragiques : Omar Rebbouh, enseignant à l'Université de Batna et maire de la ville, Derghal Yamina, 60 ans Khellaf Abdennabi, 27 ans, Louchene Abdelmadjid, 18 ans, Chekabi Fawzi, 24 ans, Abdelmadjid Mohamed, 30 ans, Ibrahim Lotfi, 60 ans, Merzekane Lakhdar, 18 ans, Meddour Ammar, 22 ans, Yakhlaf Ibrahim, 18 ans, Achach Said, 15 ans, Deram Salim, 17 ans, Hamlaoui Lazhar, 11 ans, Benzeroual Samir, 20 ans, Benkezza Tarek, 14 ans, Bourenane Salim, 22 ans.

Aouinet Abdelkader, demeurant à Hassi Felifah. Une dizaine d’élèves du centre de formation professionnelle d’El-Oued s’étaient rendus au complexe d’El Hadjar pour y faire un stage. S'étant présentés sur les lieux avec leurs documents d'affectations, il leur a été signifié par la direction générale du complexe qu'ils ne pouvaient entreprendre ce stage sans la présence de leur enseignant-encadreur. Un rendez-vous fut pris à leur retour à El Oued avec leur enseignant pour retourner à El Hadjar le 13 mars 1994. Le Samedi 12 mars ils furent kidnappés par les services de sécurité à leurs domiciles (El Oued), et leur enseignant, ingénieur, fut convoqué par les mêmes services. Quelques jours plus tard, les services de sécurité vinrent informer les parents que leurs enfants avaient été "libérés" et que des "terroristes" les avaient assassinés à leur libération. Un mois plus tard la presse du Jeudi 14 avril 1994 signale le "démantèlement d'un important réseau de terroristes à Guemmar, Tebessa et Annaba s'apprêtant à détruire le complexe sidérurgique d'El Hadjar » et annonce que des "terroristes" avaient été abattus après un accrochage à Oued Anab (Annaba). Ces "terroristes" n'étaient autres que les 10 élèves-stagiaires et leur professeur. Ces élèves du centre de formation professionnelle d'El Oued et leur professeur, ingénieur en électronique, ont été exécutés sommairement et présentés à l'opinion publique comme étant des "terroristes". Il s’agit de : Dahab Omar, né en 1963, ingénieur, demeurant à El Oued où il enseigne à l'école de formation professionnelle, arrêté et torturé puis exécuté, Daouiche Abdelbassat, né en 1972, demeurant à El Oued, Mahadda Salah, demeurant à Sahne, Rahal Abderrazak, demeurant à El Oued, Djerad Abdelkader, demeurant à Zegm, Arhouma Saad, demeurant à Zegm, Maatallah Abdelbaki, demeurant à Debila, Nazli Abdelkamel, demeurant à Koufine, Saci Tahar, demeurant à Guemmar, Khouider Messaoud, demeurant à Bayadh. Les cadavres seront remis aux parents le 16 avril à Annaba.

Aoumer Bouziane, 30 ans, exécuté sommairement au mois de mars 1994 à El Abadia (Ain Defla) en même temps que Kerrouk Mustapha, et Ghoualem Ahmed.

Aoun Youcef, âgé de 30 ans, handicapé, demeurant à Relizane a été kidnappé au cours d’un ratissage puis exécuté. D’autres personnes ont connu le même sort : Belarbi Yahia, Fekkir Miloud, Haïk Djelloul, Henni Setihi, Soudek Abdallah.

Arab Hocine, âgé de 18 ans, handicapé physique, demeurant à Sidi Moussa (Alger), est un marchand de tabac possédant une petite table de vente dans les ruelles de sa localité. Selon le témoignage de son père, il aurait été arrêté en 1986 (nous disons bien 1986) par une patrouille de gendarmerie pour vente illégale de cigarettes dans la rue. Il a été gardé à vue à la brigade puis présenté au procureur de la République, qui au vu des faits, l’a immédiatement relâché. A sa sortie du tribunal, l’un des gendarmes accosta le jeune handicapé et se mis à l’insulter en lui disant à haute voix devant témoins : « Si le procureur t’a lâché, moi je ne te lâcherais pas ». Le jeune effrayé par les menaces et les gestes du gendarme se mis à crier devant le tribunal, au point où le procureur sortit de son bureau. Le jeune lui expliquera alors les faits. Le procureur scandalisé et outré par le comportement de ce gendarme lui promis de le sanctionner, ce qui fut fait dans les jours qui suivirent. Le gendarme sera muté dans une autre brigade. Cela n’empêcha pas le gendarme de menacer une nouvelle fois le jeune handicapé en lui promettant de lui faire «payer cher » sa dénonciation au procureur. Neuf ans plus tard, soit en 1995, ce jeune handicapé fut l’objet de menaces d’un groupe armé non identifié de Sidi Moussa. Son père préféra l’emmener en Kabylie (aux Ouadhias) pour éviter tout problème. Dans ce village kabyle, les miliciens remarquèrent la présence de cet «étranger ». Il sera arrêté par ces derniers et emmené à la brigade de gendarmerie des Ouadhias où il sera torturé selon le témoignage de son père. En téléphonant à leurs collègues de la brigade de gendarmerie de Sidi Moussa pour obtenir de plus amples renseignements sur l’activité de ce jeune handicapé, ils tombèrent sur le gendarme qui l’avait menacé de «payer cher » …en 1986 qui réclama son transfert sur la brigade de Sidi Moussa, ce qui fut fait. Quelques jours plus tard, son père apprendra la mort de son fils et son enterrement par les gendarmes qui refusèrent de préciser au père les circonstances et le lieu de l’enterrement. Après des recherches, il sera renseigné à la morgue de Blida par le médecin-légiste que son fils avait été tué de 3 balles (certificat de décès) et qu’il avait été enterré au cimetière des Chouhada de Blida sous le numéro 1021. En l’an 2000, le père recevra une convocation de la gendarmerie pour l’informer que son fils était considéré comme « disparu » alors qu’il était en possession du certificat de décès délivré par l’hôpital de Blida et d’une copie d’autorisation d’inhumer délivrée par l’état-civil de la mairie de Blida.

Arab Noureddine (ou Nacereddine), 25 ans, tué le 26 avril 2001 à El Kseur (Bejaia) lors des révoltes du printemps 2001

Arezoug Slimane, 28 ans, demeurant à Akbou, tué par balles le lundi 18 juin à hauteur de l'hôtel Le Palace lors des révoltes du printemps 2001.

Arhouma Saad, demeurant à Zegm. Une dizaine d’élèves du centre de formation professionnelle d’El-Oued s’étaient rendus au complexe d’El Hadjar pour y faire un stage. S'étant présentés sur les lieux avec leurs documents d'affectations, il leur a été signifié par la direction générale du complexe qu'ils ne pouvaient entreprendre ce stage sans la présence de leur enseignant-encadreur. Un rendez-vous fut pris à leur retour à El Oued avec leur enseignant pour retourner à El Hadjar le 13 mars 1994. Le Samedi 12 mars ils furent kidnappés par les services de sécurité à leurs domiciles (El Oued), et leur enseignant, ingénieur, fut convoqué par les mêmes services. Les services de sécurité vinrent informer les parents que leurs enfants avaient été "libérés" et que des "terroristes" les avaient assassinés à leur libération. Un mois plus tard la presse du Jeudi 14 avril 1994 signalait le "démantèlement d'un important réseau de terroristes à Guemmar, Tebessa et Annaba s'apprêtant à détruire le complexe sidérurgique d'El Hadjar » et annonçait que des "terroristes" avaient été abattus après un accrochage à Oued Anab (Annaba). Ces "terroristes" n'étaient autres que les 10 élèves-stagiaires et leur professeur. Ces élèves du centre de formation professionnelle d'El Oued et leur professeur, ingénieur en électronique, ont été exécutés sommairement et présentés à l'opinion publique comme étant des "terroristes". Il s’agit de : Dahab Omar, né en 1963, ingénieur, demeurant à El Oued où il enseigne à l'école de formation professionnelle, arrêté et torturé puis exécuté, Daouiche Abdelbassat, né en 1972, demeurant à El Oued, Mahadda Salah, demeurant à Sahne, Aouinet Abdelkader, demeurant à Hassi Felifah, Djerad Abdelkader, demeurant à Zegm, Rahal Abderrazak, demeurant à El Oued, Maatallah Abdelbaki, demeurant à Debila, Nazli Abdelkamel, demeurant à Koufine, Saci Tahar, demeurant à Guemmar, Khouider Messaoud, demeurant à Bayadh. Les cadavres seront remis aux parents le 16 avril à Annaba.

Aribi Abdelkader, 81 ans, demeurant à la cité Rabia de Bejaïa, mort dans la nuit du 25 mai 2001 à son domicile, suite à une asphyxie par gaz lacrymogènes. (révoltes de printemps 2001)

Aribi Yamina, 71 ans, épouse d'Aribi Abdelkader, demeurant à la cité Rabia de Bejaïa, morte dans la nuit du 25 mai 2001 à son domicile, suite à une asphyxie par gaz lacrymogènes. (révoltes de printemps 2001)

Arkab Mohamed et Boukeddou Rabah, demeurant à Lakhdaria (Bouira), ont été exécutés après leur arrestation par des militaires cagoulés le 23 novembre 1994.

Arkam Salem, 17 ans, lycéen, originaire du village Issaradjène, tué par des gendarmes à Boudjima (Tizi Ouzou) le samedi 28 avril 2001. (révoltes de printemps 2001)

Arouche Aïssa, prisonnier politique condamné à perpétuité par le tribunal d'exception d'Alger et détenu à la prison de Serkadji a été exécuté sommairement dans sa cellule lors du carnage du 21 février 1995.

Arous Mustapha, né le 12 mai 1975, célibataire, mécanicien stagiaire, demeurant à Khemis El Khechna (Boumerdès), n’ayant aucune activité politique selon sa famille, arrêté le 30 novembre 1994 à 16h 30 à son domicile par des militaires venus à bord de camions. Au même moment trois autres voisins étaient également arrêtés. Il aurait été localisé par sa famille dans un premier temps à la caserne militaire de Meftah (Blida). Plaintes déposées auprès du procureur de la République du tribunal d’Alger les 13 juillet 1995 et 26 mars 1997 (dossier n° 161/97). Lettre adressée à l’ONDH (04 février 1995). En réponse à cette lettre, l’ONDH informera la famille (n° 609 du 30 décembre 1998) que leur fils aurait «été découvert mort avec trois autres personnes le 25 janvier 1995 au lieudit Benadendjal, près de Boudouaou ». La famille n’a jamais vu le cadavre de leur fils ni le lieu d’enterrement.

Arrouag Farouk, demeurant à Khemis El Khechna (Boumerdés), prisonnier politique en détention préventive à la prison de Serkadji, a été exécuté sommairement le 21 février 1995 dans sa cellule lors du carnage survenu dans cette prison.

Arrouche El Hadj, demeurant Taourirt (Chlef), professeur au collège. Des hommes armés en tenue de gendarmes font irruption dans la mosquée du village après la grande prière du vendredi et kidnappent les citoyens restés dans le lieu de culte. Quelques jours plus tard, trois cadavres mutilés sont retrouvés : Ouachek Aïssa, (directeur d’école), Kharroubi Abed, professeur de collège.

Asbaï Yahia, 19 ans, tué par balles le 26 avril 2001 à El Kseur (Béjaïa). (Révoltes du printemps 2001).

Assal Nabil, 21 ans, demeurant à Meftah (Blida) a été arrêté par des membres de la milice de Meftah le 9 mai 1994 selon le témoignage de sa famille. Dans le journal El Massa du 12 mai 1994 il sera présenté comme étant « un terroriste en fuite » (photo)

Athmane Mohamed, 25 ans, a été assassiné par des policiers en civil le vendredi 13 mai 1994 au quartier dit "La Faïence" d'El Harrach. Il sera présenté comme étant un "terroriste abattu au cours d'une opération de recherches".

Athmania Djamal, domicilié à Jijel est exécuté par des hommes armés en tenue militaire le 29 avril 1994 selon le témoignage de ses proches.

Attatfa Abdelhafidh, (22 ans) demeurant dans la région de Ténès a été victime d’une immense rafle organisée dans la nuit du 28 au 29 avril 1994 par les forces spéciales en présence du général Mohamed Lamari. Près de 200 citoyens ont été arrêtés. Le lendemain 65 personnes ont été enlevées après la prière du vendredi. Les villages les plus touchés sont ceux de Taougrit, Ouled Boudous et Sidi Moussa. Le 4 mai, plus de 173 cadavres ont été retrouvés, jonchant les routes de ces villages, défigurés, marqués par la torture. Parmi les cadravres se trouvaient ceux de : Beghdali Abdelhadi, Benhemama Bouaissi, Bensari, Bessailet Omar, Boumeziane Mohamed, Bouzar M’hamed, Bourahla Mérouane, Chaouch Larbi, Deramchi Mustapha, Kallaziz Ahmed, Kherméchene Hadj et Zidane Hadj

Ayad Ramdane, grièvement blessé par une grenade lacrymogène le 18 juin 2001 à Aïn Legradj (Béni-Ouartilane - Sétif), succombe à ses blessures le 22 juin à l'hôpital de Sétif. (révolte du printemps 2001)

Ayad Zahir, 26 ans, demeurant au quartier Boubsila (Alger) a été arrêté par des hommes armés en tenue de policiers en 1995 selon sa famille. Il sera localisé par ses parents au commissariat de Bourouba. Retrouvé mort.

Ayat Sidali, né le 19 décembre 1974, arrêté le 3 avril 1996 par les gendarmes de Menacer (Tipaza). Son père, selon son témoignage, apprendra de la bouche du procureur de la république de Tipaza que son fils était mort une semaine après son arrestation.

Ayou Chérif, 36 ans, originaire de Aïn M’lila, demeurant à Constantine, enlevé le 13 mars 1995 par les services de sécurité. Exécuté sommairement le 14 mars 1995 selon le témoignage de ses proches parents. Enterré le 22 mars 1995 au cimetière central de Constantine par des employés de l’hôpital accompagnés de gendarmes.

Azaz Tewfik, 23 ans, est tué le 13 février 1994 au quartier de Diar El Djemaa (Alger) par des policiers cagoulés (nindjas) venus à bord d'une voiture banalisée alors qu’il se trouvait dans une voiture entrain de discuter avec des amis après la rupture du jeun, selon le témoignage de sa famille. Son nom apparaîtra dans la presse comme étant un «terroriste» tué au cours d’un accrochage. Ses amis qui se trouvaient avec lui dans la voiture et exécutés sont : Tayeb Yacine Lakhal, Boularès Farid et Abane Ahmed

Azizane Allal, né le 7 novembre 1958, père de six enfants, agent administratif. Dans la nuit du 10 au 11 mai 1996, quatre policiers armés et cagoulés se présentèrent au domicile de la famille Azizane, à Baraki (Alger). Le cinquième à visage découvert attendait dans la voiture. Il sera reconnu par les survivantes du drame. Munis de pistolets de poing avec silencieux, ils firent irruption au domicile de cette famille. Ils alignèrent tous les hommes présents et ouvrirent le feu. Seul l'un d'eux, a pu y échapper et se sauver à travers les champs. Autres membres de la famille tués : Azizane Hocine, né le 8 octobre 1912 et père de 11 enfants, Azizane Saïd, né le 5 avril 1960, père d'un enfant, commerçant, Azizane Moussa, né le 2 juillet 1961, célibataire, commerçant, Azizane Samir, né le 5 mai 1973, célibataire et sans emploi.

Azizane Hocine, né le 8 octobre 1912 et père de 11 enfants : Dans la nuit du 10 au 11 mai 1996, quatre policiers armés et cagoulés se présentèrent au domicile de la famille Azizane à Baraki (Alger). Le cinquième à visage découvert attendait dans la voiture. Il sera reconnu par les survivantes du drame. Munis de pistolets de poing avec silencieux, ils firent irruption au domicile de cette famille. Ils alignèrent tous les hommes présents et ouvrirent le feu. Seul l'un d'eux, a pu y échapper et se sauver à travers les champs. Autres membres de la famille tués : Azizane Allal, né le 7 novembre 1958, père de six enfants, agent administratif, Azizane Saïd, né le 5 avril 1960, père d'un enfant, commerçant, Azizane Moussa, né le 2 juillet 1961, célibataire, commerçant, Azizane Samir, né le 5 mai 1973, célibataire et sans emploi.

Azizane Moussa, né le 2 juillet 1961, célibataire, commerçant : Dans la nuit du 10 au 11 mai 1996, quatre policiers armés et cagoulés se présentèrent au domicile de la famille Azizane à Baraki (Alger). Le cinquième à visage découvert attendait dans la voiture. Il sera reconnu par les survivantes du drame. Munis de pistolets de poing avec silencieux, ils firent irruption au domicile de cette famille. Ils alignèrent tous les hommes présents et ouvrirent le feu. Seul l'un d'eux, a pu y échapper et se sauver à travers les champs. Autres membres de la famille tués : Azizane Allal, né le 7 novembre 1958, père de six enfants, agent administratif, Azizane Saïd, né le 5 avril 1960, père d'un enfant, commerçant, Azizane Hocine, né le 8 octobre 1912 et père de 11 enfants, Azizane Samir, né le 5 mai 1973, célibataire et sans emploi.

Azizane Saïd, né le 5 avril 1960, père d'un enfant, commerçant : Dans la nuit du 10 au 11 mai 1996, quatre policiers armés et cagoulés se présentèrent au domicile de la famille Azizane à Baraki (Alger). Le cinquième à visage découvert attendait dans la voiture. Il sera reconnu par les survivantes du drame. Munis de pistolets de poing avec silencieux, ils firent irruption au domicile de cette famille. Ils alignèrent tous les hommes présents et ouvrirent le feu. Seul l'un d'eux, a pu y échapper et se sauver à travers les champs. Autres membres de la famille tués : Azizane Allal, né le 7 novembre 1958, père de six enfants, agent administratif, Azizane Hocine, né le 8 octobre 1912 et père de 11 enfants, Azizane Moussa, né le 2 juillet 1961, célibataire, commerçant, Azizane Samir, né le 5 mai 1973, célibataire et sans emploi.

Azizane Samir, né le 5 mai 1973, célibataire et sans emploi : Dans la nuit du 10 au 11 mai 1996, quatre policiers armés et cagoulés se présentèrent au domicile de la famille Azizane à Baraki (Alger). Le cinquième à visage découvert attendait dans la voiture. Il sera reconnu par les survivantes du drame. Munis de pistolets de poing avec silencieux, ils firent irruption au domicile de cette famille. Ils alignèrent tous les hommes présents et ouvrirent le feu. Seul l'un d'eux, a pu y échapper et se sauver à travers les champs. Autres membres de la famille tués : Azizane Allal, né le 7 novembre 1958, père de six enfants, agent administratif, Azizane Saïd, né le 5 avril 1960, père d'un enfant, commerçant, Azizane Moussa, né le 2 juillet 1961, célibataire, commerçant, Azizane Hocine, né le 8 octobre 1912 et père de 11 enfants.

Azizi Abdelkrim, né le 25 mars 1941 à Médéa, ancien maquisard de la guerre de libération nationale, enseignant, demeurant à El Harrach (Alger) a été arrêté à 1 heure du matin à son domicile ainsi que son fils Abdessamad âgé de 18 ans par des policiers cagoulés le 22 septembre 1993. Il a été torturé dans sa salle de bain devant son épouse et ses trois filles. Aurait été transféré, selon sa famille au commissariat de Bourouba. ainsi que son fils. Un témoignage adressé par un officier de police nommé Rebaï Mohamed au président de la république (avril 2000) signale que le citoyen Azizi Abdelkrim et son fils Abdessamad avaient été exécutés sommairement par le commissaire Ould Ammi Boualem de Bourouba. Témoignage et appel à la conscience internationale d’une jeune algérienne (Famille Azizi. d’El Harrach) : Je vais vous raconter l’histoire du drame d’une famille parmi tant de drames que vit l’Algérie. Notre drame commença en 1992. Nous avons eu, comme la majorité des enfants de ce peuple, à subir les exactions des forces dites de sécurité. Le premier drame dans ma famille eut lieu le 14 novembre 1992 à 8 heures. Nous avons été surpris par l’irruption des forces dites de sécurité qui ont encerclé notre domicile puis ont entrepris une fouille minutieuse de toute la maison durant une heure. Mon père fut menacé d’indiquer où se trouvait mon frère, sinon il serait arrêté. Ils se sont alors dirigés vers le lycée où enseignait mon frère et l’arrêtèrent. Il fut transféré au centre de torture de Châteauneuf où il fut séquestré durant un mois, période durant laquelle il fut affreusement torturé. Après un mois de séquestration et de tortures, il fut transféré à la prison d’El Harrach où il fut mis en isolement durant 15 jours avant d’être transféré vers la prison de Serkadji. Après 9 mois de détention préventive dans cette dernière prison, il fut condamné par le tribunal d’Alger à 10 ans de prison. Il fut alors transféré au bagne de Berrouaghia où il demeure à ce jour, à la merci des exactions des gardiens. Le mercredi 22 septembre 1993, furent arrêtés mon père avec mon autre frère à 1 heure du matin. Nous dormions quand subitement la porte d’entrée de notre domicile fut fracassée par les forces dites de sécurité qui envahirent la maison alors que nous étions dans nos lits. Ces policiers étaient dirigés par un certain Boualem Ould Ammi, du commissariat de Bourouba et un policier surnommé Boumenguoucha, il portait une croix comme boucle d’oreille. Au moment de l’invasion, mon père dormait dans sa chambre. Il fut réveillé brutalement par les policiers qui firent irruption dans sa chambre. Il fut brutalisé et jeté à terre. En quelques minutes, la maison se transforma en ruines. Mon frère, mes sœurs et ma mère furent isolés dans une chambre et mon père dans une autre. Ils prirent mon jeune frère qui n’avait pas encore atteint 18 ans. Ma mère tenta d’intervenir pour dire que c’était un mineur et qu’ils ne devaient pas le prendre. Il lui fut répondu que c’était seulement pour quelque temps, le temps d’une enquête sur certains papiers. Nous le reverrons plus jamais. Ils ont refermé la porte de la chambre sur nous. Avant cela, j’avais vu des policiers bander les yeux de mon père et le conduire à la salle de bains. Ils prirent des chiffons et des ustensiles dans la cuisine pour les utiliser comme moyen de torture contre mon père. Les policiers prenaient tout ce qui était à leur portée sans gène. Ils mangeaient tout ce qu’ils trouvaient dans la cuisine. L’un d’eux nous dit : « Vous vivez dans tout ce luxe alors que nous, nous ne possédions rien ! » Ils ne respectèrent même pas l’âge de mon père qui approchait la soixantaine. Ma mère fut insultée, sans aucun respect pour son âge. Mon père et ma mère avaient perdus leurs pères durant la guerre de libération en martyrs. Puis un policier vint dans notre chambre. Il prit ma grande sœur pour un interrogatoire. Elle fut interrogée sur nous, mes frères, l’activité de mon père. Ils criaient et se moquaient d’elles. La maison fut envahie de fumée des cigarettes des policiers qui transformèrent la maison en fumoir. Les policiers se mirent alors à torturer mon père dans la salle de bains. Ils lui pratiquèrent la technique du chiffon puis lui versèrent de la colle forte (Araldite) sur sa barbe et tentèrent de l’arracher. Nous entendions mon père crier de toutes ses forces. Ma grande sœur ouvrit la porte de la chambre où nous étions isolés et se mis à supplier les policiers d’arrêter le supplice du père mais dans résultats. Elle fut violemment tirée par les cheveux et poussée dans la chambre puis jetée à terre. Aux environs de 4 heures du matin, les policiers nous avertirent de ne pas ouvrir la porte de la chambre et qu’en cas de refus, ils allaient brûler la maison. Ils descendirent alors au magasin de mon père, au rez-de-chaussée et raflèrent tout ce qui était à leur portée. Ils prirent les bijoux, l’argent, les produits alimentaires. Même nos papiers personnels furent volés. Nous sommes restés du jour au lendemain sans pièces ni documents d’identité. Puis ils partirent avec mon père et mon frère mineur. Mon père est sorti en pyjama. Nous étions terrorisées même après leur départ. Nous nous sommes rendues dans la salle de bains. Les murs et le carrelage étaient tâchés du sang de notre père. La porte de l’extérieure était défoncée et fracturée. C’était un spectacle de désolation. Ma mère est allée le lendemain au commissariat de la Cité La montagne (Bourouba). Elle a retrouvé les mêmes policiers qui avaient envahi durant la nuit la maison. Ils nièrent toute implication dans ce qui s’est passé la nuit chez nous la menaçant : « Si tu reviens ici, tu verras ce qui t’attendra. Nous ne sommes pas fous d’arrêter un vieux et un enfant ! ». Extraordinaire ! ! Ils niaient les méfaits qui nous ont fait subir durant des heures alors que ma mère les avait formellement reconnus. Le lendemain très tôt, elle revint au commissariat en insistant pour voir notre père et notre frère. Un des policiers lui dit de revenir à 10 heures. En retournant à 10 heures, comme promis, elle trouva un autre policier qui lui dit ironiquement : « Celui qui t’a dit de revenir à 10 heures est mort » ( ? ? ? ! ! !). Nous avions adressé des lettres à toutes les autorités de ce pays, mais c’était un silence désolant qui nous répondait. Nous avons adressé même une plainte au président de la République. Aucune réponse. Nos malheurs ne s’arrêtèrent pas là. Notre domicile était sujet régulièrement depuis à des perquisitions à tout moment, de jour comme de nuit, dans l’arbitraire le plus total. Personne ne pouvait et ne devait broncher. A chaque « visite » impromptue, les policiers raflaient tout ce qui les intéressait comme bijoux, argents, objets de valeur, aliments. Même nos invités qu’ils trouvaient à la maison étaient soumis à des coups et des injures. Nous étions terrorisées par ces actes barbares impunis. Nous étions contraints de prendre ce qui nous restait comme effets et partir vers des cieux que nous croyions plus cléments. Le 6 mai 1994, alors que nous nous dirigions en famille vers la prison de Berrouaghia pour rendre visite à notre frère, nous fumes surpris d’être arrêtés à un barrage à Baba Ali, à la sortie d’Alger. On nous ordonna de descendre de la voiture. Ma mère, mon jeune frère, mon mari et moi fumes jetés dans un fourgon banalisé de type J5, après nous avoir bandé les yeux. Seul mon très jeune frère âgé à peine de 12 ans échappa à ce kidnapping après maintes supplications de ma mère. On nous conduisit vers une destination inconnue, les yeux bandés et allongés dans le fourgon. A notre arrivée sur le lieu inconnu, je fus isolée avec ma mère et mon frère dans une pièce et ils emmenèrent mon mari. Au bout de quelques temps j’entendis les cris de mon mari qui était torturé. Au bout d’une heure, je fus transféré avec ma mère et mon jeune frère dans un bureau où nous fumes interrogés sur notre filiation. Nous étions entourés par de nombreuses personnes. Un seule question revenait : « Où est le mari de ta sœur ». Peu de temps après, les individus qui nous ont arrêtés se sont dirigés vers la région de Boumerdès, à Ouled Moussa plus précisément, au domicile de ma sœur. Ils l’arrêtèrent ainsi que son mari et une autre sœur après avoir fouillé la maison et pris de nombreux objets. Mes deux sœurs n’eurent même pas le temps de s’habiller convenablement. Elles mirent un simple Khimar sur leurs chemises de nuit. Elles furent dirigées vers le centre de torture de Châteauneuf. Nous avons été séquestrés durant 26 jours avant d’être libérés. Nous étions sans papiers d’identité ni domicile. Notre domicile a été fermé par la police. Nous ne pouvions rien faire qu’ errer. Nous avions adressé de nouvelles lettres au président de la république, au tribunal, au ministre de la justice, mais en vain.

Azizi Abdessamad, né le 20 août 1976 à El Harrach, demeurant au 26, Cité Korifa Rachid, El Harrach, a été arrêté le 22 septembre 1993 en même temps que son père Abdelkrim par des policiers cagoulés à son domicile. Aurait été transféré au commissariat de Bourouba. Sa famille est sans nouvelles de lui depuis son enlèvement. Aurait été exécuté avec son père par le commissaire Ould Ammi Boualem selon le témoignage d’un officier de police (Rebaï Mohamed) adressé au président de la république (avril 2000).

Azizi Ali, 18 ans, demeurant à Cherarba (El Harrach). Des militaires ont encerclé le quartier de Cherarba dans la nuit du jeudi 2 au vendredi 3 juin 1994 durant le couvre-feu et ont commencé à perquisitionner les domiciles et à faire sortir des citoyens, plus particulièrement des jeunes, qu'ils emmenèrent avec eux. D'après les recoupements faits auprès des familles, il y avait près de cinquante jeunes. Quelques minutes après le départ des militaires, des rafales d'armes déchiraient le silence du quartier. Du fait du couvre-feu, personne n'osa sortir. Le lendemain, soit le vendredi 3 juin 1994, quarante et un (41) corps gisaient tout le long des rues de Cherarba, ils avaient été exécutés sommairement par les militaires, en représailles à une embuscade tendue la veille par un groupe armé. Neuf corps ont été identifiés à la morgue de Bologhine, les autres ont été enregistrés sous forme de X algériens. Bouchabou Hamou, Larachi Hacène, Hamioud Abdelghani, Azizi Ali, Benane Miloud, Djebbar Mustapha, Guahane Abdeslam, Karoune Farid, Chenal Merouane

Azizou Kouider, 31 ans demeurant à Ksar El Boukhari (Médéa) a été exécuté après son enlèvement par des hommes armés de la SM le 23 mars 1993 selon le témoignage de sa famille.

Azouani Saïd, 24 ans, originaire du village d'Aït Azouane, tué le 28 avril 2001 à Bouzeguène (Tizi Ouzou). (Révoltes de printemps 2001)

Azoug Nacir, demeurant à Bordj Bou Arreridj, a été kidnappé avec d’autres personnes lors d’une rafle réalisée par les services de sécurité le 24 novembre 1994. Son corps mutilé (certains étaient égorgés, d’autres criblés de balles) a été retrouvé à Zemourah. Autres personnes exécutées : Amara Khatir, Belhadj Mohamed, Benkhanouf Aïssa, Boualem Rédha, Chikouche Smaïl, Debbiche Abdelhak, Guedoudj Hacène, Harchaoui Djamal, Rahmani Lahmidi et Saadaoui Hafnaoui

Azoug Salah, 26 ans, a été enlevé de son domicile à El Madania (Alger) le 24 avril 1994 selon le témoignage de ses parents Une semaine plus tard son cadavre mutilé est retrouvé dans la rue avec les deux mains amputées.

Azraoui Fateh, demeurant à Lakhdaria (Bouira) a été arrêté à son domicile le 22 mai 1994 suite à un ratissage selon le témoignage de sa famille. Son cadavre sera retrouvé le lendemain sur la voie ferrée.

Azzaz Zakaria, né en 1965, épicier, a été arrêté par des hommes armés en tenue de policiers le 14 octobre 1995 à son domicile, à Dellys (Boumerdés) en présence de ses parents. Il sera localisé par sa famille au commissariat de Dellys où il aurait été affreusement torturé ainsi que les citoyens Touakni Mustapha, Reguig Mustapha et Ladada Fateh, domiciliés à Dellys également. Il sera exécuté sommairement le soir même de son arrestation. Il est à noter que le domicile de ce citoyen a été cambriolé par les mêmes hommes armés en tenue de policiers.

Azzeddine Abdelwahab, et Soufi Abdelhamid ont été arrêtés le 9 novembre 1994 par des militaires à Merouana (Batna). Leurs corps ont été retrouvés criblés de balles.

Azzoun Khaled, 28 ans, commerçant, demeurant à Baghlia, près de Dellys (Boumerdés) a été arrêté à son domicile en février 1996 par des hommes armés en tenue militaire. Aurait séjourné selon sa famille à la caserne de Ouled Aïssa et serait mort sous la torture.

Azzouz Mohamed, 26 ans a été arrêté à son domicile à Larbaâ (Blida) le 15 janvier 1994 suite à un ratissage selon le témoignage de sa famille. Son cadavre sera retrouvé le soir dans la rue., Arrêté et exécuté en même temps que : Guenane Azzeddine, Amrani Redouane, Médjadni Farouk, Medjadni Mohamed, Kerkar Allal, Kadem Mohamed, Belaroussi Tayeb, Djaâdani Halim et Sellami Mahfoud

Azzouz Redouane, 30 ans, fonctionnaire a été arrêté le 3 novembre 1994 lors d’une rafle de la sécurité militaire suite à l’attentat perpétré au cimetière de Sidi Ali (Mostaghanem). Son cadavre brûlé sera retrouvé près de la décharge publique selon le témoignage de sa famille avec d'autres personnes également exécutées : Benmeliani Mustapha, Bouabsa Mohamed, Chenafa Djillali, Chenafa Mohamed, Seghier Nourreddine et Ziane Rachid.

Friday 25 September 2009

Zionist JEWS control 97% of World Media!!!

Zionist JEWS control 97% of World Media!!!
Evidence of Jewish Media Control:

Books, newspapers, music, movies, radio, & televison all controlled by JEWS!

Here is the proof behind the statement "The JEWS control the media." This document was compiled several years
ago, at the end of the 1990's. Since then, the jews have used their powers in the American Government to break
down old laws that prevent media monopoly. They have now consolidated even more awesome power over the entire
American Media. Through their control of the media, they are able to easily control the social agenda, business
markets, and even the Government itself by influencing voters' opinions. And, all this is just the tip of the iceberg.

The Jews have an octopus-like grip on the media by secretive corporate ownership through financial and securities
companies; holding key positions, such as: Chairmanships, Chief Executive Officers, Chief Financial Officers, etc.
In this way, they can promote their mutual JEWISH and Israeli interests, and censor stories and reporters that
interfere with their never-ending agenda.

The JEWS control every word and image that enters people's mind and, in this way, manipulate their opininion on all
subjects! Do you doubt this? Why don't you ask people around you what they think about Israel, terrorism, racism,
rap music, etc. and see if their opinionions differ from that which is taught by the TV. You will find that "their"
opinion is just what they saw on the TV. It would seem to me that people simply "parrot" that which they see and
hear in the media and that original thoughts and opinions are hard to find, out there among the masses!

The Walt Disney Company, a true media empire!
Zionist JEW, Michael Eisner. Chairman and CEO of the Walt Disney empire. It includes several
television production companies (Walt Disney Television, Touchstone Television, Buena Vista Television), its own
cable network with 14 million subscribers, and two video production companies. Disney also sells annually well over
a billion dollars worth of consumer products: books, toys, and clothing. In August 1995 Eisner acquired Capital
Cities/ABC, Inc. It owns the ABC Television Network, which in turn owns ten TV stations outright in such big
markets as New York, Chicago, Philadelphia, Los Angeles, and Houston. In addition, it has 225 affiliated stations in
the United States and is part owner of several European TV companies.Its holding company is Shamrock Holdings,
whose principal office is located in Israel.

Michael Ovitz, Media Moghul, ex-president of Walt Disney Co. He is also a member of
the Council on Foreign Relations.

Michael Ovitz, Zionist JEW. ex-president of Walt Disney Co. He is also a member of the Council on
Foreign Relations.

ESPN, ABC’s cable subsidiary, is headed by:
Zionist JEW, Steven Bornstein, President and CEO of ESPN.

(no picture available) Zionist JEW, Stuart Bloomberg, ABC Head of Entertainment Division. The corporation
also has a controlling share of Lifetime Television and the Arts & Entertainment Network cable companies. ABC
Radio Network owns 11 AM and ten FM stations, again in major cities such as New York, Washington, and Los
Angeles, and has over 3,400 affiliates. Although primarily a telecommunications company, Capital Cities/ABC owns
seven daily newspapers, Fairchild Publications (Women’s Wear Daily), Chilton Publications (automotive manuals),
and the Diversified Publishing Group.ABC is part of Eisner’s Disney Company, and the executive producers
of ABC’s news programs are all Jews: Victor S. Neufeld (20-20), Bob Reichbloom (Good Morning America), and
Rick Kaplan (World News Tonight).

Zionist JEW, Victor S. Neufeld.

Zionist JEW, Rick Kaplan.

Zionist JEW, Bob Reichbloom, Executive Producer, Good Morning America.


Zionist JEW, Charles A. Koppelman, Chairman and CEO of EMI Records Group. CBS was
recently purchased by Westinghouse Electric Corporation. Nevertheless, the man appointed by Laurence Tisch,
Eric Ober, remains president of CBS News, and Ober is a Jew.
(No photo available)for Eric Ober, Zionist JEW.

Zionist JEW, Andrew Lack,.NBC News president

and so are executive producers Jeff Zucker (Today),

Zionist JEW, Jeff Zucker executive producer, NBC,

Zionist JEW, Jeff Gralnick (NBC Nightly News executive producer

Zionist JEW, Neal Shapiro (Dateline).

As for feature films, the Walt Disney Picture Group, headed by Joe Roth (also a Jew),
includes Touchstone Pictures, Hollywood Pictures, and Caravan Pictures.

Zionist JEW, Joe Roth,Head of Walt Disney Picture Group

Disney also owns Miramax Films, run by the Weinstein brothers.

Zionist JEWS,Weinstein Brothers,owners of Miramax Films. In addition to TV and movies, the
corporation owns Disneyland, Disney World, Epcot Center, Tokyo Disneyland, and Euro Disney.

AOL Time Warner, Inc., is controlled by the chairman of the board and CEO, Gerald M. Levin.Time, has a weekly
circulation of 4.1 million. Also CEO and Director of AOL, internet conglomerate. Levin, is another JEWISH media
moghul!

Zionist JEW, Gerald M. Levin, chairman of the board and CEO,AOL Time Warner, Inc. Time
Warner’s subsidiary HBO is the country’s largest pay-TV cable network.

(no picture available) Zionist JEW, Charles Schreger, Vice President .

Time Warner’s subsidiary HBO is the country’s largest pay-TV cable network. Viacom, Inc., headed by Sumner
Redstone (born Murray Rothstein), is the third largest megamedia corporation in the country, with revenues of over
$10 billion a year.

Zionist JEW, Sumner Redstone(born Murray Rothstein), Time Warner’s subsidiary HBO is the
country’s largest pay-TV cable network.

Viacom, which produces and distributes TV programs for the three largest networks, owns 12 television stations and
12 radio stations. It produces feature films through Paramount Pictures, headed by Jewess Sherry Lansing.

Zionist JEW, Sherry Lansing, Head of Paramount Pictures

Its publishing division includes Prentice Hall, Simon & Schuster, and Pocket Books. It distributes videos through
over 4,000 Blockbuster stores. It is also involved in satellite broadcasting, theme parks, and video games. Viacom is
the world’s largest provider of cable programming, through its Showtime, MTV, Nickelodeon, and other networks.
Since 1989, MTV and Nickelodeon have acquired larger and larger shares of the juvenile television audience. MTV
broadcasts into 210 million homes in 71 countries.

Rupert Murdoch News Corporation, which owns Fox Television Network and 20th
Century Fox Films. Murdoch is a jew.

Rupert Murdoch, Zionist JEW.

Peter Chernin, who heads Murdoch’s film studio and also oversees his TV
production, is a Jew.

Peter Chernin, Zionist JEW.

Barry Diller, 20th Century Fox. CEO, Zionist JEW.

Number five is the Japanese Sony Corporation, whose U.S. subsidiary, Sony Corporation of America, is run by:
Michael Schulhof, Zionist JEW.

(No picture available) Zionist JEW, Alan J. Levine, heads the Sony Pictures division.

Peter Guber Columbia Pictures, also Chairman and Chief Executive Officer, Mandalay
Entertainment Group

Peter Guber, Zionist JEW.

Most of the television and movie production companies that are not owned by the largest corporations are also
controlled by Jews. For example, New World Entertainment, proclaimed by one media analyst as "the premiere
independent TV program producer in the United States," is owned by Ronald Perelman, a Jew who also owns
Revlon cosmetics.

Ronald Perelman, Zionist JEW.


Zionist JEW, Brandon Tartikoff, Chairman at New World Entertainment.

DreamWorks SKG, run by David Geffen, Jeffrey Katzenberg, Steven Spielberg, all three of whom are Zionist
JEWS.

David Geffen, Zionist JEW.
Zionist JEW, Jefferey Katzenberg.

Zionist JEW, Stephen Spielberg. The company produces movies, animated films, television
programs, and recorded music. All products approved by the JEWS that own and control yet another media
company.


Edgar Bronfman Jr., Zionist JEW.
MCA and Universal Pictures, are both owned by Seagram
Company, Ltd. The president and CEO of Seagram, the liquor giant, is Edgar Bronfman, Jr. He is the head of
Universal Studios. He is also president of the World Jewish Congress!


Donald Newhouse, Zionist JEW. Advance Publications.This Jewish media empire is owned and
controlled by Samuel and Donald Newhouse.They own 26 daily newspapers.They also own the nation’s largest trade
book publishing conglomerate, Random House, with all its subsidiaries such as; Knopf, Crown, and Ballantine,
among other imprints.Newhouse Broadcasting, consisting of 12 television broadcasting stations and 87 cable-TV
systems, with many millions of subscribers. They own the Sunday supplement Parade, with a circulation of more than
22 million copies per week; plus some two dozen major magazines, including the New Yorker, Vogue, Mademoiselle,
Glamour, Vanity Fair, Bride’s, Gentlemen’s Quarterly, Self, House & Garden, and all the other magazines in the
Conde Nast group.


Samuel Newhouse, Zionist JEW.

The New York Times was founded in 1851 by two white, non-jews, Henry J. Raymond and George Jones. After their
deaths, it was purchased in 1896 from Jones’s estate by a wealthy JEWISH family. Arthur Ochs Sulzberger, Jr., is
the paper’s current publisher and CEO. The Sulzberger family also owns, through the New York Times Co.,
33 others newspapers, including the Boston Globe; twelve magazines, including McCall’s and Family Circle; seven
radio and TV broadcasting stations; a cable-TV system; and three book publishing companies. The New York Times
News Service transmits news stories, features, and photographs from the New York Times by wire to 506 other
newspapers, news agencies, and magazines.

Arthur Ochs Sulzberger, Jr., Zionist JEW.

Zionist JEW, Max Frankel, Executive Editor, NYT.

Zionist JEW, Joseph Lelyveld, Managing Editor, NYT.

The Washington Post, like the New York Times, had a non-Jewish origin. However, in June 1933, at during the
Great Depression (which was engineered by the JEWS that control the "Federal Reserve Bank),the newspaper was
forced into bankruptcy. It was purchased by Eugene Meyer, a JEWISH financier. It is now controlled by Katherine
Meyer Graham, Eugene Meyer’s daughter. She is the principal stockholder and board chairman of the Washington
Post Co. It is now run by her son Donald Graham, who is president and CEO of the Washington Post
Co.

Donald Graham and mother, Katherine MEYER Graham. Both Zionist JEWS

The Washington Post Co. has a number of other media holdings in newspapers, television, and magazines, most
notably the nation’s number-two weekly newsmagazine, Newsweek. In a joint venture with the New York Times, the
Post publishes the International Herald Tribune, the most widely distributed English language daily in the world.

Dow Jones & Company, Inc., publishes 24 daily newspapers including the weekly financial tabloid The Wall Street
Journal, and Barron’s, among other things. They are the most influential financial and political newspapers in the
world, with the largest daily readership.The chairman and CEO of Dow Jones is Peter R. Kann, who is a Jew. Kann
also holds the posts of chairman and publisher of the Wall Street Journal.

Peter R. Kann, Zionist JEW.

The New York Daily News, was bought from the estate of the late Jewish media mogul Robert Maxwell (born
Ludvik Hoch) by Jewish real-estate developer Mortimer B. Zukerman. The Daily News is the sixth-largest paper in
the country. He also owns the Atlantic Monthly, and the U.S. News & World Report, with a circulation of 2.3 million.
He has taken the position of editor-in-chief of the magazine for himself. He also currently serves as Chairman of the
Conference of Presidents of Major American Jewish Organizations.

Mortimer B. Zuckerman, Zionist JEW.

The Village Voice is the personal property of Leonard Stern, the billionaire Jewish owner of the Hartz Mountain pet
supply firm. His son is Edward Julius Stern, who was implicated in fraud of a mutual fund.

Leonard Stern, Zionist JEW.

The New York Post. Peter Kalikow, owner and publisher. He is also a major Real estate developer. He is a board
member of the Museum of Jewish Heritage — A Living Memorial to the Holocaust and chairman of the museum’s
building committee.

Peter Kalikow, Zionist JEW.


Newsweek, as mentioned above, is published by the Washington Post Company, under the Jewess Katherine Meyer
Graham. Its weekly circulation is 3.2 million. Its editor is Jerry Adler. Here's a small sampling of the Jews that
influence opinions at Newsweek:
(No photo available) for Jerry Adler, Zionist JEW.


Zionist JEW, David M. Alpern, Contributing Editor, Newsweek.

Zionist JEW, Howard Fineman, Chief Political Correspondent, Newsweek.

Zionist JEW, Michael Hirsh, Senior Editor, Newsweek.

(no picture available) Zionist JEW, Martin S. Davis, Paramount Comm. CEO.


General Electric: RCA and NBC were bought by G.E. in 1986 but Jewish management still exists.

Zionist JEW, David Sarnoff, RCA; NBC; Head of entertainment div.

Zionist JEW, Robert Sarnoff, RCA; NBC; CEO (son of D. Sarnoff)

Now consider books. Among the giant publishing conglomerates, the situation is quite the same in regards to
JEWISH ownership and control. All of the six largest book publishers in the United States, according to Publisher’s
Weekly, are owned or controlled by Jews.

Seven JEWS alone control the majority of media in America and beyond!

Gerald Levin, CEO and Director of AOL Time Warner
Michael Eisner, Chairman and CEO of the Walt Disney Company
Edgar Bronfman, Sr., Chairman of Seagram Company Ltd
Edgar Bronfman, Jr, President and CEO of Seagram Company Ltd and head of Universal Studios
Sumner Redstone, Chairman and CEO of Viacom, Inc
Dennis Dammerman, Vice Chairman of General Electric
Peter Chernin, President and Co-COO of News Corporation Limited

Those seven Jewish men collectively control ABC, NBC, CBS, the Turner Broadcasting
System, CNN, MTV, Universal Studios, MCA Records, Geffen Records, DGC Records,
GRP Records, Rising Tide Records, Curb/Universal Records, and Interscope Records.

What are so many jews in ownnership and management positions in the media? Can it be a coincidence?
NO, OF COURSE NOT! tHEY ARE USING THEIR MEDIA CONTROL, TO CONTROL WHAT
YOU SEE, HEAR, AND THINK ABOUT! tHAT'S WHAT IT' ALL ABOUT! iT SHOULD BE
PRETTY OBVIOUS!
____________________________________________________________________________________________________

The JEWS control the British, European & Asian media, too!!

These are the JEWISH overlords that control the media and daily manipulate public opinions. This information was compiled in
1997, and since then, your Jewish Zionist masters have consolidated even more control and ownership of YOUR media!
Understanding this is our first step toward freeing ourselves from the evil grip of these slave-masters!

BBC


Jew, Alan Yentob, Director of Drama, Entertainment and CBBC, BBC's Creative
Director. Alan is at the creative helm of the BBC and has overall responsibility for
BBC drama, entertainment and all aspects of the BBC's children's output across all
media. He has responsibility for a significant film division and is the focal point for
talent management across the whole of the BBC. Jew Yentob is the most powerful
man at the BBC!

Governors of the BBC:
Jew, Sir David Scholey
, Jew, Sir Kenneth Bloomfield, & Jew, Janet Cohen.
Jew, Sarah Frank.Chief Executive of BBC Worldwide Americas.
Jew, Keith Samuel, Controller of Publicity & Public Relations.
Jew, David Aaronovitch, Managing Editor of the BBC's weekly programmes.
Jew, Anne Sloman, Deputy Head of BBC News Programmes.
Jew, Ruth Caleb, Head of Drama.
Jew, Louis Marks, Producer of Drama since 1976.
Jew, Tony Kay, Commercial Director at BBC Worldwide TV.
Jew, Adam Singer, International Director of US cable operator TCI & son of
former BBC Director-General, Jew, Aubrey Singer.
Jon Plowman, Head of BBC Comedy Entertainment.
Jew, Ben Elton, "alternative comedian"
Jew, Rod Natkiel,
Head of Network TV at BBC Midlands and East.
Jew, Roy Saatchi,
Head of Local Programmes at BBC North.
Jew, Geoffrey Goodman,
BBC Current Affairs and LBC/IRN.
Jew, Joshua Rosenberg,
BBC TV's legal correspondent.
Jew, N. Goldman,
Producer on Newsnight, & a member of the Jewish Socialist Group.
Jew, Lisa Jardine,
BBC writer and broadcaster.

Channel 4

This massive company includes 300 cinemas, eight theatres, hotels, restaurants and record
divisions. The endless diet of filth and perversion which Channel 4 feeds to the public has
earned Jew, Michael Grade the reputation as Britain's "pornographer-in-chief".


Jew, Michael Grade, Chief Executive.
Jew, Colin Leventhal. Managing Director of Channel Four Intl., Ltd and Director of Acquisitions.
Jew, David Aukin, Head of Drama.
Jew, Peter Ansorge, Senior Commissioning Editor for Drama.
Jew, Sara Nathan, News Editor since March,1996:
Jew, Elinar Goodman, Assistant News Editor.

Channel 4's youth programme production company, Planet 24, has, according to the Jewish Chronicle "an uncanny knack of fronting its popular Channel 4 programmes with blondish Jewish women." These include:

Jew, Dani Behr playing a leading role on "The Word and Surf Polatoes" and,
Jew, Gabi Roslin of the "Big Breakfast" and the "Gabi Roslin Show."
Other Channel 4 productions: distributors who run the First Independent company;
Jew, Michael Myers and
Jew, Martin Myers.
Jew Stephanie Calman,
Scriptwriter for the sitcom, "Dressing for Breakfast".
Jew, Mark Thomas,
Anti-British comedian.
Jew, Alexi Sayle,
Anti-British comedian.
Jew, Philip Clarke,
Producer of Channel 4´s Diverse Production company.

ITV

The "Independent" Television Commission is the regulatory body which overseas the whole
of the ITV network. Media group MAI owns two ITV franchises (Anglia and Meridian).
Chief Executive of MAI/ United News and Media giant is Jew, "Lord" Clive Hollick, a
Labour peer with close links with Hambros Bank, of which he is a long-standing Director.

JEW, "Lord" Clive Hollick.

Jew, Jude Goffee, Senior Director of the ITV network.
Jew, Eve Salomon, Senior sponsorship and advertising officer.
Jew, Marcus Plantin, Network Director of ITV.
Jew, Claudia Rosencrantz, ITV ' s Controller of Entertainment.
Jew, David Puttnam, Senior director of MAI's Anglia TV subsidiary is film executive.
Jew, Graham Creelman,
Anglia's Director of Programmes.
Jew, Stephen Grabiner, Chief Executive MAI's United News section.
Jew, Robert Elias, ITN's Editor of News at Ten.
Jew, Charles Golding,
LBC´s Controller of Programmes.

Carlton Communications

Carlton is a major force in the ITN network, with assets in Central TV; Meridian TV
and GMTV, and a 50 per cent stake in London News. It also has significant assets in
the Asian sub-continent.


Jew, Michael Green, Chairman of Carlton Comm., also Director of
Independent Television News, Central Independent Television and GMTV.
Jew, Richard Simons, Carlton's Head of Features.
Jew, Janet Goldsmith, Managing Director of Carlton Select.

Granada Group

Granada was founded by Jews, Sidney and Cecil Bernstein. Alexander Bernstein
was the long-standing Chairman until he went into semi-retirement in March 1996.


JEW, Charles Allen, Chief Executive of ITV.Chairman of Granada.Granada Group
owns two ITV franchises: Granada TV and London Weekend Television. It also
has part ownership in; ITN and Yorkshire Tyne Tees TV, London News Network,
BSkyB, Granada Sky Broadcasting, Playboy Channel, & F2F.
Jew, Sacha Baron Cohen, Presenter on F2F.
Jew, Duncan Lewis, Chief Executive of the Granada Media Group; Chief Executive
of Granada TV, and Chief Executive of London Weekend Television. Lewis was
formerly marketing director at BT, where he initiated the nauseating Jewish
grandmother adverts starring actress
Jew, Maureen Lipman. She sponsors the Zionist-controlled front organisation, the Anti-
Nazi League.
Jew, Steve Morrison
, Chief Operating Officer of GMG; Deputy Chief Executive of
Granada TV, Managing Director of LWT and head of Granada's sales operation Laser.
Jew, Kate Stross, Commercial Director at LWT and GMTV.
Jew, Simon Shaps,
Controller of regional programmes at LWT.

British Independent Television Enterprises (BRITE)
Jew, Nadine Nohr, The Managing Director of BRITE.
Jew, Kay Mellor, Granada's scriptwriter and producer.
Jew, Paul Marcus, Granada's Marlow Films owner.
"Christian Zionist", Melvyn Bragg,
Controller of Arts at LWT.

FremantleMedia

FremantleMedia is the content business production arm of the RTL Group. RTL Group is 90% owned by Bertelsmann AG, an integrated media and entertainment company that
commands leading positions in the world's major media markets. (From the website of
RTL group):
N°1 in TV and Radio Broadcasting in Europe 31 TV channels and 33 Radio
stations in 10 countries - 260 programmes in over 40 countries. Global Leader in Content
(Production & Rights) - Over 9,000 hours of programming per year - Reaching an
audience of 250 million viewers worldwide every month. Largest Independent Distribution
Company Outside US - Broadcasting rights for 19,000 programming hours in 150
countries worldwide RTL Group is one of the largest television producers outside
Hollywood.

Jew, Tony Cohen, the CEO of FremantleMedia,
Based in London, Cohen is responsible for all of FremantleMedia's production companies,
which span the globe from Europe, North America, Latin America, Australasia and South
Africa.

Channel Five

Jew, David Elstein, Chief Executive.

Under this powerful Zionist JEW is a whole army of Zionist gatekeepers of the media!

Jew, David Berg, Controller of Planning and Organisation.
Jew, Tim Gardam, Controller of news, current affairs and documentaries.
Jew, James Ackerman, Director of multichannel covetures.
Jew, Bruce Steinberg, head of Britain's second biggest satellite channel UK Gold
also Chief Executive of the women's channel UK Living.
Jew, Julian Aston is Managing Director of Channel One.
Jew, Michael Rosenblum, Assistant Managing director of Channel One.
Jew, Franklin Getchell, General Manager of Flextech TV's The Children's Channel
(TCC)
Jew, Richard Wolfe, TCC's Chief Executive.
Jew, Mitchell Kriegman, Senior Series Producer.

Flextech owns the satellite channel Bravo, The Family Channel and manages
TLC and The Discovery Channel.

Jew, Mark Deitch, Head of Programming at Bravo.

Viacom UK

From Viacom.com:
Sumner M. Redstone is Chairman of the Board and Chief Executive Officer of Viacom.
Under his leadership, Viacom has become one of the world's largest entertainment and
media companies, and a leader in the production, promotion and distribution of
entertainment, news, sports, music and comedy. Viacom's properties include CBS, MTV,
Nickelodeon, VH1, BET, Paramount Pictures, Viacom Outdoor, Infinity Broadcasting,
UPN, Spike TV, TV Land, CMT: Country Music Television, Comedy Central, Showtime,
and Simon & Schuster. National Amusements, Inc., a closely held corporation which
operates approximately 1,400 motion picture screens in the United States, the United
Kingdom and South America, is the parent company of Viacom.


Jew, Sumner Redstone, Chairman of the Board and Chief Executive Officer of Viacom.
Chairman of the Board and Chief Executive Officer, National Amusements, Inc.
Jew, Danton Rissner Head of Paramount Pictures UK.
Jew, David Woodman, Managing Director of the Sci-Fi Channel.
Jew, Peter Einstein, President and Business Director of MTV Europe.
Jew, Gil Aronow, Senior Vice President.
Jew, Boris Katz.
Senior Vice President.
Jew, Mark Rosenthal, Chief Operating Officer of MTV Europe.
MTV pumps JEW propaganda into millions of homes in 71 countries.

The Box-Music TV.
Jew, Liz Laskowski, Programme Director.

The UK satellite Warner Channel.
Jew, Jeffrey Schlesinger, President of Warner Bros International Television.
Jew, Raymond Jaffe is the Director of Publicity and Promotion at Sky TV.

Reuters TV
Jew, David Feingold, Executive Editor.
Jew, David Kogan
Managing Director of Reuters.
Jew, Malcolm Switzer, head of newsgathering at Sky News.

UK Radio

The single most powerful man in British radio is acting Manager of BBC Network Radio.

Jew, Michael Green. (pictured above)


Jew, Jenny Abramsky, Director of BBC Radio and Music. She is responsible for BBC
Radios 1, 2, 3, 4, Five Live and the BBC's digital radio stations 1Xtra, 6 Music,
BBC 7, Five Live Sports Extra and the Asian Network. Jenny is also responsible for
the three BBC orchestras in England, the Proms, Television Classical Music and
Radio Resources.She is a member of the BBC's Executive Board.
Jew, Caroline Raphael, Head of Drama at BBC Network Radio.
Jew, Daniel Snowman and Suzanne Levy, Senior BBC producers.
Jew, Peter Clark, owner of Media Ventures International, & controls Talk Radio UK.
Many of this station's presenters are Jewish, including Nancy Roberts, Garry Jacobs, Jonny Gould, Janet Gershlick and Vanessa Feltz.
Jew, Brian Eastman, majority shareholder of Carnival Films.
Jew, John Spearman, Chief Executive of radio group GWR and Classic FM.
Jew, Tim Schoonmaker, Chief Executive of EMAO Radio.
Jew, Roberta Aarons, Head of Production at SSVC.
Jew, Lynne Franks, founder of Radio Viva.
Jew, Tony Stoller, Chief Executive of the Radio Authority.
Jew, Yvonne Kintoff, Managing Director of the Radio Advertising Clearing Centre.

Cinema, Music & Entertainment


Jew, Sidney Samuelson, Head of the British Film Commission, & President of the
Samuelson Group plc., the world's largest film, TV and audio-visual equipment
organisation.
Jew, James Ferman, Chief Executive and Director of the British Board of Film
Classification.
Jew, David Puttnam, Chairman of the National Film and TV School.
Jew, Baron Joel Barnett, former Labour Cabinet minister who has been the Chairman of
British Screen Finance Ltd since 1980, as well as having served as Vice Chairman of
the BBC Board of Governors from 1986 to 1993.

Chrysalis Group

Jew, Michael Pilsworth, Chief Executive of Crysalis Visual Entertainment.
Jew, David Puttnam, Chrysalis director. He is also Chairman of the Enigma film company
& Chairman of International Television Enterprises Ltd.

Polygram


Jew, Alain Levy, President and Chief Executive of Polygram global entertainment group
& former head of CBS France.
Jew, Michael Kuhn, heads Polygram Films.
Jew, David Hockman, Polygram International Music, which owns rap label Def Jam
among many others.

Rank Organisation plc.

Jew, Sir Leslie Fletcher, Chairman of the Rank Organisation, with major assets in
Odeon cinema chain, Mecca Leisure, the Hard Rock Cafe chain and Pinewood Studios.
Jew, J. Cohen, Managing Director of Rank Amusements Ltd.
Jew. Steve Wolfe, Manager of MCA Records.
Jew, Meir Malinsky, Senior Executive of MCA Music Entertainment International.

RCA Records

Jew, Hugh Goldsmith, Managing Director of RCA.
Jew, David Joseph, Head of Artistic Development.
Jew, Nancy Farbman, International Director.

Sony Corporation

While Sony would no doubt be regarded by most people as a Japanese company, the
truth is that Jews control the company.
Jew, Paul Burger, Chairman and Chief Executive of Sony Entertainment (UK). Chairman
of "The Brit Awards".
Jew, Michael Gerrie, Producer of "The Brit Awards."
Jew, Jonathan Sternberg, Gerhard Blum and Sara Silver. Senior Vice Presidents and
Executives at Sony UK. All Zionist JEWS.

Thorn-EMI

Jew, Sir Graham Day and H. Einsmann, Directors of Thorn-EMI.
Jew, Charles Diamont, Senior Vice President of EMI Music Worldwide.
Jew, Michelle Burger, Managing Director.
Jew, Jeremy Silver, Vice President of EMl's International Media Division.

Warner Chappel Music Ltd.

Subsidiary of the Time-Warner Corporation.
Jew, R. Godfrey-Kess, Managing Director.

Lesser known media companies:

One World Entertainment

Jew, Alan Bellman, Managing Director.

Vision Music Entertainment

Jew, Dan Reedman, Managing Director.

Entertainment UK

Jew, Richard Cowan, Managing Director.

President Entertainments


Jew, Robert Earl, founder of President Entertainments and owner of the movie-theme
restaurant Planet Hollywood. For five years, Earl was President of Hard Rock Cafe
International.

Marshall's Communications Group

Jew, Mike Isaacson, Chairman of Marshalls & Executive Producer of its subsidiary
company, Film Crest.

Mentorn Films


Jew, Tom Gutteridge, Head of Mentorn Films, and was appointed CEO,
FremantleMedia North America (FMNA) in February 2004.

Blue Heaven Productions


Jew, Neil Zeiger, Head of Blue Heaven Productions.

TMB

Jew, Alan Rich, Chairman and Chief Executive of TMB, The UK's largest privately-
owned media buying concern. It has four Jewish directors.

M&G Records


Jew, Michael Levy, Head of M & G Records. Tony Blair's chief fundraiser.

Jews Who Control U.K. Advertising

The power of the purse is nowhere more apparent than in the field of advertising, whose
magnates not only decide what images are used to promote particular products and ideas,
but also have a great deal of influence over where vast corporate advertising budgets are
spent. Their ability to determine which channels, magazines and newspapers are used - or
not used - for major advertising campaigns gives such individuals an immense amount of
influence over the producers and editors of supposedly independent media operations.

Start paying attention to the advertising you see on a daily basis. See all those white
woman with those black and/or brown men? See those white guys with those asian
or 'exotic' brown woman? Why do you think JEWS want us to see that everyday and
everywhere? Could it be they are trying to promote racial integration? Why would they want that? Oh, that's right, I remember now! Hitler said the JEWS are a mongrel race.
So, if we become a race of mongrels too, then maybe we'll never object to being ruled
by JEWS! Or maybe, if we breed with niggers, we'll be too stupid to understand what
they´re up to. Nah, that can't be it! The JEWS control 100% of the media just because
they enjoy that line of work. And, those rascally JEWS are really hard working, aren't
they?

WPP

The world's largest advertising and marketing group, is based in London and headed by
another Zionist multi-millionaire,


Jew, Martin Sorell, Chief Executive.

Megalomedia Group

Jews, Charles and Maurice Saatchi.

Jew, Maurice Saatchi, Head of Megalomedia Group. Other shareholders include the
boss's wife,
Jew, Josephine Hart
, his brother:
Jew, Charles Saatchi and
Jew, Lord Jacob Rothschild,
owner of RIT Capital Partners. The Rothschild's are the "Kings of the Jews"
Jew, Tony Kaye, worked for years at Saatchi & Saatchi (predecessor of
Megalomedia), then went into movie production. Produced and directed "American
History X" about neo-nazi skinheads.

Jewish Control of U.K. Publishing

Although the printed word is no longer as powerful as it once was, because of the
influence of television, radio, and the internet, It is still a very powerful medium.
The national newspapers have long been termed the "Fourth Estate", but even this
phrase under-estimates their power. It is in truth no exagerration to say that whoever
controls the press controls the political direction of the nation.

Associated Newspapers

As well as owning the Daily Mail and London Evening Standard, Associated
Newspapers has large stock ownership and therefore, control over many other
media formats in the UK.


Jew, Veronica Wadley, Current Standard Editor.
Jew, Guy Zitter, Managing Director of Daily Mail.
Jew, Lawrence Sear,
Managing Editor of the Daily Mail.
Jew, Jonathan Holborrow,
Editor of the Mail on Sunday.
Jews
make up nearly a third of its journalists including: Paul Harris, Geoffrey Levy,
Richard Kay, Jonathan Margolis, Sam Harris, Sarah Ebner
and Gaby
Hinsiff
.
Jew, Anne Applebaum, Associate Editor of the London Evening Standard.
Jew, Matthew Norman, Evening Standard columnist.
Jew, Mark Honigsbaum, Evening Standard reporter.
Jew, Clive Wolman, founder and editor-in-chief of the weekly magazine London
Financial News
and formerly editor of the Mail on Sunday City edition.
Jew, Lawrence Lever, financial columnist at the Mail on Sunday.

News Group International

NGl's assets include the lion's share of BSkyB; Twentieth Century Fox, and major British
newspapers such as The Sun, News of the World; The Times; The Sunday Times, and the
Times Literary and Educational Supplements.


Jew, Rupert Murdoch, Chief Executive. Murdoch is the world's top media
mogul. He has established his influence on a truly global scale!
Jew, Sam Chisholm, Chief Executive of BSkyB.
Jew, Raymond Jaffe, Director of Publicity and Promotion at Sky TV.
Jew, A. A. Fischer, Managing Director of The Sun and News of the World.
Jew, William Newman, Managing Editor of The Sun.
Jew, Stuart Kuttner, Managing Editor of News of the World.
Jew,
Wendy Henry, Editor of the News of the World, under Kuttner.
Jew, Melvyn Marckus, City Editor of the Times.

Telegraph Group

Major shares of The Telegraph plc is owned by the Hollinger Group.

Jew, Henry Kissinger is it's Chairman. Hollinger also own the Spectator and no fewer
than 230 major magazines and newspapers in the United States.
Jew, Conrad Black, Chairman of The Telegraph plc. Also a Director of Jerusalem Post
Publications Ltd., and a member of the steering committee of the Bilderberg Group.
Bilderberg is the secretive capitalist club of elite(rich) JEWS that run the world!
That's a fact!
Jew, Stephen Grabiner, Managing Director of Telegraph Newspapers.
Jew, Rupert Hambro, Director of the Telegraph.
Jew, Dominic Lawson, Editor of The Sunday Telegraph.
Jew, Damian Kelleher, Editor of The Young Telegraph, childrens supplement.
Jew, Kitty Melrose, Deputy Editor, The Young Telegraph.

Mirror Group


Jew, Robert Maxwell (real name, Hoch), Prominent Zionist, was the owner of The
Daily Mirror and Sunday Mirror before he finally met a well-deserved and watery
end off the side of his personal yacht. The Mirror Group, which is also a major shareholder
in the Independent, was sold off after his death, and is now in the hands of a shadowy
business conglomerate. He was rumored have been killed either by his own sons or the
Israeli Mossad. No one knows if his death was a murder, suicide, or an accident. My
bet is on a murder!

Other Publications

The Observer Trust,
this holding company has directoral links with Hambros merchant bank, whose own
Directors include:

(Pictured above)

Jew, Lord Hollick, whose United News and Media Group owns 30 regional newspapers
in South East England alone, as well as periodicals such as Exchange & Mart.
Hollick also controls regional newspapers in Yorkshire and the North West.

The Sunday Business.


Jew, Michael Bloomberg, Billionaire controls The Sunday Business, the Bloomberg
media empire, and he's been the mayor of New York City since November 6, 2001.
Jew, Tony Rubython, Editor of The Sunday Business.

The Big Issue.

Jew, Anita Roddick, Founder of The BodyShop, controls The Big Issue.
Jew, Lucie Russell, Director of The Big Issue.

G.Q. Magazine.
Jew, James Bloom, Contributing Editor.
Jew, Peter Koenig, Contributing Editor.
Jew, David Cohen, Contributing Editor.
Jew, Chris Peachment, Contributing Editor.
Jew, Christopher Silvester, Contributing Editor.
Jew, Jo Levin, Fashion Director.

PUBLISHING

The Pearson Group owns not only the Financial Times Group and The Economist
magazine
, in partnership with N. M. Rothschild merchant bank.

Jew, Michael Lambert, Editor of The Financial Times.
Jew, Samuel Brittan,
Assistant Editor of The Financial Times.
Pearson also owns the major publishing companies Penguin and Longman.
Jew, Paula Kahn, The Chief Executive Chairman of The Longman Group.
Jew, Louis Baum, Editor of The Bookseller.
Jew, Geoffrey Goodman, Editor of The British Journalism Review.
Jew, Jenny Abramsky,
Chairperson of the Editorial Board of The British
Journalism Review.
She is also a die-hard Feminist.
Jew, Paula Kahn, President of the Publishers' Asssociation, and Chief Executive of the
English Teaching Advisory Committee.
_______________________________________________________________________________________________

Zionist Jews take over Eastern European TV & media!

According to an article in the April 5, 1997 N.Y. Times, "TV Venture by Cosmetics Heir Raises Questions," Zionist
mogul and former U.S. ambassador to Austria Ronald Lauder, has united with Vadim Rabinovich, a Ukrainian
Zionist millionaire who spent nine years in prison for theft and has ties to the Jewish mafia in Ukraine, to build a
media empire--Central European Media Enterprises-- in the countries of the former Soviet Union.
The Jewish
owned
Central European Media controls television stations in seven East European countries in the region.
Ukrainian TV is controlled by its subsidiary, the Studio 11 Group, its local partner in Kiev.
Rabinovich is linked to
Grigory Loutchansky, a Russian-Jew, whose company, Nordex, is believed to be a front for the Russian-(Jewish)
mafia. The Times says, "Rabinovich was jailed from 1982 to 1990 for theft from the state. He said in an interview
that he had been chief of a construction brigade and had sold goods to private customers. He said he had committed
no real crime and had been persecuted for being Jewish.
(YEAH RIGHT!)

"...Central European Media sought to expand into Ukraine a year ago. At the outset, Fertig (its chief of operations)
said, its representatives were referred to Rabinovich and his partners by a close adviser and assistant to President
Leonid Kuchma of Ukraine, who praised the Ukraine group. And when questions arose about the legality of the
broadcast license received by the joint venture, the same presidential adviser obtained a letter declaring that the
license had been awarded properly.

"...(C)oncerns about his business activities led the British government to bar Loutchansky from entering the country...An intelligence summary prepared by a Western government, and corroborated by senior U.S. diplomats,
said Ostex, one of Rabinovich's companies, had been created as an arm of Nordex, a claim that Rabinovich
disputed. "In the interview in his office in a modern building in Kiev, Rabinovich said he had worked with Nordex for
about a year but had broken off the relationship two years ago because of bad publicity about Loutchansky. He said
his companies, which are engaged in many businesses, had only legitimate interests..."

"Lauder, whose mother founded Estee Lauder Cosmetics, created Central European Media in 1994. He predicted
last year that the company would have annual revenues of $1 billion within five years, but it has run up steady losses
to date. The company reported last month that it lost $30 million in 1996 compared with losses of $18.7 million in
1995 and $20.5 million in 1994.

"When the company sought to enter the Ukraine market a year ago, Fertig said, its executives were referred to
Rabinovich and his partners in Studio 11 by Oleksandra Volkov, an assistant and close adviser to Kuchma. Western
diplomats and businessmen said Volkov also owned a piece of Studio 11, but Fertig said he was unaware of that
investment. "Along with the recommendation from the presidential adviser, the company executives also were
impressed by a photograph in Rabinovich's office that showed him with President Clinton and Vice President Al
Gore, according to a person close to the company.

"The photograph was taken in late 1995 at a Democratic fund-raising party in Miami, Rabinovich said. He said he
had not donated money to the Democrats but had been invited to the event by Bennett LeBow, an American
businessman whose interests include Liggett Group, the big cigarette manufacturer. "...Last summer Central
European Media negotiated a partnership agreement with Studio 11 Group that gave the American company a 50
percent economic interest in the operation, which was broadcasting about five hours a day on Ukrainian television.

"Studio 11 received a license last fall to expand its broadcast time on Ukraine's commercial channel, UT 2, to nine
hours a day, including prime time. The license, also sought by other companies, was issued despite a moratorium
imposed by Parliament. "...The Ukraine deal is important to Central European Media. In a stock offering last fall,
which raised $132 million, the company said the Ukraine partnership had more than doubled its market reach.

"A cablegram from the embassy to the State Department in Washington in September raised questions about
Rabinovich's background and said he was 'largely considered beyond the reach of the law in Ukraine,' according to
a copy provided to The New York Times." (End quote).

____________________________________________________________________________________________

Zionist Jewish power and media control in Eastern Europe:

How Jewish Zionists Rape Poland:

Here is further definitive proof in the history by Lucy S. Davidowicz, herself a Jewish historian, that Poland was
undermined by Jewish Communism. All of these proofs are to be found in a book written with the help of Yeshiva
University in New York State.

The proof that Poland was raped by Jewry:

Lucy S. Dawidowicz THE WAR AGAINST THE JEWS 1933-1945 by
Bantam Books Incorporated (#13084-6, 1979 ed).

Page 356 states:

"In early 1942 the Polska Partia Robotnicza [PPR], the Communist party in a new guise made its appearance in the
Generalgouverne- ment... The PPR is mentioned again on page 431 where we read: "The Soviet Union, for example,
began in 1943 to back only such indigenous Communist resistance movements in the several East European
countries as would provide it with postwar political footholds there.

... The Soviet Union, for its part, through the PPR supported the People's Army with funds and materiel, on the
calculation that it would establish the Communist presence in postwar Poland." For further proof of Jewry's
communistic ties turn to page 434 [bottom] and read the socialist and communist links : "The [Jewish Labor]
Bundists were cut off from contact with Polish Socialists; the Jewish Communists were isolated from their parent
PPR." [The PPR is mentioned above.] The Jewish Judenrat leadership advised, starting on page 436: "One form of
compromise between ghetto and the resistance movement was the option in Eastern areas for the Jewish youth to
join the Soviet partisan movement. ... The first thing the partisan learned, if he lived long enough, was that in
defense of the Soviet Union no human cost was too high."

[Who were these Jews loyal to?] Page 360 "Early in 1941 the Bund's Central Committee in the Warsaw ghetto sent
a report to its New York organization, describing its functions as it then perceived them...
[Note: Communists have a
New York operation.]
the Bund's Central Committee adopted a policy statement setting forth their political hopes
and expectations:

Poland is our homeland, where we are entitled to equal citizenship rights, where our future lies. . . . Any other
Solutions offered, under present conditions, by Zionist or other Jewish groups, are wrong and utopian, as they
always were. Together with the Polish working masses struggling underground, the Jewish people of Poland see no
other means of survival, but the defeat of Hitlerism and the reconstruction of a free, independent, and Socialist
Poland."
[Jews want a Socialist Poland and they got it after WW II]

Page 361-2 "On May 1, 1941, Dror issued a proclamation that avowed once more the movement's dual loyalty to
Palestine and socialism and which held out the hope of the inevitable realization of a socialist Palestine:

The struggle with the Hitlerite conqueror has temporarily separated us from Eretz Israel, but just as there is no
power in the world that can separate us from the struggle for a socialist world, thus nothing can separate us from the
land of our ultimate hope. The building of Eretz Israel is undeniably connected with the collapse of capitalism; a
socialist Eretz Israel will rise or fall with the success or failure of socialism."

[For the Jews to succeed, capitalism needed to collapse]

Page 362 " At the end of December 1943, a representative of the Left Labor Zionists, taking part in a clandestine
meeting of the underground Polish Communist front, Krajowa Rada Narodowa
[People's Home Council] spoke
of victory with the political certitude of her party:

In the struggle for a new world of labor and of social justice, we are not isolated. The working masses of the whole
world, with the heroic Red Army in the van- guard, are with us. Our struggle is their struggle; their victory shall be
our victory. There can be no return to the past, no turning back to the past reactionary and fascist governments. The
working masses, the invincible forces of progress and true democracy will prevail in this historic struggle.

Maintaining the traditions of the movement became a conspiratorial activity, yet served to uphold morale. May Day
1940 in Lodz fell on the day the Jews were enclosed within the ghetto. That day Bundist activists visited as many
members as they could locate, reminding them of May Day, distributing little red- ribbon boutonnieres, and passing
the word: "Hold on and hold out." In January 1942 Dror proclaimed a fundraising campaign in the Warsaw ghetto
on behalf of the Jewish National Fund... "

[Page 356 says of Dror:
"The socialist Zionist youth movements included Dror, associated with Labor Zionists; Hashomer Hatzair, whose
pro-Sovietism brought it ideologically close to the Left Labor Zionists.."In fact most countries that became
Communist after WW II were those that were tolerant of the spread of Jewish Communism.

Once again we see the worldwide media monopoly extend its suzerainty thanks to their money power and the betrayal of the people by the Pres. of Ukraine and others willing to be corrupted. What are so many jews in
ownnership and management positions in the media? Can it be a coincidence? NO, OF COURSE NOT! THEY ARE
USING THEIR MEDIA CONTROL, TO CONTROL WHAT YOU SEE, HEAR, AND THINK ABOUT! THAT'S
WHAT IT' ALL ABOUT! iT SHOULD BE PRETTY OBVIOUS!